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Visites du CICR (la Croix rouge) aux détenus : des personnes libérées...
t
20 janvier 2005 11:21




Visites du CICR aux détenus : des personnes libérées témoignent

Les délégués du CICR visitent les personnes privées de liberté en situation de conflit armé depuis le paroxysme de la Première Guerre mondiale. Aujourd’hui, d’anciens détenus nous font part de leurs pensées et de leurs sentiments à propos du rôle du CICR par le biais de lettres, d’interviews, de discours et autres témoignages écrits.
... le CICR a joué le rôle de « cordon ombilical » entre les prisonniers et leur famille, en leur apportant des colis, lors de leurs visites semestrielles, et en leur permettant d’échanger des messages avec leurs proches
Maroc - Ali Najab, détenu pendant 25 ans
Imaginez passer 25 ans de votre vie en détention… C’est ce qui est arrivé à Ali Najab, ancien pilote de l’armée de l’air marocaine, capturé par le Front Polisario en 1978. Dans une lettre adressée au président du CICR fin 2003, Ali fait part de sa gratitude à l’égard de l’institution et de ses collaborateurs, qui l’ont visité durant cette période.

Les délégués du CICR basés à la délégation régionale de Tunis ont visité à de nombreuses reprises Ali Najab, alors qu’il était aux mains du Front Polisario, dans un des centres de détention de la région de Tindouf (Algérie).

Dans sa lettre, cet ancien détenu remercie les délégués du CICR pour avoir contribué à l’amélioration progressive des conditions de détention prévalant dans le camp. Il explique que le CICR a joué le rôle de « cordon ombilical » entre les prisonniers et leur famille, en leur apportant des colis, lors de leurs visites semestrielles, et en leur permettant d’échanger des messages avec leurs proches. « Les jours où le CICR venait, confie Ali Najab, ont toujours été pour nous des jours de fête. »

Il rend en outre hommage à la compassion et au professionnalisme des délégués du CICR et affirme que, grâce à l’institution, les détenus retrouvent leur dignité d’êtres humains. Et d’ajouter que le CICR a de tout temps été apprécié pour la source d’espoir qu’il représente pour tous.

M. Najab, qui écrit au seuil de la nouvelle année, termine son message en souhaitant que les entreprises du CICR soient toujours « couronnées de succès ».

Source: www.icrc.org
[www.icrc.org]
f
3 février 2010 11:58
Bonjour
C'est la langue de bois tout ça.Le CICR ou ses délégués n ont pu voir les prisonniers de guerre marocain qu'après le cessez le feu en 1991.Or les conventions de Genève stipule que les prisonniers doivent être libérés a l arrêt effectif des hostilités.Et le Polisario pour diminuer la pression sur lui(la pression des institutions non gouvernementales s entend pas celle du Maroc officiel)avait accepte des visites au compte goutte des délégués du CICR.Ces même délégués avaient vu et avaient rapatries un grand nombre de civils qui ont été captures contre toutes les conventions de Genève.et n avait jamais condamnes ces agissements (c'était pour préserver la relation avec le polisario et l Algérie).Tout ça n'est pas trop grave ce qui l est c est bien le silence des marocains(je parle des marocains comme vous et moi)c est une leçon que nous devons apprendre par cœur et ne jamais permettre a un compatriote de souffrir au mains d autres personnes,et attendre que le soutien vient de l étranger.Si c'était des prisonniers occidentaux leurs gouvernements auraient couru pour leur venir en aide parce que l opinion publique les presserait .on se rappelle bien les prisonniers américains en Irak et l'interdiction faite a tous les médias de les présentera visage découvert pour disant préserver leur dignité. Comme si nous, nous en avons pas.mais sachons que la dignité ça se mérite.


Citation
telev a écrit:
Visites du CICR aux détenus : des personnes libérées témoignent

Les délégués du CICR visitent les personnes privées de liberté en situation de conflit armé depuis le paroxysme de la Première Guerre mondiale. Aujourd’hui, d’anciens détenus nous font part de leurs pensées et de leurs sentiments à propos du rôle du CICR par le biais de lettres, d’interviews, de discours et autres témoignages écrits.
... le CICR a joué le rôle de « cordon ombilical » entre les prisonniers et leur famille, en leur apportant des colis, lors de leurs visites semestrielles, et en leur permettant d’échanger des messages avec leurs proches
Maroc - Ali Najab, détenu pendant 25 ans
Imaginez passer 25 ans de votre vie en détention… C’est ce qui est arrivé à Ali Najab, ancien pilote de l’armée de l’air marocaine, capturé par le Front Polisario en 1978. Dans une lettre adressée au président du CICR fin 2003, Ali fait part de sa gratitude à l’égard de l’institution et de ses collaborateurs, qui l’ont visité durant cette période.

Les délégués du CICR basés à la délégation régionale de Tunis ont visité à de nombreuses reprises Ali Najab, alors qu’il était aux mains du Front Polisario, dans un des centres de détention de la région de Tindouf (Algérie).

Dans sa lettre, cet ancien détenu remercie les délégués du CICR pour avoir contribué à l’amélioration progressive des conditions de détention prévalant dans le camp. Il explique que le CICR a joué le rôle de « cordon ombilical » entre les prisonniers et leur famille, en leur apportant des colis, lors de leurs visites semestrielles, et en leur permettant d’échanger des messages avec leurs proches. « Les jours où le CICR venait, confie Ali Najab, ont toujours été pour nous des jours de fête. »

Il rend en outre hommage à la compassion et au professionnalisme des délégués du CICR et affirme que, grâce à l’institution, les détenus retrouvent leur dignité d’êtres humains. Et d’ajouter que le CICR a de tout temps été apprécié pour la source d’espoir qu’il représente pour tous.

M. Najab, qui écrit au seuil de la nouvelle année, termine son message en souhaitant que les entreprises du CICR soient toujours « couronnées de succès ».

Source: www.icrc.org
[www.icrc.org]
 
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