Encore une fois, Hamid Chabat évoque l’affaire du Sahara oriental. Du côté d’Alger, c’est le président du Sénat, d’origine marocaine et naturalisé algérien à l’âge de 24 ans, qui répond au refus de Rabat concernant les trois conditions algériennes à la normalisation des relations entre les deux pays.
Face aux événements en Egypte, les islamistes marocains ont adopté la même position : condamnation de la destitution de Mohamed Morsi, issu des Frères musulmans. Une position contraire à celle de la monarchie.
Les Russes ne perdent pas espoir de vendre un sous-marin, non-nucléaire, au Maroc. Après des rumeurs sur le projet d’achat de la marine royale d’un submersible russo-italien, voilà que Moscou essaye de forcer la main de Rabat en annonçant sa disposition à répondre à un éventuel appel d’offre lancé par le royaume pour l’acquisition d’un sous-marin. Pour les responsables russes, l’Amur 1650 est
Les islamistes au gouvernement ont réussi à imposer leur touche sur un accord culturel, actualisé, entre Rabat et Washington et qui concerne les établissements scolaires américains au Maroc. Il sera interdit aux écoles appartenant aux associations religieuses ou ayant des liens avec elles de porter le "label" «école américaine». Benkirane et les siens ne souhaitent pas le remake de l’affaire de
Février 2011, le Maroc et le Polisario abordent, pour la première fois, le volet humanitaire de la question du Sahara occidental. Depuis les réunions s’enchainent à Genève, la dernière en date a eu les 2 et 3 juillet. Elle vient de consacrer l’option du retour volontaire des réfugiés.
Le 11 février 2011, l’ancien président égyptien démissionne. Un célèbre blogueur local, Waïl Ghonaim, avait écrit «The game is over». Deux années et six mois plus tard, l’expression est plus que jamais d’actualité mais cette fois «The game is over» pour les Frères musulmans et les partis satellites. Le PJD serait-il affecté par cette vague de changements ?
Lundi devant les députés, le ministre du Budget a défendu le recours à l’endettement extérieur. Face aux questions des députés inquiets par l'ampleur de cette dette, Driss Azami Idrissi a tenu à rassurer en rappelant qu'elle ne représente que 25% du PIB.
En attendant une réaction du chef de gouvernement, c’est Mustapha Ramid qui sort de ses gonds en déclarant publiquement son opposition à la décision du ministre des Affaires islamiques de fermer les écoles coraniques du salafiste Mohamed Maghraoui. Ramid a dit tout haut ce que d’autres ministres PJDistes pensent tout bas. Ils auraient même confié au n°2 de l’Association Prédication pour le Coran et la Sunna que
En cette période estivale, l’Espagne ne se prépare pas seulement à l’opération transit des MRE, mais, également, aux visites inopinées des activistes marocains dans les îlots qu’elle occupe en Méditerranée. Et cette année, Madrid tente d’éviter le remake des incidents de 2012.
L’autorité du chef de gouvernement chancelle. Sans consulter Abdelilah Benkirane au préalable, le ministre des Affaires islamiques a ordonné la fermeture des écoles coraniques du salafiste Maghraoui pour non-conformité à la loi de l'enseignement fondamental. Le PJD dénonce une telle mesure. Benkirane, embarrassé, opte pour le silence.