Le Chef du gouvernement serait-t-il poursuivi par la justice pour avoir accusé des cadres de l’Istiqlal de détourner des milliards dans des banques à l’étranger ? La direction de ce parti se dit convaincue que Mustapha Ramid devrait ordonner au ministère public de convoquer Benkirane pour dissimulation d’informations.
Douze membres du Congressional Black Caucus (CBC) sont au Maroc. Rabat tente d’asseoir son influence au sein d’une entité réputée être très proche du parti démocrate du président Barack Obama. Un nouveau lobby marocain au Congrès américain serait-il en cours de préparation ?
Le Polisario confirme qu’un round de négociation avec le Maroc aura lieu ce mois, probablement en Suède. Toutefois, il évite d’évoquer la mise à l’écart de l’Algérie. En revanche, un média en ligne du voisin de l’Est commence déjà à baliser le terrain pour cette issue.
Les passages mensuels de Benkirane au parlement ne laissent personne indifférent. Celui d’aujourd’hui consacré à la paralysie du dialogue social avec les syndicats a viré en un affrontement verbal entre le Chef du gouvernement et le parti de l’Istiqlal sur l’amnistie fiscale accordée aux Marocains ayant illégalement acquis des biens et des comptes bancaires à l’étranger.
L’appel de Driss Lachgar contre la polygamie suscite encore des réactions de la part des milieux islamistes. Un salafiste, inconnu au bataillon, a même traité le premier secrétaire de l’USFP de «mécréant et d’apostat». Le parti de la Rose a pour sa part réagit et presse le ministre de la Justice, Mustapah Ramid, pour qu’il poursuive en justice l’ancien imam d’une mosquée de Casablanca.
L’heure du retour des mineurs clandestins en Espagne vers le Maroc s’approche. Le dernier verrou juridique, retardant cette échéance, vient d’être levé. Explications.
En cette fin d’année, le ministre algérien des Affaires étrangères a tenu à adresser aux responsables marocains un message assez clair. Si une hypothétique normalisation dans les relations entre les deux pays peut être espérée, il faut pour l’instant oublier la réouverture des frontières terrestres et la question du Sahara restera un problème de décolonisation aux yeux du voisin de
A défaut d’une adhésion au Conseil de coopération du Golfe (CCG), le Maroc a pu, cette année, arracher presque la totalité des aides promises par le CCG. Le Qatar est le dernier pays du club à offrir sa contribution pour la période 2013-2018. Outre les aides, Rabat souhaite bénéficier d’une modeste partie des quelques 1 300 milliards de dollars des fonds souverains des monarchies du CCG.
Devant les membres du conseil national du PJD, Benkirane a précisé qu’il «règle de vieux problèmes». Un discours qui revient de plus en plus dans les interventions du Chef du gouvernement. Pourtant, il y a quelques mois, le roi, dans ce qui s’apparentait à un rappel à l’ordre à l'adresse du PJD, louait les actions entreprises par les précédents gouvernements.
Le Maroc n’est pas connu être le meilleur élève dans les classements internationaux, que ce soit pour les droits de l’homme, la corruption, le développement humain,... Et dans un classement sur la qualité de la démocratie publié récemment, le royaume est une nouvelle fois malmené, de quoi remettre en question l’exception tant chantée par les officiels marocains.