Jamal Belahrach, DG de Manpower Afrique du nord et Dom Tom (également vice-président de la commission «Emploi» à l'institution patronale CGEM ) s'exprime sur la tragédie humaine qui vient de frapper le Maroc. Pour lui aucun doute, nous avons tous notre part de responsabilité.
Décidément, la capitale économique du Royaume connaît une série de catastrophes humaines sans précédent. Au lendemain de l’incendie meurtrier qui a coûté la vie à près de 55 personnes, selon les chiffres officiels, (on parle d’environ 90 victimes dont certaines seraient toujours sous les décombres), un nouveau drame vient de se produire dans une unité de production de textile, près de Sidi Moumen, banlieue située en périphérie de Casablanca.
Brice Hortefeux, le ministre «Immigration et Identité nationale» de Nicolas Sarkozy est sous tension. Celui qui avait déclaré la «guerre» aux candidats à l’immigration clandestine et à ceux qui se trouvent sur le sol français, mais dont la situation administrative n’est pas en conformité avec la loi. La «chasse aux clandestins» est devenu monnaie courante et les expulsions ont été «normalisées» et expéditives. De quoi expliquer le revers de Jean-marie Le Pen, le leader
De plus en plus de Marocains Résidant à l’Etranger (MRE) sont tentés d’adopter un enfant du "bled", notamment les couples qui n’arrivent pas à avoir d’enfants. Cependant, il faut savoir qu’au niveau international, l’adoption et la kafala sont incompatibles, ce qui pose d’importantes tracasseries administratives, dont les enfants sont les premières victimes.
C'est dans le cadre du groupe d’impulsion France-Maroc que les chefs de gouvernement français et marocains se sont retrouvés deux jours durant pour aborder différents points liés au renforcement des coopérations entre les deux pays. De nombreux ministres et secrétaires d’Etat de Nicolas Sarkozy ont fait le voyage. De Valérie Pécresse en passant par Christine Lagarde, Bernard Kouchner et Dominique Bussereau, ils ont tous pris place autour de François Fillon.
Pour mieux savourer sa (large victoire) à l’élection présidentielle, «El Duce», plus précisément Silvio Berlusconi, le chef du parti de la droite italienne, s’est fendu d’un discours qui laisse craindre le pire. En effet, le patron du club mythique du Milan AC, a annoncé la couleur. «Ma priorité sera de lutter sans relâche face à l’immigration clandestine et l’immigration…», dit-il.
La nouvelle fait l’effet d’une «bombe» ! En effet, Saâd Bendidi, PDG de l'ONA, premier groupe privé au Maroc vient d’être remercié par ses pairs. Ces mêmes personnes qui un certain 22 décembre 2004 l’ont «débauché» du puissant groupe financier dirigé par Othmane Benjelloun où Bendidi occupait la fonction de PDG de Finances.Com.
Selon un communiqué reçu aujourd'hui, Mohamed Ameur, Ministre Délégué auprès du Premier Ministre Chargé de la Communauté Marocaine Résidant à l’Etranger effectuera une visite de travail à Barcelone durant la période allant du 12 au 14 avril 2008.
A l’heure où une guerre de «succession» ferait rage dans les rangs de l’association «Justice et bienfaisance», présidée par Cheikh Yassine, gravement malade, le mouvement d’obédience soufie, vigoureusement combattu au Maroc, semblerait vouloir «défier» le régime marocain sur le Vieux continent (l’Europe).
«Je suis sorti de prison comme j’y suis rentré sans savoir pourquoi ni comment ?», voilà en substance les premiers mots délivrés par Christophe Curutchet à la porte de la prison de Mohammedia, près de Casablanca. En effet, cela fait tout juste 15 jours (mardi 25 mars à 19 heures 30), que l’ancien directeur salarié de l’entreprise STE de Casablanca, spécialisée dans l’import-export, a renoué avec la liberté, après avoir été condamné à 8 années de prison pour trafic