Mohammed VI est arrivé hier dans la capitale fédérale des Etats-Unis. En attendant sa première réunion avec le président Barack Obama, le roi a rencontré, hier soir, dans sa résidence à Washington, John Kerry et le secrétaire de la Défense américain, Chuck Hagel.
La Darija serait-elle la solution à la crise de l’enseignement au Maroc ? Noureddine Ayouche en est convaincu. En revanche, des islamistes et des panarabistes y sont, vertement, hostiles. Le Chef du gouvernement et tout l’appareil du PJD font partie de cette dernière catégorie.
A la veille de la réunion Mohammed VI-Obama, le secrétaire général du CNDH se dit favorable à la légalisation d’ONG très proches du Polisario. Une mesure qui accorderait davantage de crédits au Maroc sur la scène internationale en laissant le discours indépendantiste s’exprimer librement à l’intérieur du pays. Mais, d’un autre côté, une telle décision serait-elle
Dans l’ensemble, les islamistes ne sont pas de fervents défenseurs de la diversité linguistique. Pour eux, l’arabe, l’idiome de l’islam, doit avoir la priorité. Un député du PJD a voulu secouer cette idée, en posant une question en amazighe au parlement, en direct sur Al Aoula. Il a réussi son coup mais le site son parti n’a semble-t-il pas apprécié l’initiative.
Les transferts des Marocains résidant à l'étranger ont atteint près de 50 milliards de dirhams à fin octobre 2013, contre 49,72 MMDH durant la même période de 2012, soit une très légère hausse de 0,5%, a annoncé mardi l'Office des changes. Par ailleurs, les recettes voyages ont progressé de 1,5% à fin octobre dernier, atteignant ainsi plus de 49,35 MMDH, contre plus de 48,62 MMDH une année
A l’instar du Polisario qui a mobilisé deux membres du Congrès, le Maroc en fait de même. Sur le nombre, parfaite harmonie avec le Front. Au Capitole, Rabat a pu également compté sur le soutien de deux élus qui ont adressé une lettre à Obama. Là s’arrête les similitudes car le royaume a engagé nombre de ses partisans dont le tout le dernier né «US Congressional Morocco Caucus» qui
La FIFA s’est montrée très indulgente avec le Maroc. Sa sanction aurait pu être pire. Sur ce dossier l’instance mondiale du football s’est sentie menée en bateau par la fédération marocaine.
Faisant fi des démarches de certains députés visant à incriminer toute normalisation avec Israël, le négoce entre le Maroc et ce pays se porte très bien. Rabat est le 7ième client africain de Tel-Aviv selon l’organisme public de statistiques israélien.
L’article 19 de la nouvelle constitution du 1er juillet 2011 insiste sur l’engagement de l’Etat marocain à «œuvrer à la réalisation de la parité entre les hommes et les femmes». Mais dans les faits, les choses n’ont guère évolué ou, dans les meilleurs des cas, très légèrement.
Rien de nouveau sous le ciel très gris des relations entre le Maroc et l’Algérie. Les nuages persisteront toujours en dépit de l’apparition d’un faible rayon de soleil, un message du président Bouteflika au roi Mohammed VI. Mais celui-ci reste plus un geste de bienséance diplomatique qu’un véritable changement de position.