Les potentiels alliés de la Lampe se disent confiants quant aux capacités de Saâdeddine El Othmani à dépasser le «blocage». Pour l'heure, ils se gardent de soumettre des conditions au successeur d'Abdelilah Benkirane.
La réunion entre la délégation du Polisario conduite par Brahim Ghali et le secrétaire général de l’ONU a duré presque une heure et demi, sans néanmoins enregistrer de réels progrès. En échange de retirer ses milices de la zone Guerguerate, le Front a exigé des Nations Unis deux conditions : une reprise des rounds de négociations avec le Maroc en rade depuis cinq ans et un élargissement
Le 38e étage des Nations Unies abrite en ce moment une rencontre entre une délégation du Polisario conduite par Brahim Ghali et le secrétaire général de l’ONU. «Christopher Ross est l’invité surprise de la réunion», nous confie une source. Une présence qui soulève des interrogations alors que le diplomate américain a présenté sa démission à Antonio Guterres. Dans
Le roi a désigné Saâdeddine El Othmani en tant que nouveau chef de gouvernement. Par cette nomination, Mohammed VI contribue au maintien de l’unité du parti de la Lampe et répond à l’aile dure du PJD et aux spéculations des islamistes maghrébins.
Le chef du Polisario est aux Etats-Unis. Sur son agenda américain figure une réunion avec le secrétaire général de l’ONU et des rencontres avec les lobbys du Front. Ce déplacement englobe également un volet personnel, d’ordre médical.
Le secrétariat général du PJD a défendu le bilan de Benkirane, l’exemptant de toute responsabilité dans le «blocage». L’instance directive du parti pointe du doigt «les conditions successives» dans le retard de la formation du gouvernement.
Sans surprise, le secrétariat général du PJD a accepté le limogeage d'Abdelilah Benkirane. La décision sera entérinée samedi 18 mars par le conseil national de la Lampe. Simple formalité.
Qui sera le successeur d'Abdelilah Benkirane ? Quatre prétendants pourraient assumer les fonctions de chef de gouvernement. Mais le PJD n’aura pas cinq mois devant lui pour désigner son candidat. Le communiqué du cabinet royal a insisté, hier soir, sur «un délai
Le Maroc a interpellé un ressortissant libanais que les Etats-Unis accusent de financer une "organisation terroriste", en l’occurrence le Hezbollah.
La parenthèse Benkirane est terminée. Après cinq mois de «blocage», le roi Mohammed VI a décidé de nommer une autre personnalité du PJD pour former un nouveau gouvernement, indique un communiqué du cabinet royal diffusé ce soir au JT arabophone d’Al Aoula. La même source explique que le souverain a maintes fois demandé à Benkirane d’accélérer la formation d’un nouvel