Saâd-Eddine El Othmani sort de sa réserve et adresse un sérieux avertissement à ses «alliés» au sein de la majorité. Sur un ton très autoritaire, le PJDiste a dit ne tolérer aucune «poche ou zone d'influence» à l'intérieur de son cabinet. Un message visiblement destiné au RNI.
Le roi Mohammed VI pourrait se rendre au Soudan en octobre. Une annonce faite par le ministre chargé des Affaires de la présidence du gouvernement Ahmed Saad Omer. Cette annonce est officialisé dans un communiqué au terme d'une réunion avec le Premier ministre, Bakri Hassan Salih consacrée à l'examen du bilan de sa visite au royaume, indique Sudan Tribune. Omer a effectué, la semaine dernière, une visite de trois jours à
Les députés ont désormais un cadre pour coordonner la défense de la marocanité du Sahara. Sa création accuse un net retard alors que l'Algérie lancera en juin en France le «réseau international des parlementaires de solidarité avec le peuple sahraoui».
Le gouvernement El Othmani accuse les spéculateurs pour la flambée des prix enregistrée en ce mois de Ramadan. Des accusations qui ne sont cependant accompagnées d’aucune mesure de contrôle.
Le Maroc a un nouveau lobbyiste chargé de ses relations avec l’Union européenne. Rabat a mis un terme aux services de ESL & Network Holding pour le remplacer par le cabinet d’avocats Cambre Associates.
Le président de la Chambre des conseillers a la bénédiction de certains ténors du parti pour succéder à Ilyas El Omari. Il est présenté comme le candidat du «consensus».
La campagne de boycott visant Afriquia semble se répercuter sur le RNI. Depuis son lancement, le parti d’Aziz Akhannouch se mure dans le silence, ouvrant la voie à des tensions en son sein mais aussi avec ses alliés.
Hier, le ministre de la Culture et de la communication a rejeté la demande d’un parlementaire de l’USFP appelant à prendre des mesures contre les publications des internautes marocains sur les réseaux sociaux.
Les Emirats réitèrent leur soutien à la marocanité du Sahara et dénoncent la collusion entre le Hezbollah et le Polisario. Mieux, le pays a couvert d’éloges la politique africaine du roi Mohammed VI. Une politique qui, outre ses retombées économiques, tente de faire face à l’expansion du chiisme sur le continent.
La Commission européenne donne du souci au Polisario et au groupe d’eurodéputés le soutenant, tandis que le Front conteste l’alignement de la CE sur les positions marocaines. Explications.