Des membres du gouvernement espagnol se relaient pour demander à la Commission européenne d’accorder davantage d’aides au Maroc pour face aux flux de migrants. Après la lettre en ce sens de Pedro Sanchez au président de la CE, Jean-Claude Junker, c’est à la ministre de la Défense, Margarita Robles, de plaider la cause de Rabat. «Le Maroc fait face à un important flux migratoire de personnes en provenance du Sahel
Cette année, la CEDEAO a tenu trois sommets sans examiner la demande marocaine d’adhésion au groupe économique régional. Le processus est appelé à prendre du temps.
Après le «séisme» du 24 octobre 2017, le roi limoge un autre ministre. Mohamed Boussaid n’est plus ministre de l’Economie et des finances. Un coup dur pour le RNI et son image de parti «proche du Palais».
Lors de son 6e congrès, le Mouvement unicité et réforme a pour ambition d’instaurer une «séparation» avec la ligne politique du PJD. Un objectif qui paraît irréalisable au regard des liens difficiles à démêler entre les deux entités.
José Luis Rodriguez Zapatero est apprécié au Maroc. La présence de son grand-père à Larache pendant quelques années n’explique pas cette proximité. Elle est plutôt la conséquence de la relation privilégiée entre l’ancien chef du gouvernement espagnol et le roi Mohammed VI.
En 2013, le Maroc avait parié à ses dépens sur Ibrahim Boubacar Keïta, alors candidat aux élections présidentielles au Mali. Cinq ans après, tirant les leçons du passé, Rabat a pris ses distances par rapport aux candidats en lice.
Alors même que le discours du trône a été prononcé depuis Al Hoceima, le Rif est resté absent.
Faisant fi des nombreux appels du Polisario à boycotter l’investissement au Sahara, un fonds américain a annoncé la réalisation d’une centrale éolienne à Dakhla. Brookstone Partners est présent au Maroc depuis 2009.
Dans son discours du trône, le roi Mohammed VI a appelé dimanche soir les «Marocains libres» à l’«unité» tout en mettant en garde contre les messages des «négativistes, des nihilistes et autres marchands d’illusions».
Au Conseil des droits de l’Homme de l'ONU, l’Algérie a été appelée à autoriser le Haut-Commissariat aux réfugiés à recenser la population des camps de Tindouf. La question des avoirs des Marocains expulsés de ce pays en 1975 a également été soulevée.