Un nouveau sondage polémique. Cette fois-ci, il est l'œuvre d’une ONG juive américaine, qui remet profondément en question le traditionnel message officiel sur la «tolérance» des Marocains à l’égard des juifs et l’«harmonie» dans laquelle les deux communautés vivaient dans le temps. Détails.
Après deux mois d’accalmie, l’arrondissement de Béni Makada à Tanger est de nouveau en pleine ébullition. Il a été une nouvelle fois le théâtre d’affrontements entre les forces de l’ordre et les salafistes. Cette fois, les événements se sont déplacés du quartier Ard Daoula vers celui de Mabrouka. Toutefois les similitudes entre les deux sont criantes.
En mai 2012, Ahmed Chaâra le plus célèbre des combattants marocains en Syrie, rejoignait les rangs de l’organisation l’Etat islamique en Irak et au Levant, une branche d'Al Qaïda. Deux ans plus tard, il tombe dans les filets des services secrets marocains au niveau de la frontière turco-syrienne.
Le président algérien a adressé une courte lettre à Mohamed Abdelaziz pour rendre la politesse au chef du Polisario. Même si elle arrive avec retard, ce message de soutien a une portée politique en faveur de la direction du Front et du Maroc.
Les combats fratricides entre les organisations intégristes en Syrie et l’avancée des troupes de Bachar El Assad ont contraint certains combattants marocains à opter pour la solution du retour au royaume. Un retour qui inquiète les autorités. Ces hommes ont acquis une expertise dans le maniement des armes et la fabrication d’explosives.
L’Etat n’est pas le seul encadrant religieux des MRE, surtout pendant le Ramadan. Al Adl Wal Ihsane, Mouvement unicité et réforme et Tabligh dépêchent leurs disciples pour réaliser la même mission. Une autre bataille dans la guerre d’influence que se livre ces protagonistes.
Deux jours après la publication d’un rapport d’Amnesty International sur la torture au Maroc, l’exécutif se devait de réagir, d’abord par une déclaration improvisée de son chef, Abdelilah Benkirane, puis par une déclaration du gouvernement, bien rédigée et qui a évité d’envenimer davantage les relations déjà tendues avec des ONG du calibre d’AI ou Human Rights Watch. Plus
En juin prochain, le dossier du Sahara occidental reviendra sur la table des institutions européennes. L’Assemblée parlementaire du conseil de l’Europe examinera un projet de résolution sur la question. Encore une fois, c’est sur le sujet des droits de l’homme que le Maroc est attaqué.
De l'eau a coulé sous les ponts entre la période turbulente du cheikh El Fizazi au discours takfiriste assumé, à celui du salafiste gracié par le roi, et qui a accepté de participer au système. Une vidéo de 40 minutes qui circulent sur internet nous propose de comparer les deux Mohamed El Fizazi pour déceler le double discours.
Politique de l'autruche au niveau des autorités de Rabat. Afin d’éviter tout problème avec une ONG fraichement créée, elles ont refusé de réceptionner le dossier juridique. Une interdiction déguisée. L’association en question compte parmi ses membres, le journaliste Ali Anouzla, le directeur du site censuré Lakome.