C’est l’histoire ubuesque d’un RME, journaliste et homme de communication en France, qui a fini par céder aux sirènes du retour au pays avec les économies de 17 années d’exil et de travail hors de sa patrie. Son premier investissement s’est traduit par la construction d’un chalutier en bois de 21 mètres.
Mouvement de grève des pêcheurs de sardines. Ils dénoncent les récentes autorisations délivrées par le ministère des Pêches Maritimes aux industriels de la conserve de poisson. Les opérateurs en ont «gros sur la patate» et promettent de ne pas…céder. Ambiance.
Saïd Essoulami, directeur du Centre pour la promotion de la liberté d’expression et la défense des médias (CMF MENA), en partenariat avec Press Now, une ONG Hollandaise, spécialisée dans la promotion et l’indépendance des médias, organisent, ce samedi, un séminaire dédié à la relation entre l’Islam politique et les médias nationaux.
Alors que le directeur de publication a été "relaxé provisoirement", ce mardi, le journaliste Hurmat Allah, soupçonné d'entretenir des relations particulièrement proches avec des militaires est sous mandat de dépôt. Tous deux sont convoqués, jeudi 26 juillet, à partir de 13 heures, au tribunal de Casablanca.
L’internet est devenu un média à part entière dans la majorité des pays industrialisés. C’est un lieu de débat, de dénonciation, d’exercice de sa citoyenneté. Les vidéos d’hommes politiques français, belges, américains pris en flagrant délit de mensonge, en état d’ébriété ou autres font un tapage tellement fort sur le web, que les médias traditionnelles s’en empare rapidement.
La situation du journal Al Watan Al An se complique de jour en jour. En effet, après la garde à vue prononcée à l’encontre du directeur de publication et du rédacteur de l’article, qui a déclenché la réaction, quelque peu tardive (parution vendredi 13 et réaction mardi 17 juillet ?!) de l’appareil sécuritaire, des membres de l’armée (un colonel et autres gradés) ont fait l’objet de convocations, hier, pour répondre à une éventuelle «collaboration étroite» avec
C’était entre le 5 avril et le 4 mai 2007 qu’il fallait s’inscrire sur les listes électorales dans la commune où l’on habite ou, à titre exceptionnel, dans la commune de naissance. A l’exception des militaires, des agents de force publique et des fonctionnaires porteurs d’armes, tout citoyen portant la nationalité marocaine, résidant au Maroc ou à l’étranger et âgé de 18 ans révolus, a le droit de vote.
Hier matin, les locaux du journal arabophone El Watan, un des plus gros tirages du pays, ont été investis par des membres de la police secrète, un service rattaché au ministère de l’Intérieur. La raison ?
Ils ont moins de 14 ans et pourtant ils vivent déjà dans le monde des « grands ». Ces petits mécaniciens, maroquiniers, soudeurs, vendeurs, laveurs de vitres, menuisiers ou domestiques travaillent aussi dur que les adultes, des fois plus longtemps et sont souvent très mal payés. Quelles sont leurs conditions ? Le système fournit-il vraiment assez d’efforts pour protéger ces victimes des carnassiers du capitalisme ? Et qu’en disent les ministères concernés?
Au lendemain de l’annonce faite par le ministre de l’Intérieur, Chakib Benmoussa, sur le risque très élevé d’attentats terroristes au Maroc et qui serait piloté par la cellule Al Qaida Maghreb, des zones d’ombres viennent brouiller les neurones de bon nombre d’observateurs avertis, soucieux de collecter de l’information (crédible) pour se fabriquer une opinion.