Pour le ministre de l’Habitat, la responsabilité de l’effondrement de trois immeubles à Casablanca se situe au niveau local. Hier, Nabil Benabdellah a dit qu’il refuse de présenter sa démission parce que son département n’est pas la partie qui a accordé les autorisations de construction.
L’Etat islamique compte 2000 jihadistes européens d’origine marocaine. Un chiffre révélé, hier, par le ministre de l’Intérieur. Quant aux "nationaux", ils sont 1122. Parmi eux, certains qui occupent de hautes responsabilités au sein de l’appareil de l’EI alors que d’autres sont destinés à mener des opérations suicides.
La deuxième militante du Mouvement 20 février, arrêtée pour "allégations mensongères" de "séquestration et torture" est toujours en détention, au moins jusqu’au 4 août. Sa demande de liberté provisoire a été rejetée par la cour. Aujourd’hui, le ministre de l’Intérieur a jeté un pavé dans la marre, accusant des ONG de relayer ce genre de message dans l'objectif de
Une enseigne intégriste marocaine fait acte d'allégeance au chef de l’Etat islamique et menace de commettre des attentats au royaume. Une annonce qui intervient dans un contexte de tensions après les révélations du ministre de l’Intérieur sur le danger terroriste qui guette le Maroc et l’agression du rabbin Moshé Ohayon.
Ramadan 2013, Juan Carlos effectuait sa dernière visite, en sa qualité de roi d’Espagne, au Maroc. Ramadan 2014, le nouveau monarque, Felipe VI se déplace à Rabat. Comme dans le cas du père, le fils bénéficie, également, de cadeaux de la part de Mohammed VI.
Un tiers ? Non 40%. C'est le nombre de sièges que visent les femmes pour les prochaines élections communales de 2015. L’Istiqlal de Hamid Chabat y est entièrement favorablement. La balle est dans le camp du gouvernement Benkirane mais également chez celui des partis politiques.
Des anciens combattants marocains à la Seconde Guerre mondiale prennent part, aujourd’hui à Paris, à la fête du 14 juillet. Parmi eux, Hammou Moussik, 96 ans. L’hebdomadaire Le Nouvel Observateur lui a consacré un sympathique portrait, dans sa série «Ils ont combattu pour la France».
«Irresponsables», «outranciers», «déclarations insultantes», «accusations fallacieuses», voilà un échantillon du lexique utilisé par la diplomatie algérienne pour riposter aux propos tenus, le jeudi 10 juillet au parlement, par le ministre marocain des Affaires étrangères sur le rôle d’Alger dans le conflit du Sahara occidental. Un contexte qui n’est pas sans rappeler
Un rabbin de la communauté juive de Casablanca a été victime d’une agression. Cet acte pour l'instant isolé semble en relation avec les événements à Gaza et inquiète la communauté juive marocaine. Un incident qui intervient quatre jours après les assertions du ministre de l’Intérieur sur la menace terroriste sérieuse qui guette le Maroc.
Depuis la publication du rapport d’Amnesty international sur la torture mettant en cause le Maroc, le gouvernement a décidé de réagir en soumettant les allégations à des enquêtes. Mais celles-ci se finissent jusqu’à présent par l’arrestation des initiateurs des plaintes pour «dénonciation calomnieuse». Et parmi les victimes on retrouve deux membres du Mouvement du 20 Février, Oussama