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abdou_allah_ibnou_rochd a écrit:
je me pose serieusement des question sur la neutralité de reuteurs,comme sur l article du monde sur la question et comme aussi sur le mediatiquement correct occidental et leur filleuil au maroc(la presse independante) en ce qui concerne notre cause national.
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peace_and_love a écrit:
Il n ya que l'ALM et la MAP qui ont raison
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peace_and_love a écrit:
Le sort du Sahara occidental pourrait se jouer en avril
Le sort du Sahara occidental, l'un des dossiers les plus inextricables de la décolonisation en Afrique, se jouera en grande partie à la fin du mois d'avril devant le Conseil de sécurité de l'Onu.
© Reuters
Les Nations unies parrainent depuis 1991 dans l'ex-colonie espagnole, annexée en 1975 par le Maroc, une trêve censée à l'origine permettre la tenue d'un référendum d'autodétermination par lequel les Sahraouis se prononceraient pour l'indépendance ou pour leur rattachement au Maroc.
Mais l'organisation mondiale, qui entretient depuis quinze ans sur le terrain une coûteuse mission de soldats, policiers et observateurs censés superviser cette consultation, s'est révélée impuissante à imposer aux deux parties les conditions d'une consultation libre, équitable et incontestable.
Artisan de la "marche verte" qui a permis au Maroc de mettre la main sur le Sahara espagnol à la faveur de l'agonie de Franco fin 1975, le roi Hassan II avait dû accepter dans les années 1980 le principe d'une consultation du peuple sahraoui, tout en précisant qu'il ne s'agirait que d'un "référendum confirmatif" de la marocanité du Sahara.
Incapable d'organiser un référendum d'autodétermination incontestable, l'Onu avait ensuite envisagé un plan d'autonomie de quatre ans pour le Sahara, au terme duquel les électeurs Sahraouis - la Minurso en a laborieusement recensé près de 90.000 - se seraient prononcés pour ou contre l'indépendance.
Ce compromis, accepté par le Front polisario et son puissant allié algérien, a été rejeté par le Maroc, dont le jeune roi Mohamed VI, en visite en à El Ayoune en 2002, a déclaré qu'il "ne renoncera jamais à un seul pouce du territoire de son Sahara inaliénable et indivisible".
De son côté, le secrétaire général du Polisario, Mohamed Abdelaziz, a déclaré que le maintien à l'ordre du jour du Conseil de sécurité des Nations unies de la tenue d'un référendum d'autodétermination, pour "mener à son terme le processus de décolonisation du Sahara occidental malgré l'intransigeance du Maroc", était pour lui un "motif de satisfaction et d'espoir".
"Donc, nous avons espoir qu'à la fin du mois d'avril, au moment où le Conseil aura à traiter de la question du Sahara occidental, il y aura une nouvelle impulsion de la part du Conseil de sécurité afin d'amener le Maroc à accepter l'organisation d'un référendum au Sahara occidental."
"INTIFADA SAHRAOUIE"
"Certes, il y des tentatives du Maroc pour sortir de cette voie, on parle même d'autonomie, mais nous disons clairement que nous rejetons une telle approche et nous sommes convaincus que le Conseil de sécurité ne tombera pas dans ce piège", a dit Abdelaziz à l'agence Reuters à l'occasion des festivités du 30e anniversaire de la proclamation de la République arabe sahraouie démocratique.
Celles-ci ont eu lieu lundi à Tifariti, localité des "territoires libérés" (non contrôlés par le Maroc), en présence de centaines d'invités - ministres ou ambassadeurs africains, ONG, organisations de défense de la cause sahraouie, journalistes, etc.
Elles ont donné lieu à un défilé militaire et Abdelaziz, qui est président de la RASD, un Etat quasiment sans territoire mais reconnu par plus de la moitié des pays de l'Union africaine, a passé en revue une centaine de blindés et autres mitrailleuses montées sur 4x4.
Ces célébrations, qui ont provoqué la fureur au Maroc, se tenaient pour la première fois dans la partie de l'ancien Sahara occidental échappant au contrôle du royaume chérifien mais elles n'avaient pas le lustre militaire des festivités du passé dans les camps de Tindouf, avec une débauche de moyens militaires.
"Nous voulons plutôt que ce soit une démonstration pour la paix. C'est plutôt l'option que nous continuons de privilégier. Loin de nous toute idée de démonstration de force aujourd'hui", a assuré le chef du Polisario.
"Tant que les Nations unies sont là, tant qu'elles montrent une volonté de vouloir résoudre le conflit sur la base du respect des droits du peuple sahraoui à s'exprimer sur son destin, nous continuerons à privilégier cette voie malgré les pressions", a-t-il poursuivi.
Emanant des réfugiés des camps, des "zones libérées" et de l'intérieur du Sahara sous contrôle du Maroc, ces pressions visent à reprendre la guerre, qui avait dans les années 1970-80 permis au Polisario d'infliger de sérieux revers militaires aux troupes marocaines, comme Reuters en avait témoigné à l'époque.
Alors que le Maroc a présenté les festivités du 30e anniversaire de la RASD comme une provocation grave violant le cessez-le-feu de 1991 et exacerbant les tensions sur le terrain, Abdelaziz n'a pas renouvelé ses menaces passées de reprendre la guerre en cas d'échec au Conseil de sécurité.
Mais, a-t-il dit, si on est obligé, si la seule option qui nous reste c'est de reprendre les armes, nous reprendrons les armes pour défendre nos droits".
Il a toutefois insisté, lors de son interview à Reuters, sur la solution diplomatique et a dit, en français, espérer "beaucoup" de l'agitation nationaliste qui se développe dans la partie sous contrôle marocain - "l'intifada sahraouie".
[www.lexpress.fr]
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Vador a écrit:
que c'est lourd ............... article contre article
continuez c'est bien ,la chine explose , les USA colonisent le monde , l'europe fait du commerce , et NOUS on cherche des articles dans la presse malienne et cubaine pour savoir à qui appartient un fouuutu bout de desert à la C O N
c'est bien , je suis optimiste