Dépêché par le sultan alaouite Moulay Abderrahmane pour le représenter auprès du roi Louis-Philippe 1er de France, la mission diplomatique d’Abdelkader Ach’Ach constituera le début de la fin d’une puissante famille tétouanie.
Pendant trois décennies, Tanger fut la maison de la riche héritière américaine Barbara Hutton. Pour oublier sa vie désespérée, elle a accueilli les soirées les plus extravagantes de la ville, vivant pleinement le rêve marocain.
Dépêché par le sultan alaouite Moulay Mohammed Ben Abdellah pour le représenter auprès du roi Georges III d’Angleterre, Jacob Benider souffrira de discrimination. Portrait d’un Britannique de confession juive, nommé en 1772 comme ambassadeur du Maroc à Londres.
Dépêché par le sultan saadien Mohamed Cheikh Es-Sghir, dit Mohamed Saadi III, pour le représenter auprès du roi Charles Ier, Mohamed Ben Askar sera choisi comme ambassadeur du Maroc à Londres et à Amsterdam. Mais Ben Askar échouera dans ses deux missions.
Dans cette série, Yabiladi fait la lumière sur les organisations secrètes qui ont marqué l’histoire du Maroc contemporain. Dans cette huitième partie, l’histoire de «Tanzim», l’aile armée de l’Union nationale des forces populaires. Une organisation clandestine, aux dimensions internationales, fondée par Fqih Basri et liée aux «Evénements de Moulay Bouazza» dans la nuit du 2 au 3 mars
Le 5 août 1907, cinq ans avant la signature du traité de Fès en 1912, le croiseur français Galilée bombardait Casablanca faisant plusieurs centaines de victimes. Dans la journée, le frégate sera rejoint par deux autres navires militaire, l’escorteur d'escadre Du Chayla et le croiseur Forbin, laissant les rues de la capitale économique jonchée de ruines et de cadavres. Histoire.
Le 4 août 1578, le roi Sébastien 1er du Portugal, le prince déchu Mohammed Al Moutawwakil Al Maslûkh et le roi saadien Abd Al Malik perdront la vie près de Ksar El Kébir dans la bataille d’Oued Al Makhazin. Histoire de la célèbre bataille des trois rois ayant marqué à jamais l’histoire du Maroc et du Portugal.
De 1981 à 1989, alors qu’il affirmait son refus de négocier directement avec le Front Polisario, le royaume enverra ses émissaires pour rencontrer ceux du mouvement séparatiste à plusieurs reprises. Ces rencontres, dont une présidée par Hassan II, essuieront toutefois un échec cuisant.
En août 1990, Saddam Hussein ordonne à son armée d’envahir le Koweït, créant ainsi une crise qui donnera lieu à la Deuxième guerre du Golfe. Une période durant laquelle le roi Hassan II restera mobilisé pour mettre fin aux différends de la nation arabe.
Quelques années après la Marche verte et la libération du Sahara de l’occupation espagnole, une guerre entre le Maroc et le Polisario s’était déclenchée. Un document secret de la CIA s’inquiétait même, en 1979, d’une «perte d'efficacité du Maroc» face au Polisario. Mais le royaume fera construire un mur qui épuisera les guérillas du mouvement séparatiste.