Il y a quelques jours à peine, Hassan Aourid, était confortablement installé au fauteuil de Wali de la région de Meknès-Tafilalet, avant d’être démis de ses fonctions par le roi Mohammed VI. Beaucoup se demandait quel poste de substitution pour l'ancien porte parole du palais royal. Un envol vers les Etats-Unis serait une piste probable...
Le groupe Akwa dément l'information Après publication de notre article ci-dessous, le groupe Akwa nous a appelé pour insister sur le caractère complètement infondé de cette rumeur d'achat de sa filiale Afriquia SMDC par le groupe ONA. Nous publions donc cet encadré conformément au droit de réponse. Le rachat par le holding industriel et financier ONA / SNI de la filiale de distribution d’hydrocarbures, Afriquia SMDC, du groupe AKWA, dirigé par Aziz Akhannouch (actuel ministre de
Ces derniers mois la météo a été clémente... pour l'agriculture. Mais les bienfaits du ciel tant attendus par de nombreux agriculteurs sont synonymes de catastrophes pour les victimes des intempéries. Ainsi la région du Gharb (Nord ouest du Maroc) a été durement touchée ces dernières semaines avec notamment la crue des Oued Sebou et Beht.
M’jid El Guerrab, membre du Conseil fédéral du Cantal au Parti socialiste (PS) en France, fait parti d’un collectif d’élus et militants socialistes qui a décidé d’interpeller Martine Aubry, Secrétaire général du PS, et la direction du parti sur «l’absence» d’un vrai débat interne sur la diversité et la représentativité politique. La nature de ce mouvement relance le débat sur la place accordée aux Français d’origine maghrébine au sein des instances du PS.
Les pays occidentaux s'enfoncent dangereusement dans une crise économique et sociale avec des annonces de plans de licenciements en chaine. La communauté marocaine à l'étranger n'échappe pas au marasme économique. Les institutions bancaires marocaines qui étaient jusqu'à présent très «généreuses» pour distribuer du crédit à cette clientèle, vont surveiller de plus près les
Dès que l’ampleur de la crise a été connue – et plus tardivement reconnue – les dirigeants des grandes puissances économiques ont pris l’engagement de ne pas reproduire les erreurs commises par leurs aînés en 1920 avec la non intervention des Etats, au nom du respect des équilibres économiques. Ce qui avait mené à la catastrophe.
A quelques mois des élections communales – qui se tiendront le 12 juin 2009 – le roi Mohammed VI a décidé d’opérer à un renouvèlement au sein de l’administration centrale avec la nomination de walis (Préfets de région) et de gouverneur (sous préfets). A Meknès Hassan Aourid, wali de la région et plus surprenant encore, Aboubakr Belkora, maire de la ville, ont fait les frais de cette décision.
La grogne monte au lycée Lyautey de Casablanca avec des mouvements de grève intensifiés et une journée «école morte» annoncée pour le début du mois de février sur tout le territoire marocain. Les élèves se plaignent d'une prise en otage de leur avenir par un petit groupe de professeurs.
«Nous ne savons plus à quel saint se vouer. Nous n’avons aucune visibilité, on n’arrête pas de nous dire que tout va bien, que le Maroc n’est pas touché par la crise économique. Cette situation est devenue intolérable et particulièrement difficile à vivre. En clair, on n'en peut plus !», déclare un chef d’entreprise qui a préféré garder l’anonymat.
La France de Nicolas Sarkozy a décidé de construire un moule républicain destiné à «fabriquer» un modèle d’intégration pour les candidats au regroupement familial. Ainsi, au travers d’un décret de loi en vigueur depuis le 1er décembre 2008, toutes personnes désireuses de rejoindre son conjoint installé dans l’Hexagone devra suivre un nouveau circuit d’intégration.