Alors que les travaux du Comité d’experts, mandaté par le Conseil Consultatif des Droits de l’Homme (CCDH), se poursuivent avec le souci de remettre dans les temps, à la fois le bilan de leurs consultations des Marocains du monde et celui de formuler des recommandations au chef de l’Etat, il semblerait que tout ne soit pas aussi simple pour ces «experts».
Hier ignoré, aujourd'hui priorisé, l'énergie est devenue un sujet central au Maroc. A l'instar des grandes puissances économiques et militaires de la planète, le Royaume, touché de plein fouet par la flambée du baril de pétrole, la pression démographique, la montée en charge de son économie et ses exigences, ont conduit le pays à prendre très au sérieux la question énergétique et son enjeu, tant sur la plan économique, social, mais surtout géopolitique.
Comment est-on arrivé à la situation (alarmante) liée à la désaffection de la vie politique, du désintérêt croissant (et inquiétant) pour la chose publique, de cette hypocrisie ambiante distillée et entretenue par différents acteurs de la place,… qui constituent, aujourd’hui, le principal «ennemi» du pays?
Abdelhamid El Jamri, membre du Comité d’experts nommé par le CCDH, nous livre les premières tendances lourdes qui se dégagent des quatre consultations de la diaspora marocaine.
La quatrième consultation de la diaspora marocaine s’est déroulée ce week-end à Rabat. Le thème du jour «Marocains du monde, appartenances et participation : l’enjeu de la citoyenneté», à donner lieu à des échanges, parfois vifs, à des débats, souvent virils et à un rassemblement large et divers de la diaspora.
A peine installée dans le fauteuil de Garde des Sceaux que la ministre Rachida Dati, nommée au grand dam de nombreux leaders de l’UMP (dont Patrick Devedjian, que Nicolas Sarkozy à «remercier» pour sa fidélité en le désignant Secrétaire général adjoint de l’UMP…), se retrouve à gérer son premier dossier «chaud». En effet, alors que Paris Match s’apprêtait à diffuser des photos ayant trait à son enfance, à une tranche de sa jeunesse, une levée de bouclier voire une
L’opération Fincome, dont l’objectif est de valoriser les compétences des Marocains du monde dans la perspective de les faire participer au développement du Maroc, s’est tenue ce week-end à Casablanca. Contrairement aux prévisions annoncées (1000 participants), environ 300 personnes ont répondu à l’appel des organisateurs. Si l’heure n’est pas au bilan, prenons par à la philosophie et au contenu
Directeur de projets au sein de la NASA, Kamal Oudghiri est l'un de ces marocains qui hisse haut les couleurs du Maroc. Au niveau professionnel d'abord, en prouvant que les compétences marocaines peuvent accéder aux plus hautes fonctions dans des secteurs de pointes. Au niveau associatif et culturel ensuite, en promouvant l'histoire du Maroc aux Etats-Unis. Interview d'un Marocain, la tête dans les étoiles mais les pieds toujours sur terre...
Alors que des rumeurs persistantes faisaient état la semaine dernière (" Exclusif : Départ imminent de Khalid Oudghiri, Pdg d'Attijariwafa Bank" du 16 Mai 2007) du départ probable, voire imminent du PDG Khalid Oudghiri, c’est chose faite depuis hier soir. Ce dernier aurait remis sa démission et un conseil d'administration extraordinaire enregistrera son départ, ce jeudi 24 mai, au siège social de la banque à Casablanca.
Qui n’a jamais fredonné le refrain de la célèbre chanson de Rachid Taha «…voilà voilà que ça recommence, partout partout ils avancent…». Si l’auteur compositeur interprète français, d’origine algérienne, faisait référence aux militants et sympathisants d’extrême droite, voués corps et âmes à Jean-Marie Le Pen, nous lançons un appel (d’offre) aux artistes marocains pour, s’ils le souhaitent, adapter cette chanson au contexte politique du Royaume.