Cinq jours après qu’Al Oula et 2M aient présenté Abdelfattah Al Sissi en tant que «leader des putschistes», l’ambassadeur du royaume dans ce pays arrive à Rabat. Le silence du ministère des Affaires étrangères laisse la porte ouverte à toutes les interprétations y compris le rappel. En Egypte, les médias locaux, n’ont pas encore reçu l'autorisation de commenter ce départ.
Dans la région arabo-musulmane, les Marocains ne sont pas les lpus nombreux à visiter Israël. Ils ne sont que cinquièmes derrière les Indonésiens, les Malaisiens, les Jordaniens et les Egyptiens.
Le chef du gouvernement a de nouveau abordé l’affaire Ouzzine. Dimanche à Rabat, à l’occasion d’une réunion avec les chefs de sections de la jeunesse du PJD, Abdelilah Benkirane a démenti formellement les rumeurs annonçant un léger remaniement ministériel qui permettrait à Mohamed Ouzzine de rester au sein de l’exécutif mais en tant que ministre d’Etat sans portefeuille. Un poste vacant depuis
Les relations entre le PJD et ses anciens alliés dans les monarchies du Golfe sont loin de la normalisation. La proximité des islamistes de la Lampe avec les Frères musulmans et la Turquie pèse toujours en leur défaveur. De plus en plus de critiques à leur égard proviennent des pays du Golfe. La dernière en date porte la signature d’un responsable sécuritaire émirati.
Le chef de la diplomatie égyptienne a une nouvelle fois endossé son uniforme de sapeur-pompier en téléphonant à Salaheddine Mezouar. La dernière fois que Sameh Choukri a été contraint de jouer ce rôle remonte à quelques mois. C’était lors de l’affaire de la journaliste Amany Al Khayat en juin 2014.
La Royal Air Maroc a réceptionné son premier Boeing 787 Dreamliner. L’appareil, un long courrier pouvant transporté entre 200 et 330 passagers, a atterri, samedi, à l’aéroport Mohammed V de Casablanca. Le transporteur public se dote, ainsi, d’un avion très moderne et présenté, à en croire le site de Boeing, comme économe dans sa consommation de carburant, «jusqu’à moins de 20%». Le
Le Mouvement populaire tente de surfer, à sa manière, sur l'emballement médiatique entre Rabat et le Caire. La formation que dirige Mohand Laenser s’est rappelée, enfin, qu’une journaliste égyptienne a attaqué le royaume lundi dernier, alors qu’elle n’avait pas réagi lorsqu’un animateur d’une émission s’en était pris au roi Mohammed VI.
Mohamed Saâd Alami, l’ambassadeur du royaume en Egypte se trouve, à son corps défendant, sous les projecteurs des médias locaux. L’Istiqlalien, assaillit par les questions des journalistes, tente de jouer le sapeur-pompier. Il a déclaré que les reportages très critiques, diffusés hier soir, par Al Aoula et 2M ne pourraient être que l’œuvre d’une partie ««inconnue» qui veut du mal aux
Le Maroc réagit vivement à la campagne de certains médias égyptiens contre le Maroc. Pour la première fois depuis la destitution du président Mohamed Morsi, un média officiel marocain remet en question l’élection du président Abdelfattah Al Sissi et le présente même comme le «leader des putschistes».
Malgré lui, le directeur du CCM continue d’alimenter la polémique sur l’interdiction du film «Exodus : Gods ans kings» au Maroc. L’homme affronte sa première grande crise alors qu’il n’est aux commandes du centre cinématographique que depuis trois mois.