Bab Louta est assez méconnu du grand public. Prisé par certains passionnés et amateurs de pêche sportive, il constitue pour plusieurs d’entre eux une sorte de jardin secret.
Bien plus qu’un restaurant, devenu passage obligatoire pour les touristes, la Sqala est un des derniers vestiges de Casablanca. Avec plus de trois siècles d’histoire, ce lieu fait parti intégrante du patrimoine de la ville blanche.
Le musée Forbes n’est plus accessible au grand public, ses collections ont été dispersées, mais son histoire et les souvenirs que recèlent ce lieu sont ancrés dans la mémoire des Tangérois.
Si vous êtes à la recherche d’évasion, de sensation forte et de dépaysement total, Akchour devrait être au plus haut de votre liste. En effet, cette vallée non loin de Chefchaouen vous charmera avec ses paysages à couper le souffle. Si Chefchaouen est la perle bleue, Akchour est son écrin vert.
Plusieurs aspects du passé commun au Maroc et à l’Espagne sont connus. Cependant, la grande contribution du royaume chérifien à l’abolition de l’esclavagisme dans le pays ibérique est rarement évoquée. Yabiladi revient sur cet épisode, celui d’un des plus grands marchés historiques d’esclaves en Espagne : Huelva.
Le monastère de Notre Dame de l’Atlas près de Midelt est assez méconnu du grand public. Pourtant, l’histoire et la symbolique de ce lieu dépassent les frontières du royaume. Découverte.
Si de nos jours, on évoque surtout les flux migratoires d'Afrique vers l’Europe, dans le passé c'était plutôt l'inverse. C’est le cas notamment des Espagnols qui ont longtemps et pour diverses raisons choisi de s’installer au Maroc.
Des documents révélés cette semaine le quotidien ABC dévoilent les ambitions de Franco et de Hitler au Maroc, durant la Seconde Guerre mondiale. Même si ces négociations n’ont pas abouti, elles mettent en lumière la convoitise que suscitait le territoire marocain.
Imaginez si chaque année 4,5 millions de touristes se rendaient à Tanger. Imaginez si l’un des maîtres de l’art moderne pouvait remodeler la ville. C’est en tout cas un des nombreux projets d’Antoni Gaudí qui n’ont finalement jamais vu le jour. A l’image d’Eugène Delacroix, Gaudí a été fortement inspiré par son séjour au Maroc.
Ahmed El Inglizi a vécu mille et une vies. L’architecte anglais s’était converti à l’Islam et avait lutté dans les rangs des corsaires de Salé. Engagé par le sultan Mohammed Ben Abdellah, on lui doit la rénovation de l’ancienne médina de Rabat ou encore la construction d’une partie de la ville portuaire d’Essaouira.