Tentant de regagner Melilla, deux réfugiés yéménites auraient été victimes de violences physiques, la semaine dernière, au commissariat du poste frontalier de Beni Ensar. L’Association marocaine des droits humains (AMDH) à Nador, qui a lancé l’alerte ce vendredi, fait état de «véritable torture au moment où les deux ressortissants tentaient de rejoindre l’enclave pour s’inscrire au
La première émission souveraine de Sukuk au Maroc a été opérée le 5 octobre. A cet effet, Al Akhdar Bank a été désigné pour accompagner cet exercice en tant qu’établissement dépositaire. La banque participative, filiale du Groupe Crédit Agricole du Maroc et de la Société Islamique pour le Développement du Secteur Privé (ICD_PS), conservera ainsi les actifs du Fonds de
En décidant de changer d’entraîneur principal, le club abidjanais Williamsville Athletic vient de nommer le Marocain Rachid Ghaflaoui. Annoncée mercredi dernier sur la page officielle du WAC ivoirien, cette décision a pour objectif d’«insuffler un second souffle à la jeune équipe», selon Koné Abackar, président de la formation sportive. Rachid Ghaflaoui a déjà entamé une première
Ayant grandi à Saint-Denis, la réalisatrice et écrivaine Bouchera Azzouz a développé tôt sa fibre militante et féministe. Aujourd’hui, elle accompagne les femmes issues des banlieues dans leur autonomisation et leur épanouissement.
Entendu depuis vendredi matin par le tribunal de Paris, Alexandre Benalla a quitté les lieux dans l’après-midi, au terme de son premier interrogatoire par les juges d’instruction chargés de l’affaire, indique l’AFP. Il se dit «serein et soulagé» d’avoir répondu aux questions des juges, selon BFM TV. Alexandre Benalla sera entendu une seconde fois, dans le cadre de sa mise en examen pour «violences en
A 15 ans, un jeune garçon a été condamné par le tribunal de première instance à Al Hoceïma, mardi, à un an de centre correctionnel. Cité par l’agence EFE, l’avocat du mineur, Abdelmayid Azeriyah, explique que B.M. sera admis au centre de détention pour mineurs de Nador, à près de cent kilomètres de sa ville natale. L’enfant est accusé d’«incendie intentionnel»,
Cas inédit, les prud’hommes ont rendu justice en août dernier aux quatre bûcherons marocains exploités par leur employeur en Indre. Ce procès a permis à d’autres ouvriers de sortir du silence, notamment dans le Vaucluse où cinq Marocains ont porté plainte.
Employés dans des champs agricoles du sud de la France, cinq travailleurs marocains détachés ont été entendus, jeudi, par les prud’hommes d’Arles. Les plaignants – dont trois femmes – disent avoir été victimes d’esclavage et demandent réparation. Selon l’AFP, ils font état d’heures supplémentaires, de primes de précarité et de congés non payés, en plus
Ras-le-bol. C'est le cri exprimé par un collectif d'habitants à Tanger à Yabiladi, contre «les abus» de la société gestionnaire des stationnements en place publique. Entre péages exorbitants et utilisation de sabots à outrance, les riverains ripostent.
Les quatre bûcherons marocains exploités pendant un an par leur employeur turc viennent de recevoir leur carte de séjour. Cependant, la procédure à travers laquelle ils poursuivent leur ancien patron pour traite d'êtres humains n’a pas encore abouti. Selon La Nouvelle République, le retrait du document s’est effectué le 14 septembre dernier à la préfecture d’Aigurande. S’étant vus promettre un