Né en France et d’origine marocaine, Akhazane Aadil, 27 ans, est mécanicien animateur dans l’univers du karting. Depuis plusieurs années, il a développé plusieurs projets, dont un qui vient d'être breveté au Maroc.
Ça y est ! Le débarquement de la crise économique en provenance des Etats-Unis d’Amérique est (enfin) reconnu par les autorités étatiques compétentes en matière de gestion de la chose publique et de veille géostratégique.
Capitale du Royaume, Rabat a opté pour la «rupture» avec le lancement de grands projets structurants comme celui de la Vallée de Bouregreg, du tramway, de nouvelles villes satellites, de zones industrielles,… Une vraie «révolution» urbaine !
La visite de «travail» de Brice Hortefeux, ministre Français de l’Emploi et de la Formation professionnelle au Maroc, la semaine dernière, a été marquée par une rencontre…informelle avec Fouad Ali El Himma, ancien ministre délégué au ministère de l’Intérieur, fondateur du nouveau courant politique, Parti Authenticité et Modernité (PAM), mais, surtout, l’ami (très) proche du roi Mohammed VI.
Casablanca, capitale économique du Royaume, est un vaste chantier de construction avec la mise à niveau des artères principales (Massira Khadraa, la Corniche) avec l’objectif d’organiser la circulation, mais surtout le stationnement au abord des galeries commerciales. Pour ce qui est du paysage immobilier, il est lui aussi en pleine mutation. Les tracto pelles, grues et autres gros engins sont devenus familiers pour les casablancais. L’émergence de
Né en octobre 1987, de nationalité Marocaine, Hassan El Bouyahyaoui est arrivé en France en juin 2003 sur inscription au passeport de son père. Depuis la séparation de ses parents - Hassan avait une dizaine d’années- il n’a jamais revu sa mère, ni ses 2 frères et sœurs.
Les tensions que vit le marché des liquidités va-t-il se traduire par une augmentation du taux bancaires ? Selon certains spécialistes en matière de finances, le risque d’augmentation des taux d’emprunts est à la fois inéluctable et il pourrait intervenir sur le court terme.
Invité à animer une conférence sur le thème «Où en est l’Union pour la méditerranée», à la faculté des Sciences juridiques, économiques et sociales de Casablanca, l’ancien Ambassadeur du Maroc en France, Hassan Abouyoub, devenu depuis Ambassadeur itinérant du Roi Mohammed VI, a fustigé le projet relooké d’Union pour la méditerranée (UPM), cher à Nicolas Sarkozy et aux pays membres de l’Union européenne (qui ont adhéré au nouveau concept après coup).
Drôle de représentation théâtrale offerte à des millions de marocains avec au programme le fonctionnement (réel) des institutions politiques et celui des organisations patronales et syndicales. Ce coup ci, pas de tête d’affiche ! Si ce n’est le ministre du Transport et de l’Equipement, particulièrement isolé et «fagoté».
Selon le gouvernement dirigé par Abbas El Fassi le Maroc demeure quelque peu «préservé» par les effets dévastateurs de la crise économique mondiale. Il n’en reste pas moins que certains secteurs sont impactés par la crise et le marché de l’emploi le démontre.