L’alerte générale lancée au Maroc va crescendo. Après les Casablancais, les habitants de grandes villes du royaume font la connaissance de l’installation de missiles sol-air. Parallèlement à cet effort, des unités de l’armée de terre sont sorties de leurs casernes, notamment à Oujda et Ouarzazate pour se déployer sur le long des frontières Est et Sud-Est avec l’Algérie.
Les tensions entre locaux et Subsahariens sont de plus en plus fréquentes dans les grandes villes du nord et nord-est du royaume. Après Nador en juillet, Tanger replonge dans la violence. Des assaillants marocains ont agressé des migrants subsahariens ainsi qu'une militante associative espagnole.
L’armée marocaine est sur le qui-vive. Elle vient d’installer des missiles sol-air à Casablanca en prévision de toute attaque terroriste. Cette mobilisation intervient après la disparition de plusieurs avions civils de l’aéroport de Tripoli.
Tendues, les relations entre le PJD et la majorité des associations amazighes. Les désaccords sont multiples au point que des militants amazighs appellent à la dissolution du parti de la Lampe.
L’ambassadeur du Maroc aux Nations-Unies a révélé certains détails à l’origine du blocage du processus des négociations sur le dossier du Sahara occidental. Pour Omar Hilal, le secrétariat général de l’ONU assume une responsabilité dans cet enlisement. Explications.
Le 10 juillet, le ministre de l’Intérieur reconnaissait, lors d’un exposé présenté devant les membres du gouvernement, qu’une menace terroriste sérieuse guette le Maroc, précisant qu’elle émane des combattants marocains en Syrie et en Irak. Depuis, le pays est en alerte. Aujourd’hui, une cellule de recrutement de djihadistes pour le compte de l’Etat islamique vient d’être
Une semaine après le décès d’un salafiste à la prison de Salé, un étudiant d’extrême gauche, incarcéré à Fès, vient de rendre l’âme. Il y a trois jours, l’AMDH avait pourtant alerté le chef de gouvernement, le ministre de la Justice et le patron des prisons de la détérioration de la santé de Mustapha Meziani.
C’est reparti pour une énième polémique entre le Maroc et l’Algérie. Cette fois-ci elle concerne le dossier du trafic de drogue. Alger brandit la menace du cannabis, Rabat riposte par les dangers du karkoubi et de l’opium.
Marrakech accueillera du 27 au 30 novembre prochain la deuxième édition du Forum mondial des droits humains. A trois mois de la tenue d’un événement international, les arrestations dans les rangs du mouvement 20 Février se poursuivent. La toute dernière remonte à la soirée de mardi et a eu lieu à Tanger. Détails.
Bien que le dossier des Marocains expulsés d’Algérie bénéficie d’une médiatisation et a même pu se frayer un chemin auprès de certaines instances internationales (Parlement européen et Conseil des droits de l’homme de l’ONU, notamment), force est de constater que les choses avancent très peu. Le drame des familles chassées sans préavis et sans ménagement à cause du différend