Et de deux. Après la sentence contre Oussama Hassni, condamné le 26 juillet, à trois ans de prisons et 100 mille dirhams d’amende pour «allégations mensongères de torture», c’est au tour de Wafaâ Charaf de subir les foudres de la justice. Une cour de Tanger vient de prononcer contre elle un an d’emprisonnement et une amende de 50 mille dirhams pour les mêmes chefs d’inculpation.
Bachir Mustapha Essayed a nié tout projet de négociations avec le président du CORCAS. Un démenti à prendre avec des pincettes. D'autant que l’homme avait rencontré, en plein conflit armé entre le royaume et le Polisario, de hauts responsables marocains. Détails.
La surenchère continue entre l’Algérie et le Maroc. Alors qu’il y a plus de deux mois, le royaume commençait la construction d’une barrière grillagée de 70 km sur les frontières est avec l’Algérie, les autorités algériennes ont décidé de riposter avec un léger retard. Le voisin de l’est vient en effet d’annoncer le lancement d’un projet similaire.
Le CCME n’a plus la cote auprès d’une grande partie de la communauté marocaine installée à l’étranger. Les agissements de son secrétaire général à l’occasion de la journée nationale des MRE ne vont sans doute pas redorer le blason d’une institution dont la popularité est en chute libre.
L’agression israélienne sur Gaza a encouragé des ONG marocaine à intensifier leur campagne contre la normalisation commerciale entre Rabat et Tel-Aviv. Elles ont pris pour cible la société de transport maritime ZIM et son représentant au Maroc.
L’ancien chef de la diplomatie du Polisario est-il tenté par un retour au Maroc ? Des rumeurs l’affirment en tout cas. Et ce n’est pas la première fois que Bachir Mustapha Essayed est annoncé comme ralliant le royaume. Depuis qu’il est tombé en disgrâce, il vit isolé et très surveillé par les militaires algériens.
Benkirane assure son avenir politique. Il a réussi à placer un de ses plus fidèles disciples à la tête du Mouvement unicité et réforme. Abderrahim Chikhi, inconnu au bataillon des grands prédicateurs du MUR, a été propulsé, à l’issue d’une élection à rebondissements, à la présidence de la matrice du PJD. Une victoire à mettre à l’actif du chef du
Les réactions d’officiels algériens suite aux appels de Mohammed VI et du ministre marocains des Affaires étrangères pour la relance de l’Union maghrébine s’enchaînent depuis deux semaines. Si les portes voix changent, la teneur du message en provenance d’Alger demeure la même.
Si Chabat avait porté plainte contre Benkirane pour «diffamation» lorsque ce dernier avait insinué que certains responsables de l’Istiqlal avait fait fuir des capitaux, le chef du gouvernement n’a pas suivi la même voie. Contrairement aux conseils de ses frères, il a décidé d’en rester là. Et pourtant, le secrétaire général de l’Istiqlal l’a accusé d’entretenir des
A Washington, le chef du gouvernement a tenté de donner l’image d’un islamiste tolérant, n’entretenant aucune relation avec les Frères musulmans et acceptant, à son corps défendant, la destitution du président, démocratiquement élu, Mohamed Morsi, par les militaires. Benkirane a également reconnu que les juifs étaient installés au Maroc depuis 2000 ans contre 14 siècles pour les musulmans.