Le Maroc traine le pas pour délivrer des licences aux banques islamiques. En novembre, le wali de Bank Al Maghrib -Abdellatif Jouahri- annonçait, lors d’un point de presse, une telle entrée pour «début 2016». Face à ces «hésitations», le groupe des députés du PJD demande la convocation de l’argentier du royaume, Mohamed Boussaid, à la commission des finances de la Chambre des
Ban Ki-moon est déterminé à organiser le congrès des donateurs au profit des sahraouis des camps de Tindouf. L’événement est prévu en juin. Le Maroc est prêt à y prendre part. En revanche, le Polisario n’a montré jusqu’à présent pas de grand intérêt.
Des réseaux de trafic de drogue, à base tribale, se disputent violemment le contrôle de ce juteux marché à Laâyoune. Ils n’hésitent pas à utiliser des armes de feu pour se débarrasser de la concurrence. En témoigne, les graves incidents de la semaine dernière. Un réel défi pour les autorités marocaines.
Le secrétariat général du PJD a décidé de sortir de son silence en apportant un appui ferme au maire de Rabat. Même s’il déclare sa «confiance» en la justice marocaine, Abdelilah Benkirane accuse le PAM, mais sans le citer nommément, d’avoir orchestré toute cette affaire contre Seddiki. Avant la comparution de Mohamed Seddiki, le 25 avril devant la Brigade nationale de police judicaire, le SG de
Les fidèles au courant Ahmed Zaidi -le député de l’USFP décédé en décembre 2014- tiennent le congrès constitutif de leur nouvelle formation : le Parti alternative démocratique. La réunion est prévue le 7 mai à Mohammadia dans la salle Abderrahim Bouabid (le fondateur de l’USFP en 1975). Les congressistes du PAD devraient porter à la présidence Ali El Yazghi (le fils de l’ancien
La fête du Travail a permis à Abdelilah Benkirane de fustiger les «abus» de pouvoir commis par les cadres de l’administration territoriale. Il prend ainsi ses distances avec son ministère de l'Intérieur.
Le Maroc semble plutôt satisfait de la nouvelle résolution sur le Sahara. Le ministère des Affaires étrangères estime même qu’il s’agit d’«un revers cinglant» pour Ban Ki-moon.
Au Conseil de sécurité, le Maroc s’en sort avec des dégâts minimes. Les Quinze n’ont pas condamné les expulsions d’éléments de la Minurso, ni brandi la menace de sanctions à l’encontre du royaume.
Le ministère des Affaires islamiques tente, selon ses ressources, d’endiguer la multiplication des actes de suicides de Marocains par immolation par le feu. Des actes de désespoir dû généralement à des sentiments de «Hogra» ou à des problèmes personnels. Ce qui s’est passé, mi-avril à Kenitra, avec le décès au CHU de Rabat d’une vendeuse ambulante agressée physiquement par
Le Bureau central d'investigation judiciaire annonce ce vendredi le démantèlement d’une nouvelle cellule présumée terroriste à Nador, proche de l’organisation "Etat islamique", composée de trois individus. Les investigations ont montré que les prévenus ont reçu des instructions de la part de cadre de Daesh en vue de créer une «wilaya» au nord du Maroc et de planifier des attentats suicides par le