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Quand nos enfants vivent des périodes de conflit avec certains camarades d'école des parents ont tendance à dire que c'est sans importance et que ce ne sont que des gamineries. Qu'il y a plus grave dans la vie. Et l'enfant entend souvent "qu'est-ce que je devrais dire moi avec etc..."

Je pense que nous faisons -parfois- une grave erreur ce que vit notre enfant dans un conflit entre enfants de son âge est égal, voir pire que ce que nous vivons parfois en tant qu'adultes. Ce sont leurs premières souffrances. Et nous avons tendance à minimiser.

Je viens de prendre conscience -avec une certaine consternation- de cela en écoutant récemment mon fils de bientôt 15 ans évoquer la période difficile et même douloureuse qu'il a vécue durant son année de 6ème, il n'avait que 11 ans. A cause de la méchanceté de deux garçons qu'ils connaissaient déjà en primaire et qui ont fait le vide autour de lui en racontant des histoires stupides.

Il nous en parlait mais nous n'avons pas perçu alors l'étendue de sa souffrance, nous l'avons conseillé mais il est vrai que son père et moi avons fait en sorte de minimiser l'affaire.
A onze ans on vit sa vie comme un enfant de 11 ans pas comme un père ou une mère de 40 ans ou plus. On n'a pas de recul, on vit ses premières souffrances et elles sont terribles.
Il n'est pas question non plus d'intensifier son histoire en dramatisant à souhait mais trouver l'attitude juste pour que lui dédramatise ce qu'il vit. Qu'il prenne le recul nécessaire et à cet âge ce n'est pas évident.

Salut

Le cliché du "comment s'est passée ta journée ? ☺️" Qu'on a tous vu dans les films, franchement je pense qu'on devrait l'appliquer

Perso mes parents ne m'ont JAMAIS demandé comment s'était passée ma journée .. lol

Je pense que c'est difficile de créer une relation de confiance et de proximité telle que l'enfant confie tout ce qu'il a sur le cœur à ses parents, et en même temps une relation d'autorité.

Enfin je dis ça mais je n'ai pas d'enfant.
Je parle avec mon "expérience".
Parfois on ne peut pas dire ce qu'on vit parce qu'on a honte, on sait que les parents vont nous engueuler ou alors nous dire de se défendre ou je sais pas quoi.

C'est pas si simple dans la tête d'un enfant.
Et quand y'a des frères et sœurs, tu veux pas passer pour le "plouc" alors tu dis rien.
Enfin bon

bonjour lunedorée ; c'est bizarre on en parlait il y a quelques jours avec mon enfant qui a vécu la même chose à l'âge de 11 ans ; par contre je n'ai jamais minimisé sa souffrance ; je ne suis pas maman parfaite mais Allah sait j'ai fait de mon mieux pour l'écouter et on a essayé de trouver une solution ensemble ; ce n'était pas facile ; mais ensemble nous avons réussi à passer cette période difficile ; il ne faut pas les laisser seul et être à leur écoute quelque soit leur âge ; si on minimise les soucis soit disant petits pour nous il nous cacheront leur grandes souffrances (si ils subissent un attouchement par exemple) que Dieu préserve nos enfants de tout mal ; amine

A cet âge là pour respecter la seul solution c'est frapper le meneur de bande.

Il n'y a pas de fossé entre l'écoute et l'autorité du parent. Il ne devrait pas y en avoir, ce sont deux notions différentes et l'une n'empiète pas sur l'autre.

Les deux ne sont pas en contradiction au contraire.
Quand elle est nécessaire l'autorité passe d'autant mieux auprès de l'enfant qu'il se sait en confiance avec ses parents, qui sont là pour l'écouter et le comprendre, l'épauler quand le besoin se fait sentir.

Citation
☀️ a écrit:
Salut

Le cliché du "comment s'est passée ta journée ? ☺️" Qu'on a tous vu dans les films, franchement je pense qu'on devrait l'appliquer

Perso mes parents ne m'ont JAMAIS demandé comment s'était passée ma journée .. lol

Je pense que c'est difficile de créer une relation de confiance et de proximité telle que l'enfant confie tout ce qu'il a sur le cœur à ses parents, et en même temps une relation d'autorité.

Enfin je dis ça mais je n'ai pas d'enfant.
Je parle avec mon "expérience".
Parfois on ne peut pas dire ce qu'on vit parce qu'on a honte, on sait que les parents vont nous engueuler ou alors nous dire de se défendre ou je sais pas quoi.

C'est pas si simple dans la tête d'un enfant.
Et quand y'a des frères et sœurs, tu veux pas passer pour le "plouc" alors tu dis rien.
Enfin bon

C est il y a une chose que j aimerai voir partout pour notre ouma, c est des formations à l éducation des enfants, des formations à la vie de couplé
Chose qui pourrai sauver nos futures générations

Ma mère nous demandait juste ce qu'on avait mangé à la cantine

Moi je demande tous les jours, on essaie de trouver des solutions ensemble pour régler au mieux les conflits le lendemain.
Ayant subit des violences au collège pour moi c'est très important de pouvoir les aider à prendre confiance en eux et apprendre à gérer les conflits.

Citation
☀️ a écrit:
Salut

Le cliché du "comment s'est passée ta journée ? ☺️" Qu'on a tous vu dans les films, franchement je pense qu'on devrait l'appliquer

Perso mes parents ne m'ont JAMAIS demandé comment s'était passée ma journée .. lol

Je pense que c'est difficile de créer une relation de confiance et de proximité telle que l'enfant confie tout ce qu'il a sur le cœur à ses parents, et en même temps une relation d'autorité.

Enfin je dis ça mais je n'ai pas d'enfant.
Je parle avec mon "expérience".
Parfois on ne peut pas dire ce qu'on vit parce qu'on a honte, on sait que les parents vont nous engueuler ou alors nous dire de se défendre ou je sais pas quoi.

C'est pas si simple dans la tête d'un enfant.
Et quand y'a des frères et sœurs, tu veux pas passer pour le "plouc" alors tu dis rien.
Enfin bon

Bah perso j'avais pas trop envie de me confier à la figure d'autorité lol

Après je verrai quand j'aurai des enfants si j'en ai inshallah

Je pense que le juste milieu n'est pas si facile. Mais c'est peut-être du en grande partie à mon éducation.

Moi mon père il me disait si on te frappe tu frappes ou t'appelles tes grands frères mdrrrr

Citation
Lunedorée a écrit:
Il n'y a pas de fossé entre l'écoute et l'autorité du parent. Il ne devrait pas y en avoir, ce sont deux notions différentes et l'une n'empiète pas sur l'autre.

Les deux ne sont pas en contradiction au contraire.
Quand elle est nécessaire l'autorité passe d'autant mieux auprès de l'enfant qu'il se sait en confiance avec ses parents, qui sont là pour l'écouter et le comprendre, l'épauler quand le besoin se fait sentir.

Nous l'avons écouté notre fils et conseillé aussi à l'époque mais selon ce que j'entends aujourd'hui de sa part c'est que nous n'avons pas compris l'ampleur de son désarroi à l'époque.

Il ne nous le reproche pas, il a simplement parlé de l'état d'esprit dans lequel il se trouvait
quand il a vécu cette période. Mais je dois dire que notre fils est plus secret que sa soeur et
qu'il ne s'étend pas en explications comme elle peut le faire.

Citation
~Aqsa~ a écrit:
bonjour lunedorée ; c'est bizarre on en parlait il y a quelques jours avec mon enfant qui a vécu la même chose à l'âge de 11 ans ; par contre je n'ai jamais minimisé sa souffrance ; je ne suis pas maman parfaite mais Allah sait j'ai fait de mon mieux pour l'écouter et on a essayé de trouver une solution ensemble ; ce n'était pas facile ; mais ensemble nous avons réussi à passer cette période difficile ; il ne faut pas les laisser seul et être à leur écoute quelque soit leur âge ; si on minimise les soucis soit disant petits pour nous il nous cacheront leur grandes souffrances (si ils subissent un attouchement par exemple) que Dieu préserve nos enfants de tout mal ; amine

Ah ouais j'avais zappé la cantine mdrrrr

C'est vrai c'est vrai moi même ça je crois pas qu'elle demandait. Elle savait qu'on mangeait bien.

Après je leur en veux pas. La mentalité qunils ont, pour eux toutes ces histoires de souffrance dans l'enfance et tout c'est des tmeniks de gwer

Genre mon grand frère avait fait je sais plus quelle connerie, il devait aller voir un psy, mon père a dit c'est quoi ces foutaises encore ??
Là j'ai compris que je devrais me démerder tte seule.

C'est bien comment tu fais. Et tes enfants se confient aussi bien à toi qu'à leur père ?
Tu ne perds pas en autorité
Enfin je sais pas

Citation
Kar-an-bar a écrit:
Ma mère nous demandait juste ce qu'on avait mangé à la cantine

Moi je demande tous les jours, on essaie de trouver des solutions ensemble pour régler au mieux les conflits le lendemain.
Ayant subit des violences au collège pour moi c'est très important de pouvoir les aider à prendre confiance en eux et apprendre à gérer les conflits.

Ils ont plus de facilité à se confier à moi.
Si c'est pas grave je les conseille directement.
Si c'est plus grave on en parle tous ensemble, mais je les préviens avant pour pas qu'ils se sentent trahis.


Il faut vraiment créer une relation de confiance pour qu'ils sachent que je ne m'énervais pas, que je leur dirais si c'est eux qui ont tort et que je n'irais jamais faire de scandale à la sortie de l'école.

Je fais ce qu'on n'a pas fait pour moi, la seule solution que j'avais trouvé à l'époque c'était d'arrêter de travailler pour redoubler. Ce n'est pas une solution, ils n'ont jamais été punis pour ce qu'ils m'ont fait.

Citation
☀️ a écrit:
Ah ouais j'avais zappé la cantine mdrrrr

C'est vrai c'est vrai moi même ça je crois pas qu'elle demandait. Elle savait qu'on mangeait bien.

Après je leur en veux pas. La mentalité qunils ont, pour eux toutes ces histoires de souffrance dans l'enfance et tout c'est des tmeniks de gwer

Genre mon grand frère avait fait je sais plus quelle connerie, il devait aller voir un psy, mon père a dit c'est quoi ces foutaises encore ??
Là j'ai compris que je devrais me démerder tte seule.

C'est bien comment tu fais. Et tes enfants se confient aussi bien à toi qu'à leur père ?
Tu ne perds pas en autorité
Enfin je sais pas

Bonjour

Oui, je suis d'accord avec toi. Ma grande aussi a vécu des choses difficiles au collège notamment que j'ai aussi minimisé.

Le pire c'est que j'avais vécu du harcèlement moi aussi au même âge, mais bon ... on se dit que ce n'est rien ...

On ne voit pas les choses d'un même regard, ce n'est pas simple.

Et les reproches arrivent quelques années plus tard aussi.

C'est la vie. Ce n'est pas bien grave quand même. Je veux dire par là que ça ne sert à rien de culpabiliser. Il y a aussi l'idée que l'enfant prend ses parents pour un idéal alors que les parents ne savent pas tout et ne réagissent pas toujours comme il faut. On est loin d'être parfait.

Il faut tenter de l'être, mais bon ...

Se rendre compte que nos parents ne sont pas tout, ça fait aussi parti de l'apprentissage de la vie.

Avec le recul, ton enfant comprendra que tu n'étais qu'une humaine lambda. Tout comme lui. Et c'est ce qui nous permet de minimiser les choses vis à vis d'eux d'ailleurs.

Eux doivent seulement apprendre à minimiser les événements car au fond, c'est pas bien important. C'est des choses graves, bien sûr, mais faut que l'enfant puisse aller au delà de ça.

Après c'est sûr, certains n'arrivent pas à aller de l'avant et finissent dépressifs, suicidaires ... Mais ces événements traumatiques de l'adolescence font aussi parti de l'apprentissage de la vie, quoi qu'on en dise.

Là t'es sous le coup de l'annonce, donc tu t'en veux de ne pas avoir été à la hauteur. Mais ça te passera et à lui aussi. Ne reste pas focalisée là dessus.

Ton enfant va quand même devenir adulte. Et faut pas croire, cet événement lui permettra de s'améliorer aussi.

Là il est peut-être en mode ado qui crise, qui te reproche plein de trucs et c'est méchant un ado quand ça s'y met. Mais l'adolescence passera et il changera de discours, tu verras.

Ma grande a eu relativiser les choses aussi. Elle aussi vieillit. Comme nous.

Ne t'inquiète pas.

Ah oui c'était à ce point là.. ?

Bah j'en suis pas fière mais à cause de moi (en grande partie) une fille a changè de collège. Une sorte de "harcèlement"

Voilà voilà c'était mon petit moment confession

Citation
Kar-an-bar a écrit:
Ils ont plus de facilité à se confier à moi.
Si c'est pas grave je les conseille directement.
Si c'est plus grave on en parle tous ensemble, mais je les préviens avant pour pas qu'ils se sentent trahis.


Il faut vraiment créer une relation de confiance pour qu'ils sachent que je ne m'énervais pas, que je leur dirais si c'est eux qui ont tort et que je n'irais jamais faire de scandale à la sortie de l'école.

Je fais ce qu'on n'a pas fait pour moi, la seule solution que j'avais trouvé à l'époque c'était d'arrêter de travailler pour redoubler. Ce n'est pas une solution, ils n'ont jamais été punis pour ce qu'ils m'ont fait.

C'est bien que tu t'en sois rendu compte, je me dis que peut-être qu'ils regrettent maintenant qu'ils sont adultes

Citation
☀️ a écrit:
Ah oui c'était à ce point là.. ?

Bah j'en suis pas fière mais à cause de moi (en grande partie) une fille a changè de collège. Une sorte de "harcèlement"

Voilà voilà c'était mon petit moment confession

Salam du coup comment leur apprendre à gérer les conflits ?

Je t’avoue que j’ai vu souvent de parents s’entre battre au motif que leurs enfants étaient en dispute. Ou alors j’ai vu des parents embrouillaient violemment les enfants s’en prenant aux siens.

Mais je trouve effectivement c’est une richesse d’apprendre à gérer les conflits car cela peut vraiment bouffer toute une vie, une incapacité à y faire face. Mais comment s’y prendre ?
Certaines personnes deviennent totalement asociale à cause des conflits qu’elles n’ont pas su gérer par le passé justement.

Mais est ce que cela ne dépend pas grandement de la personne que tu as en face ?

Citation
Kar-an-bar a écrit:
Ma mère nous demandait juste ce qu'on avait mangé à la cantine

Moi je demande tous les jours, on essaie de trouver des solutions ensemble pour régler au mieux les conflits le lendemain.
Ayant subit des violences au collège pour moi c'est très important de pouvoir les aider à prendre confiance en eux et apprendre à gérer les conflits.

Certainement.
Tu sais je pense que quand on attaque un autre élève ( souvent ) c'est pour refouler son mal être. On se sent puissant. Enfin je sais pas Décrire, c'est complètement débile et inapproprié.
On fanfaronne, on préfère faire du mal qu'en recevoir.

Je ne pense pas que tout ceux qui agissent comme ça le regrettent ou soient mal dans leur peau, y'a certainement aussi juste des ptits c××× qui méritent une bonne tarte dans leur face ^^

Citation
Kar-an-bar a écrit:
C'est bien que tu t'en sois rendu compte, je me dis que peut-être qu'ils regrettent maintenant qu'ils sont adultes

Je pense qu'il peut être bien d'encourager l'enfant à avoir des amis, d'être intégré dans un groupe, ou au moins d'avoir une fratrie soudée prête à s'imposer à l'extérieur, et de savoir qu'il trouvera du soutien dans sa famille.

Ma grande, elle a un groupe d'amies, dont une amie proche, elles se soutiennent entre elles, ça leur donne du courage pour s'imposer face aux personnes malveillantes, et dédramatiser entre elles.
Elle sait aussi que je peux etre un soutien et un conseil, elle me raconte tout.

Ma seconde, elle est du genre à recarder fermement, et se bagareur si nécessaire, et à etre tres détachée du regard des autres. Elle sais que si besoin elle peut faire appel à sa soeur, et me parler aussi, mais elle gère déjà mieux les conflits que moi.

Mon troisième, il est assez sensible et susceptible, mais jusqu'à maintenant il n'a eu que des petites chamailleries, il est encore écolier.

Je remarque quand même qu'au collège, les adultes ne gèrent pas bien les conflits entre jeunes, car chacun à sa version, ou ils n'ont pas conscience de la gravité de la situation pour les jeunes.
Ma fille aînée a été accusée à tort de harcèlement, elle connaissait à peine la fille concernée, elle n'a pas eu d'attitude malveillante envers elle (et ce n'est vraiment pas son genre), elle n'a vraiment pas compris, c'est remonté jusqu'à la CPE qui a cru l'autre fille.

Citation
Sabrina_marooc a écrit:
Salam du coup comment leur apprendre à gérer les conflits ?

Je t’avoue que j’ai vu souvent de parents s’entre battre au motif que leurs enfants étaient en dispute. Ou alors j’ai vu des parents embrouillaient violemment les enfants s’en prenant aux siens.

Mais je trouve effectivement c’est une richesse d’apprendre à gérer les conflits car cela peut vraiment bouffer toute une vie, une incapacité à y faire face. Mais comment s’y prendre ?
Certaines personnes deviennent totalement asociale à cause des conflits qu’elles n’ont pas su gérer par le passé justement.

Mais est ce que cela ne dépend pas grandement de la personne que tu as en face ?

Ta seconde acquiert dès maintenant les mécanismes de défense de ce monde de brut c’est très bien !

Oui malheureusement le système éducatif est très souvent mal fait, j’espère que tu as pu démontrer à cette CPE que ta fille n’était pas coupable de ce dont elle était accusée

Citation
Pensée sauvage a écrit:
Je pense qu'il peut être bien d'encourager l'enfant à avoir des amis, d'être intégré dans un groupe, ou au moins d'avoir une fratrie soudée prête à s'imposer à l'extérieur, et de savoir qu'il trouvera du soutien dans sa famille.

Ma grande, elle a un groupe d'amies, dont une amie proche, elles se soutiennent entre elles, ça leur donne du courage pour s'imposer face aux personnes malveillantes, et dédramatiser entre elles.
Elle sait aussi que je peux etre un soutien et un conseil, elle me raconte tout.

Ma seconde, elle est du genre à recarder fermement, et se bagareur si nécessaire, et à etre tres détachée du regard des autres. Elle sais que si besoin elle peut faire appel à sa soeur, et me parler aussi, mais elle gère déjà mieux les conflits que moi.

Mon troisième, il est assez sensible et susceptible, mais jusqu'à maintenant il n'a eu que des petites chamailleries, il est encore écolier.

Je remarque quand même qu'au collège, les adultes ne gèrent pas bien les conflits entre jeunes, car chacun à sa version, ou ils n'ont pas conscience de la gravité de la situation pour les jeunes.
Ma fille aînée a été accusée à tort de harcèlement, elle connaissait à peine la fille concernée, elle n'a pas eu d'attitude malveillante envers elle (et ce n'est vraiment pas son genre), elle n'a vraiment pas compris, c'est remonté jusqu'à la CPE qui a cru l'autre fille.

Salam je suis entièrement d'accord.

Il est très important d'être à l'écoute de nos enfants. Reguliement donc tout les jours leur demander comment s'est passé sa journée? Si conflit il faut en discuter écouter l'enfant.

Si c'est un enfant qui n'a pas d'amis lui explique que ce n'est pas grave, qu'il.peux faite tel, tel activité, le rassurer , lui explique que ce n'est pas le seul a être seul quitte a raconter son propre vécu par exemple . Trouver les mots et prendre le temps surtout.

A côté de ça je trouve que les sport de combat apporte une confiance en soi très fort. Savoir se défendre c'est tellement un bouclier.

Puis même a côté de l'école avoir une vie active pour un enfant c'est important. Un enfant qui va jouer qui est heureux qui sort en famille en dehors de l'école ça lui permet d'oublier clairement.

Un peu comme nous quand ca se passe mal au taf tu rentre tu retrouve ton homme tu souffle. Tu passe du tps avec ta famille vous rigolez ben tu souffle.

Ma seconde gagnerait à être plus pondérée.
Elle vire rapidement vers l'agressivité, ce que je ne trouve pas souhaitable.
Mais au moins, je sais qu'elle ne se laisse pas marcher sur les pieds.

Pour l'histoire de harcèlement avec ma grande, je n'ai pas été convoqué elle a eu un simple rappel à l'ordre. Mais elle est maintenant mal vue par la CPE.
La précédente aussi l'avait pris en grippe l'année où elle avait pas mal manqué suite à des problèmes de santé (trois opérations dans l'année scolaire), elle l'avait catalogue comme absentéiste, malgré les justificatifs des professionnels de santé... Elle remettait carrément les problèmes de santé de ma fille en doute pendant un temps

Citation
Sabrina_marooc a écrit:
Ta seconde acquiert dès maintenant les mécanismes de défense de ce monde de brut c’est très bien !

Oui malheureusement le système éducatif est très souvent mal fait, j’espère que tu as pu démontrer à cette CPE que ta fille n’était pas coupable de ce dont elle était accusée