« Aïe imma, fiya el herka », s’écrient souvent les personnes souffrant de brûlures d’estomac ! Quelles en sont les causes ? Quelles sont les bonnes conduites à tenir en terme d’hygiène de vie ? Existe-t-il des remèdes naturels pour réduire au maximum ces désagréments ?
Sans verser dans l'optimisme, il faut reconnaître qu'avec les législatives de 2002, le Maroc a gagné beaucoup en degré de crédibilité. Avec celles du 7 septembre dernier c'est plus qu'une confirmation, c'est le début d'un tournant politique qui place notre pays dans la voie de l'ancrage de l'alternance politique même si l'institution monarchique détient toujours l'essentiel des prérogatives.
37% de taux de participation – dont 19% de bulletins nuls – 400 000 voix pour le premier parti du pays (Istiqlal), 33 partis en lice, des tractations houleuses et interminables, des nominations tirés par le cheveu, un coup de théâtre avec le retrait du Mouvement Populaire à 48 heures de la présentation du nouveau gouvernement, un invité surprise (et de marque) en la personne de Fouad Ali El Himma pour jouer le rôle d’arbitre durant cette mandature (avec la constitution d’un
Décidément, l’exercice politique n’est pas un long fleuve paisible, loin s’en faut. Impacté par les aléas de l’environnement (obéissant aux spécificités propres à chaque société), la construction d’un exécutif en mesure de satisfaire les intérêts des uns puis de répondre aux exigences des autres, est loin d’être de tout repos. Et ce n’est pas Abbas El Fassi, Premier ministre marocain qui démentira.
L’ouverture de l’exercice parlementaire 2007/2008 par le Roi Mohammed VI, demain, au Parlement, ne doit pas être étrangère à l’installation du nouveau gouvernement alors que nul ne s’y attendait. En effet, la formation gouvernementale qui sera chargée d’appliquer «le programme royal» selon les dires (lors de sa première sortie médiatique) du Premier ministre Abbas El Fassi, a été dévoilée (officieusement) peu avant 15 heures 00 (heures locales). La liste a été mise
En marge de la constitution du gouvernement (prévu en début de semaine prochaine) et à la veille de l’ouverture de l’exercice parlementaire 2007/2008 par le Roi Mohammed VI au Parlement, à Rabat, un autre sujet a une place centrale dans les discussions de salons. Qui va être nommé à la fonction hautement stratégique de Secrétaire Général du Gouvernement par le Chef de l’Etat?
Les polycliniques marocaines (au nombre de 13) passent dans le giron du privé. Voilà la santé et la gestion des établissements publics de la Caisse nationale de la sécurité Sociale (CNSS) qui tombent sous l’escarcelle du privé. Certes, c’est peut-être un mal pour un bien (tant l’état des polycliniques laissaient à désirer ainsi que le déficit en équipements), néanmoins, la prudence doit être de mise car on ne peut pas traité à la légère l’environnement médical de
Les ravages causés par le « stress » sont innombrables et génèrent des troubles fonctionnels voire lésionnels. Serait-ce la « maladie du siècle » ? Ou est-ce plutôt l’obésité, qui pointe sévèrement son nez dans de nombreux pays et qui s’approche à grands pas aussi des pays Méditerranéens dont on vante les vertus de son régime alimentaire ?
«Puis-je me brosser les dents pendant ramadan ?» Ou encore, «peut-on aller consulter son gynécologue quand on jeûne ?» Autant de questions qui taraudent tous les esprits concernant les soins médicaux qui sont permis ou non pendant le mois de ramadan ainsi que les voies d’administrations possibles des médicaments.
L’identité du futur Secrétaire d’Etat chargé de la communauté marocaine résidant à l’étranger (MRE) est en passe d’être dévoilée. Il s’agirait de Mohamed Gahs, actuel Secrétaire d’Etat à la jeunesse et aux sports. Celui-ci prendrai le relais de Nezha Chekrouni, qui a été aux commandes de ce «sous ministère» durant la législature 2002/2007. Petite nouveauté, le Premier ministre Abbas El Fassi a décidé de rattacher le Secrétariat d’Etat à la Primature et non