Le quotidien arabophone Akhbar Al Yaoum a un nouveau directeur de publication. Le journaliste Younes Meskine prend les commandes du quotidien arabophone. Il succède, ainsi, à Taoufik Bouachrine, arrêté depuis le 23 février. Younes Meskine était pressenti, depuis des mois, à occuper ce poste avant même l’éclatement de l’affaire Bouachrine. «Il était véritablement le candidat le mieux placé pour
Les associations pro-palestiniennes au Maroc, avec la collaboration des islamistes du Mouvement unicité et réforme (MUR), commémorent le 70e anniversaire de la Nakba, l’exode palestinien de mai 1948. Ainsi, le 5 mai à la Bibliothèque nationale du royaume du Maroc (BNRM), se tiendra une conférence autour du très sensible thème «la Palestine et le ’Contrat du Siècle’». Des
Le bureau politique du Parti du progrès et du socialisme (PPS) invite, dans un communiqué, le gouvernement El Othmani à être attentif aux «différentes revendications exprimées dans les provinces du pays ou sur les réseaux sociaux». L’instance a mis l’accent sur «la nécessité d’accorder un traitement positif à toutes les formes de revendications qui s’opèrent dans le cadre
Après deux jours de silence, le Koweït commente enfin la rupture des relations diplomatiques entre le Maroc et l’Iran. L’émirat a choisi de réagir encore une fois par la voix d’une «source anonyme» au sein du ministère des Affaires étrangères.«L’Etat du Koweït dénonce et rejette toute tentative portant atteinte à la sécurité, la stabilité et à
Le ministère algérien des Affaires étrangères examinerait la possibilité de représailles contre le Maroc. Le département de Messahel aurait arrêté une liste de sanctions qu'il aurait soumis à l'approbation du président Abdelaziz Bouteflika.
Après le Hezbollah, le Polisario et l'ambassade iranienne à Alger, c'est au tour des autorités algériennes de rejeter les accusations marocaines à l'encontre de l'organisation chiite libanaise. L'ambassadeur du royaume en Algérie a été reçu ce mercredi au siège du département de Messahel. Face à ce développement, la réaction de Rabat ne s'est pas faite attendre.
Même si le ministre des Affaires étrangères a nié tout lien entre la rupture avec l'Iran et le contexte international, il y a de fortes chances que la décision pourrait booster la cote du royaume auprès de ses partenaires étrangers, à commencer par les Etats-Unis où des faucons anti-Iran occupent les postes clés au sein de l'administration Trump.
Les Emirats arabes unis, le Bahreïn, le Qatar et l'Arabie saoudite sont les premiers à témoigner de leur solidarité avec le Maroc, suite à l'annonce de sa rupture de ses relations diplomatiques avec l'Iran. Le Koweït observe pour l'instant le silence.
A son tour de réagir à la rupture des liens diplomatiques entre le Maroc et l’Iran : le Polisario nie toute collusion avec le Hezbollah libanais. Dans des déclarations à l'agence EFE, le porte-parole du Front assure que les accusations marocaines relève du «mensonge». Le responsable a invité la partie marocaine à «fournir des preuves» à «ses fausses allégations».Selon lui, la
Le Hezbollah a réagi à la rupture des relations entre le Maroc et l'Iran. Le mouvement dément les accusations marocaines faisant état de l'envoi d'armes au Polisario.«Il est regrettable que le Maroc recours, par la pression américaine, israélienne et celle de l’Arabie Saoudite, à proférer des fausses accusations», annonce l'organisation chiite dans un communiqué, soulignant qu’ «il incombait au