«Puis-je me brosser les dents pendant ramadan ?» Ou encore, «peut-on aller consulter son gynécologue quand on jeûne ?» Autant de questions qui taraudent tous les esprits concernant les soins médicaux qui sont permis ou non pendant le mois de ramadan ainsi que les voies d’administrations possibles des médicaments.
L’identité du futur Secrétaire d’Etat chargé de la communauté marocaine résidant à l’étranger (MRE) est en passe d’être dévoilée. Il s’agirait de Mohamed Gahs, actuel Secrétaire d’Etat à la jeunesse et aux sports. Celui-ci prendrai le relais de Nezha Chekrouni, qui a été aux commandes de ce «sous ministère» durant la législature 2002/2007. Petite nouveauté, le Premier ministre Abbas El Fassi a décidé de rattacher le Secrétariat d’Etat à la Primature et non
Permettez moi de vous présenter aujourd’hui Mr pancréas, un employé exemplaire puisqu’il œuvre assidûment depuis votre naissance (voire même avant), est souvent sollicité à toute heure du jour voire de la nuit (durant la période ramadanesque par exemple) par des arrivées de douceurs en tout genre, qu’il doit gérer de toute urgence en vue de conserver une glycémie constante.
Bon nombre de personnes souffrent de plus en plus de manque de sommeil par sollicitations diverses et variées : « chat » qui durent toute la nuit, communications sans fin sur Skype, jeux vidéos/ en réseau, séries aux innombrables épisodes qui durent 24h, parties de touti interminables…Allez, avouez-le, vous vous reconnaissez un minimum dans ce portrait pas si « cliché » que ça ?
«Ah Maroc, il y a des blonds et des blondes !». Grâce à l’ignorance d’acteurs de médias internationaux, la planète a découvert que le Royaume comptait des personnes aux yeux clairs et aux cheveux blonds. Parfois, la médiocrité peut avoir du bon…
Tout le monde se plaint de la baisse d’activité pendant le mois de ramadan, sans compter le mois d’août, la fête du mouton, achoura…mais comment va-t-on faire ?
A l’heure où Abbas El Fassi, nouveau Premier ministre du Royaume, s’attache à construire un gouvernement avec les forces politiques en présence (USFP, PPS, RNI, MP), en dehors du PJD qui a été «écarté», car «il est redevenu un parti non fréquentable». Ainsi, le parti de Saad Eddine El Othmani, premier parti en nombre de voix (lors des élections 2007) et deuxième puissance politique du pays (après l’Istiqlal), s’apprête à rejoindre l’opposition jusqu’en 2012.
Alors qu’une catégorie de la population (Maroc utile) attend avec impatiente la nomination du futur Premier ministre, le «Maroc inutile» s’inquiète, lui, de la cherté de la vie.
Les partis renforcés par les résultats du scrutin ont le vent en poupe, sauf le PJD, qui, malgré sa place de dauphin (et c’est le parti qui a remporté le plus de voix), n’ambitionne pas de participer au prochain gouvernement. Alors, quel Premier ministre pour quel gouvernement ?
Pas de raz de marée du PJD, taux d'abstention historique (63%), des ministres candidats sur le carreau, un parti (USFP) qui implose,… Ce scrutin national marque la fin d’une époque sans forcément en ouvrir une autre…