Saïd Essoulami, directeur du Centre pour la promotion de la liberté d’expression et la défense des médias (CMF MENA), en partenariat avec Press Now, une ONG Hollandaise, spécialisée dans la promotion et l’indépendance des médias, organisent, ce samedi, un séminaire dédié à la relation entre l’Islam politique et les médias nationaux.
Alors que le directeur de publication a été "relaxé provisoirement", ce mardi, le journaliste Hurmat Allah, soupçonné d'entretenir des relations particulièrement proches avec des militaires est sous mandat de dépôt. Tous deux sont convoqués, jeudi 26 juillet, à partir de 13 heures, au tribunal de Casablanca.
La situation du journal Al Watan Al An se complique de jour en jour. En effet, après la garde à vue prononcée à l’encontre du directeur de publication et du rédacteur de l’article, qui a déclenché la réaction, quelque peu tardive (parution vendredi 13 et réaction mardi 17 juillet ?!) de l’appareil sécuritaire, des membres de l’armée (un colonel et autres gradés) ont fait l’objet de convocations, hier, pour répondre à une éventuelle «collaboration étroite» avec
Hier matin, les locaux du journal arabophone El Watan, un des plus gros tirages du pays, ont été investis par des membres de la police secrète, un service rattaché au ministère de l’Intérieur. La raison ?
Au lendemain de l’annonce faite par le ministre de l’Intérieur, Chakib Benmoussa, sur le risque très élevé d’attentats terroristes au Maroc et qui serait piloté par la cellule Al Qaida Maghreb, des zones d’ombres viennent brouiller les neurones de bon nombre d’observateurs avertis, soucieux de collecter de l’information (crédible) pour se fabriquer une opinion.
C’est (enfin) parti ! La campagne électorale bat son plein. Les formations politiques, et plus particulièrement les partis du gouvernement Jettou (Istiqlal, USFP, PPS, MP, RNI ) ont investi l’espace collectif. En effet, depuis une quinzaine de jours, une pluie de programmes politiques, un ouragan de promesses et de mesures, sont proposés aux 10 millions d’électeurs. S’il faut reconnaître que, contrairement aux échéances précédentes, les partis présentent aujourd’hui des
Au lendemain des différents traitements médiatiques de «l’affaire Majidi» au sein des organes de presse marocains, plusieurs niveaux de lectures sont possibles. Entre ceux qui ont annoncé en grande pompe «l’info», et qui par maque de professionnalisme et d’honnêteté intellectuelle ont dû revoir le contenu de leur copie (le prix au m2 n’est plus estimé à 4500 Dh mais seulement à 350 Dh), ceux qui se sentent «floués» et craignent des «retours de bâton». Et enfin, ceux
Ce n’est pas la critique du film «Palais Royal» qui est d’actualité, mais un «arrêt sur image» sur une situation, quelque peu rocambolesque, qui occupe le devant de la scène au Maroc. En effet, Mounir Mohammed Majidi, Secrétaire Particulier du Roi Mohammed VI (et Pdg de la Holding Siger), est au cœur d’une fronde, pilotée par une coalition et dont l’ambition est nourrie de règlement de compte, de haine et de violence.
Force est de constater que la psychose qui s’était installé au lendemain des tentatives d’attentat au Maroc, et Casablanca en particulier, au mois d’avril dernier, n’a pas totalement disparu.
Si le scrutin législatif en Belgique a eu des effets dévastateurs au sein des candidats issus de la communauté marocaine, il n’en reste pas moins que trois d’entres eux ont sauvé «leur peau» dont Fouad Lahssaini, nouveau parlementaire du parti Ecolo.