La gendarmerie d’une commune rurale relevant territorialement de la wilaya d’Agadir a arrêté, lundi, trois élèves pour apologie à Daesh et outrage au drapeau national.
La justice espagnole continue d’instruire des cas de prétendus génocides au Sahara occidental et dans les camps de Tindouf, même si le parlement local en a décidé autrement. Hier, un magistrat a auditionné des polisariens présentés comme des «témoins» de l’affaire du charnier découvert il y a une année. Explications.
Le bras de fer entre l’AMDH et le ministère de l’Intérieur se poursuit sans relâche. Et sauf changement de dernière minute, il devrait connaitre un nouvel épisode d’ici une semaine. Les camarades d'Ahmed El Haij comptent en effet organiser des marches pour réclamer la levée du «blocus» des activités de l’association imposé par le département de Mohamed Hassad.
Des religieux égyptiens montent au créneau. Ils accusent le Maroc de briser l’unanimité du monde islamique parce qu’il a osé célébrer l’Aïd El Kébir le dimanche.
L’affaire de la mort de Hassana El Ouali s’internationalise. L’Union européenne a répondu à une lettre du Polisario traitant de cette question. Dans les prochaines semaines, le dossier sera porté devant les eurodéputés. Côté marocain, le décès du détenu sahraoui serait naturel.
Même si Christopher Ross n’a effectué aucune tournée dans la région en 2014, le Conseil de sécurité devrait examiner le dossier du Sahara le 27 octobre. Une réunion que Ban Ki-moon qualifiait, dans son dernier rapport, de cruciale. Avant la tenue de ce rendez-vous, les Nations-Unie et le Polisario attendent avec impatience le discours de Mohammed VI prévu le 10 octobre devant les deux Chambres du parlement.
Devant une commission du Conseil de sécurité de l’ONU, chargée de la lutte contre le terrorisme, le patron de la DGED a indiqué que depuis 2002, le Maroc a procédé à l’arrestation de 2 676 présumés terroristes et démantelé 126 cellules. Yassine Mansouri a révélé que ses services ont aidé des pays européens à déjouer des complots terroristes ou
Le gouvernement hausse le ton contre la société Cosumar. Le ministre des Affaires générale du gouvernement, Mohamed El Ouafa, menace de fermer la société au cas où elle procèderait à des augmentations du prix du sucre. Le mangement a brandi cette carte en riposte au projet de l’exécutif d’exclure le fuel de la liste des produits subventionnés par la caisse de compensation.
Contrairement à Mustapha Ramid qui a pris ses distances avec la série d’interdictions d’activités d’associations des droits de l’Homme décrétée par le ministère de l’Intérieur, Mustapha El Khalfi a tenu à défendre Hassad. Le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement a tout simplement nié toute restriction.
Le 29 octobre de chaque année, la gauche marocaine commémore la disparition de Mehdi Ben Barka. A plus de trois semaines de l’événement, le parti créé par Ben Barka en 1959, l’Union nationale des forces populaires, une scission de l’Istiqlal de Allal El Fassi, revient à la une de l’actualité. Après des décennies dans l’ombre, un avenir prometteur semble l’attendre.