Elles s’appellent Khadija, Zineb, Fatima. Elles ont un point en commun : ce sont des petites "bonnes"torturées par leurs bourreaux, leurs employeurs. Les plus chanceuses entres elles vivotent encore. Et en silence. Quant aux autres, elles sont sous la terre, comme c'est le cas d’une mineure de 14 ans à Agadir qui travaillait chez un couple : un gendarme et une institutrice.
Comme avec Gerets, Taoussi est toujours à la recherche de son onze type. A chaque rencontre, il aligne une équipe différente. Ce dimanche, face à la Tanzanie, la recette consistant à mélanger les locaux (six) à cinq professionnels évoluant en Europe a tourné au vinaigre. Encore, une erreur de casting.
A la longue liste des points de tensions entre le Maroc et l’Algérie vient de s’ajouter l’affaire Islam Khoualed, un mineur algérien condamné à un an de prison pour une agression sexuelle présumée sur un enfant marocain. Les médias algériens ont réservé des articles à cette sentence en voici quelques titres.
Talal Karkouri, un ancien du onze national évoluant actuellement au Qatar, vient d’accuser les agents des joueurs d’imposer leurs clients au sélectionneur national.
Islamistes et amazighs ne font pas bon ménage. L’incident des menaces, supposées, de mort contre le salafiste Hassan El Kettani est le dernier épisode de la longue série des relations tumultueuses entre les deux mouvements.
C’est désormais une tradition. Pour accélérer l’adoption des projets de loi, le gouvernement appelle, en période de vacance parlementaire, comme l’est actuellement, les députés à se réunir en session extraordinaire. Cette année, ce rendez-vous accuse du retard, la visite de François Hollande au Maroc en est la cause.
Même si le Maroc a gagné, politiquement, du déclenchement de la crise malienne, au niveau sécuritaire la situation dans ce pays est source de problèmes pour les autorités qui craignent, cette fois-ci, que des jihadistes fuyant l’avancée des troupes françaises n’entrent au royaume.
Le 33ème gouvernement israélien vient d’être annoncé après quarante jours de longues et âpres négociations. Dans la photo de famille figure deux ministres natifs du Maroc.
Après un périple, le mois dernier, dans les capitales du Club des «Amis du Sahara occidental», en plus de Berne et Berlin, Christopher Ross est attendu dans la région maghrébine. Un voyage pour relancer le processus de négociations directes entre le Maroc et le Polisario. Les neuf rounds des réunions informelles, initiées par le même Ross, se sont soldés par un échec.
Ahmed Réda Chami pourrait être appelé à occuper de nouvelles responsabilités. Ses parcours scientifique et professionnel, le prédestineraient à prendre le gouvernail de la CDG. Une institution financière qui bat de l’aile. Un socialiste patron de la CDG pourquoi pas ? Ce sont, en effet, deux socialistes qui étaient à l’origine de la création de la CDG en 1959.