Alors que le débat sur l’identité nationale en France connaît un (léger) tournant suite aux prises de positions de certains ténors du parti présidentiel (UMP) qui ont exprimé leur vive inquiétude de voir le FN faire une OPA sur le sujet, voilà que plus d’un centaine de parlementaires UMP ont cosigné une proposition de loi pour «faire respecter les symboles républicains lors des célébrations de mariage» dans les locaux de la mairie.
Parallèlement aux débats sur l’identité nationale, la burqa ou encore sur l’instauration du couvre feu pour les mineurs âgés de 13 ans, le ministère de l’Immigration et de…l’identité nationale piloté par Eric Besson, ministre en charge de la régulation des marchés de l’immigration, multiplient les directives destinées aux préfectures pour freiner, en amont, toutes démarches administratives en provenance des pays du sud de la méditerranée via les antennes consulaires.
La sentence contre le mensuel francophone Economie & Entreprises, prononcée mardi 30 juin 2009, avait doublement surpris et choqué. D’abord, par le montant de l’amende : 5,9 millions de dirhams, le triple de l’amende exigée en première instance. Ensuite, par la nature du “délit”. Pour rappel, le mensuel économique avait relayé dans son numéro de mars 2009, une information écrite en 6 lignes à propos de la facturation «exagérée», selon le titre de presse, de certains
Décidemment, la «Gaule» a tellement de mal à vivre avec son temps que l’option choisie par le parti présidentiel (UMP) de Nicolas Sarkozy de lancer un large débat sur l’identité nationale commence à faire des grabuges.
Le Maroc est confronté à un manque de ressources humaines hautement qualifiées. Mais il compte parmi les rangs de sa diaspora un nombre assez important de profils qui pourraient l'aider à comble cette carence. Abdellah Boussouf, Secrétaire général du Conseil de la communauté marocaine résident à l’étranger (CCME) donne son point de vue sur la mise en relation (possible) entre ces compétences marocaines à l’étranger désireuses de s’exprimer au Maroc et les besoins des
A la veille de la fête de l’Aïd El Kebir – la fête la plus importante dans l’islam qui commémore le sacrifice d’Abraham – prévue le samedi 28 novembre 2009 au Maroc (vendredi 27 novembre 2009 en Belgique et en France), on peut noter un certain manque d’engouement de la part des ménages à Casablanca, qui déplorent la cherté du prix du mouton.
Longtemps ignorées, parfois marginalisées, trop souvent négligées, les conséquences de la crise économique mondiale sur l’économie nationale est devenue une réalité que peu de personnes – acteurs institutionnels, opérateurs économiques, responsables politiques, citoyens lambdas- ne peuvent nier.
Au coup de sifflet final de la rencontre opposant l’Egypte à l’Algérie (0 à 1), hier soir, sur la pelouse de Khartoum, au Soudan, les boulevards de Casablanca étaient investis par une cohorte de véhicules qui n’avaient cesse de laisser éclater sa joie et d’exprimer - à coups de klaxons et de port du drapeau algérien - sa «fierté» de voir l’Algérie obtenir son ticket pour l’Afrique du Sud.
Réuni à Rabat, le conseil de gouvernement, présidé par Abbas El Fassi, Premier ministre, a adopté le projet de loi de décret n° 2-09-607 portant sur l’application de la loi 02-03 relative à l’entrée et au séjour des étrangers au Maroc et à l’émigration et l’immigration irrégulières.
Dans les couloirs de certains ministères – celui des MRE, mais également aux ministères des Finances, des Affaires économiques et générales,…-, à la Banque du Maroc, dans les coulisses des institutions bancaires, une question revient de manière lancinante. La fête de l’Aïd El Kebir donnera-t-elle lieu à une relance des transferts en devises des MRE ?