Après les grèves cycliques dans les secteurs de la justice, santé et collectivité locales, deux syndicats comptent organiser, le dimanche 27 mai, une marche populaire à Casablanca. Des raisons politiques seraient à l’origine de cette initiative.
Le premier ambassadeur du Maroc indépendant en France fut Abderrahim Bouabid. Aujourd’hui, 56 ans après cet événement, des socialistes caressent le rêve de succéder au fondateur de l’USFP à la tête de la chancellerie du royaume à Paris.
Les Espagnols ont réservé, vendredi un accueil chaleureux à Abdelilah Benkirane. D’abord à Madrid avec une audience, en tête à tête, avec le roi Juan Carlos, des entretiens avec le chef du gouvernement Mariano Rajoy et une réunion avec le président de la Chambre basse du parlement, puis à Barcelone où il a donné une conférence sur le changement démocratique au Maroc.
Le lundi 14 mai, le chef du gouvernement a passé son oral chez les députés. Le mardi 22 mai, il le fera à la Chambre des conseillers lors de la session hebdomadaire des questions orales. Un passage très attendu, sachant que l’équipe Benkirane ne possède pas une forte majorité à la Chambre haute. Pire encore, le chef de l’exécutif ne peut même compter sur l’appui inconditionnel de ses
Un accord de libre-échange global avec le Maroc est l’objectif annoncé par la Commission européenne. Bruxelles entend, également, octroyer des facilités d’accès aux étudiants et aux investisseurs à l’espace des Vingt-sept.
L’approche sécuritaire du gouvernement Benkirane a été dénoncée, hier, à la Chambre des conseillers. Mustapha Ramid , présent à l’hémicycle, a essayé de défendre son équipe.
On connaît les liens avérés qui unissent le PJD marocain et Annahda tunsien, les deux partis président les gouvernements de leurs pays respectifs. Les salafistes des deux côtés souhaitent marcher sur les pas des premiers. Une tentative qui rencontre, pour le moment, quelques obstacles.
Pendant plus de deux heures, Benkirane s’est plié, hier à la Chambre des représentants, aux jeux des questions de la majorité et de l’opposition. Un exercice inédit qui, dorénavant, sera mensuel
La tension monte d’un cran à Béni Bouyache. La poursuite des arrestations de jeunes en est la principale cause. Cette fois, c’est le cas Halim El Bekkali qui est à l’origine de l’escalade.
L’impôt sur la fortune ne figure pas sur la loi de finance 2012, adoptée, le vendredi 10 mai, par la Chambre des conseillers. Un vote que conteste, d’ailleurs, la FDT. Le syndicat, très proche de l’USFP, compte solliciter l’avis de la Cour constitutionnelle.