Hayate nous raconte pour sa première contribution à la rubrique Hikayate el ghorba son expérience qui l'a poussée à quitter sa famille et le Maroc pour s'installer en France.
Dans son discours dédié au 32ème anniversaire de la marche verte, le Roi Mohammed VI a consacré une large majorité de son allocution à la diaspora marocaine installée dans de nombreux pays de résidence des cinq continents. Comme prévu et annoncé lors de ses précédents discours pour le 30ème et 31ème anniversaire de la marche verte, cette communauté pourra désormais prendre part à la vie politique nationale, exercer pleinement sa citoyenneté et apporter sa contribution «à
Que faut-il lire, interpréter, du «conflit» diplomatique entre Rabat et Madrid ? Que le Roi Juan Carlos ne doit pas «transgresser» l’accord tacite (entre les deux pays) sur la neutralité des enclaves de Melillia et de Sebta et que, de facto, sa visite (qui répond à un agenda royal établi de longue date), première du genre, n’a pas lieu d’être.
Si Nicolas Sarkozy comptait sur sa visite d’Etat comme instrument de mesure de sa popularité au Maroc, le président français a dû se trouver rassuré voir littéralement comblé. En effet, c’est en grande pompe que le Roi Mohammed VI l’a accueilli, plus de 48 heures durant, à Marrakech, Rabat ou encore Tanger.
C’est demain, vendredi 26 octobre 2007 à Rabat, dans le cadre de la 28ème assemblée générale du Conseil Consultatif des Droits de l’Homme (CCDH), que la question des Marocains du monde et la création du Conseil supérieur dédié à la diaspora, sera débattu, ou plutôt présentée aux sociétaires de l’ONG.
« Aïe imma, fiya el herka », s’écrient souvent les personnes souffrant de brûlures d’estomac ! Quelles en sont les causes ? Quelles sont les bonnes conduites à tenir en terme d’hygiène de vie ? Existe-t-il des remèdes naturels pour réduire au maximum ces désagréments ?
Sans verser dans l'optimisme, il faut reconnaître qu'avec les législatives de 2002, le Maroc a gagné beaucoup en degré de crédibilité. Avec celles du 7 septembre dernier c'est plus qu'une confirmation, c'est le début d'un tournant politique qui place notre pays dans la voie de l'ancrage de l'alternance politique même si l'institution monarchique détient toujours l'essentiel des prérogatives.
37% de taux de participation – dont 19% de bulletins nuls – 400 000 voix pour le premier parti du pays (Istiqlal), 33 partis en lice, des tractations houleuses et interminables, des nominations tirés par le cheveu, un coup de théâtre avec le retrait du Mouvement Populaire à 48 heures de la présentation du nouveau gouvernement, un invité surprise (et de marque) en la personne de Fouad Ali El Himma pour jouer le rôle d’arbitre durant cette mandature (avec la constitution d’un
Décidément, l’exercice politique n’est pas un long fleuve paisible, loin s’en faut. Impacté par les aléas de l’environnement (obéissant aux spécificités propres à chaque société), la construction d’un exécutif en mesure de satisfaire les intérêts des uns puis de répondre aux exigences des autres, est loin d’être de tout repos. Et ce n’est pas Abbas El Fassi, Premier ministre marocain qui démentira.
L’ouverture de l’exercice parlementaire 2007/2008 par le Roi Mohammed VI, demain, au Parlement, ne doit pas être étrangère à l’installation du nouveau gouvernement alors que nul ne s’y attendait. En effet, la formation gouvernementale qui sera chargée d’appliquer «le programme royal» selon les dires (lors de sa première sortie médiatique) du Premier ministre Abbas El Fassi, a été dévoilée (officieusement) peu avant 15 heures 00 (heures locales). La liste a été mise