La question mérite d'être posée, surtout au vu des dernières péripéties auxquelles l'opinion marocaine a assisté entre ce journal et les pouvoirs publics ces derniers temps.
C’est Alfred SAUVY qui disait qu’il n’est jamais facile d’écrire à contre courant. Pour avoir été attentif depuis plus d’une vingtaine d’années à la question de la vieillesse des immigrés en France, je n’ai rien perdu du souvenir des moments pionniers et des difficultés que semblait poser cet autre visage de l’immigration, par son incongruité presque, jugée à l’aune
Depuis quelques années, le Maroc est l'objet d'une nouvelle "immigration" constituée de retraités français et de marocains résidant à l'étranger de retour au pays. Si sur le deuxième phénomène peu de médias se sont intéressés, il y a en revanche pléthore de reportage, d'articles, sur l'installation de retraités français au Maroc. Laurent Paul Alteresco, présent au Maroc depuis plus de 8 ans s'occupe justement d'accompagner et de conseiller ces nouveaux migrants dans leur
Depuis lundi dernier le roi du Maroc Mohammed VI effectue un voyage dans quatre pays d'Afrique subsaharienne (Gambie, Congo, République Démocratique du Congo et Gabon). L'occasion pour nous de jeter un coup d'œil sur l'état de la politique africaine du souverain à l'aune de celles de ses prédécesseurs.
Les pharaons ont remporté l’une des plus belles coupes d’Afrique. En effet nous avons eu du spectacle, des buts et de l’émotion. Pour nous marocains on retiendra surtout la débâcle de l’équipe nationale, une des plus sévères à travers l’histoire footballistique du Maroc. Au début des années 80, la déroute face à l’Algérie à Casablanca avait secoué le football marocain. L’électrochoc a donné naissance à la plus belle équipe que le Maroc ait connu, il s’agit
La sangsue du Maroc est en passe de se faire écraser. La guerre à la corruption a été déclarée et, cette fois-ci, c’est le grand assaut. L’Instance Centrale de Prévention de la Corruption (ICPC) verra bientôt le jour, mais les modalités de création de cet organisme sont loin de plaire à tout le monde…
Ces dessins dans un pays où l’extrême droite a fait plus de 13 % des suffrages aux dernières élections législatives et où le débat public sur l’islam est particulièrement radical, ne pouvaient que susciter la polémique. Pour Tøger Seidenfaden, directeur de la rédaction du quotidien danois Politiken, « Il y a volonté d'offenser, car c'est dans la logique présente de l'atmosphère politique au Danemark. La recette à succès, en politique et dans les médias, c'est de dire que
Les jeunes filles des campagnes ne sont pas nombreuses à emprunter le chemin de l'école. Les quelques rares qui y parviennent, s'accrochent comme elles peuvent jusqu'au niveau sécondaire voire supérieur.
Des expressions libres qui déchaînent les passions La publication d’une douzaine de caricatures danoises, représentant le Prophète Mohammed, dont une le montrant coiffé d’un turban en forme de bombe, provoque depuis une semaine une série de réactions. Des ambassadeurs postés au Danemark sont rappelés. Dans certains pays du Golf les produits danois sont retirés de la vente. En Palestine, à Gaza, un groupuscule armé menace l’Union Européenne, etc.
La liberté d'expression oui, la liberté d'expression deux poids deux mesures non !