«Démissionner ou on vous obligera à le faire dans les plus brefs délais», tel est le message clair et précis adressé par les membres du bureau politique au Premier secrétaire du parti USFP et à son adjoint Abdelouhed Radi, dimanche soir. Pris la tourmente, les deux ministres socialistes du gouvernement El Fassi 1 (car un remaniement est prévisible) ont pris la poudre d’escampette en déposant les armes, lundi, aux pieds des protagonistes de cette «affaire».
Le Premier secrétaire Mohamed El Yazghi et le secrétaire général adjoint, Abdelouhed Radi sont sous la pression des militants socialistes. En effet, une nouvelle fronde ce dimanche, a ciblé le duo Yazghi-Radi, responsables selon la base de la situation du parti et de son positionnement sur l'échiquier politique. La question aujourd'hui qui reste en suspend est leur possible démission.
Saïd Essoulami de nationalité marocco-britannique, est marié et père de trois enfants. Il a fait ses études universitaires en France puis a travaillé en Angleterre où il a contribué au lancement d'Article19, une ONG internationale intervenant dans la défense de la liberté d'expression dans le monde. Onze années durant, il a dirigé son antenne sur le moyen orient et l'Afrique du nord. En 1998, Saïd Essoulami a lancé à Londres le CMF MENA, un centre de recherche et de plaidoyer
Quand les médias spéculent, appellent à la haine et à la discrimination, que les autorités de tutelle sont sous pression, que la société civile est prise en otage,…Et que le Maroc tangue !
Lotfi Chelbat, natif du Maroc, a élu domicile en Belgique, plus précisément à Bruxelles, depuis environ deux décennies où il dirige un cabinet d’expertise comptable. Il s’exprime sur la création d une instance dédiée aux MRE, sur l’exercice d une citoyenneté plurielle,… et sur son acte de candidature.
Que penser du gouvernement aux affaires ? Peu de choses. Si ce n’est qu’il a réussi à perdre de sa pseudo crédibilité en un temps record. En effet, l'opinion publique, qui avait déjà envoyé un message clair à l’Etat le 7 septembre dernier (en boudant les urnes), se montre totalement indifférente aux discours de l’exécutif en place. L'équipe gouvernementale ne s'en souci pas, comme si tout le monde vivait, cohabitait, dans la plus grande…indifférence.
Un coup d'oeil panoramique suffit à comprendre que si ce match-là était un événement pour la communauté marocaine, la ferveur française, elle, avait fait la grève. Comme si en prévision de ce samedi particulier, le supporter tricolore avait déjà monté son campement devant cette sacro-sainte télévision, la même qui le transportera ce soir à Glasgow pour prier aux côtés des Italiens.
Au lendemain du discours du roi Mohammed VI, le 6 novembre dernier, dans le cadre du 32ème anniversaire de la marche verte (et en pleine effervescence autour de la visite du roi Juan Carlos à Sebta et Melillia), une frange de la population marocaine s’est fortement mobilisée dans la perspective de la création du Conseil Supérieur des Marocains du monde, prévu pour la fin de l’année 2006, selon l’exigence royale.
Rachid Niny, 37 ans et natif de Rabat, est aujourd’hui à la tête du titre de presse leader au Maroc «Almassae», un quotidien qui tire à pas moins de 200 000 exemplaires (la moyenne des ventes kiosques pour le mois d’octobre 2007 a été d’environ 170 000). Qu’est-ce qui pourrait expliquer l’ascension fulgurante d’un journal et d’un homme en un temps record ? En effet, avec seulement une année de vie, Almassae est devenu l’acteur média de référence et le «canard»
Hayate nous raconte pour sa première contribution à la rubrique Hikayate el ghorba son expérience qui l'a poussée à quitter sa famille et le Maroc pour s'installer en France.