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RÉSERVES DE CHANGE: MERCI LE COURS DE PÉTROLE !
13 octobre 2015 12:46
Kiosque360. A 214 milliards de dirhams à la clôture du troisième trimestre, les réserves de changes retrouvent leur niveau confortable des années 2007-2008. Revue des statistiques.

Baisse du cours du pétrole et des matières premières, amélioration du taux de couverture des importations par les exportations, hausse des transferts des MRE, maintien d’un niveau acceptable des Investissements directs étrangers (IDE)… Autant de facteurs positifs qui ont permis un redressement des réserves de changes du royaume. Celles-ci ne «se sont pas retrouvées dans une situation aussi confortable depuis 2007-2008», comme l’écrit L’Economiste qui consacre sa Une de ce mardi 13 octobre à la dernière fournée des statistiques de Bank Al-Maghrib.

Le trésor du Maroc en change a augmenté, sur les deux dernières années, de 68 milliards pour atteindre les 214 milliards de dirhams. «Le retournement de tendance des prix des matières premières, surtout du pétrole, a permis de reconstituer les réserves», explique le quotidien qui précise qu’elles devraient permettre de couvrir 6,5 mois d’importations de biens et services en fin d’année contre tout juste 4 mois à fin 2013.

Autre élément ayant permis l’amélioration de cet indicateur qui reflète la solvabilité du royaume dans ses échanges avec l’étranger: la bonne performance des exportations, grâce notamment à l’OCP et au secteur automobile. Les ventes des entreprises marocaines à l’étranger permettent désormais de couvrir 58,9% (soit 10 points de plus qu’il y a dix ans) du volume des importations. Derrière ce basculement significatif de la balance commerciale, «il y a le redressement des économies de la zone euro», écrit l’Economiste qui explique également l’amélioration de 5%, sur un an, des transferts des MRE (29 milliards de dirhams) par ce début de sortie de crise des pays européens.

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La mémoire permet d’immuniser le passé pour mieux regarder l’avenir / Le temps est le meilleur moyen qu’a trouvé la nature pour que tout ne se passe pas d’un seul coup.
i
13 octobre 2015 12:53
.



Vivement le baril à 5 dollars ptdr



.
13 octobre 2015 13:10
Finalement, d'une manière ou d'une autre, nos "économies" (et resserves de change) sont suffisamment "performantes" pour toutes deux rester tributaire des cours du brut.
U
13 octobre 2015 17:59
En un seul résultat, de quel groupe de pays fait partie le Maroc:
Les pays dont la prospérité est basée sur le travail.

C'est le bon choix à long terme.

C'est maintenant qu'il y a les moyens pour investir pour consolider cette position.
Parmi ces éléments, il est possible d'investir sur l'instruction, afin d'assurer une évolution irréversible du niveau moyen de la population. Le bénéfice se fait sentir au bous de 5-10 ans.
* Introduire la darija comme outil d'alphabétisation.
Bénéfice attendu:
- Gagner 1 an sur la scolarité primaire.
- Augmenter le nombre de classes grâce aux capacités d'enseignement libérées.

* Mettre en œuvre l'alphabétisation en tamazight.
Bénéfices attendus:
- Gagner 1 an sur la scolarité primaire.
- Augmenter le nombre de classes grâce aux capacités d'enseignement libérées.
- Acquérir un savoir-faire exportable en matière d'enseignement en tamazight. Le besoin existe dans plusieurs pays du Sahel/Sahara.
- Donner au Maroc un rôle central en matière d’évolution du tamazight. Le Maroc rayonnera largement jusqu'à l'Égypte et à l'Éthiopie.
- Consolider la position internationale du Maroc. On l'a vu récemment: Il parfois justifier la marocanité du Sud du Royaume. Si le Maroc a un savoir-faire en matière de tamazight en primaire, il offre un exemple indubitable de l'unité du Royaume.
- En tant que tel: Consolider l'unité du Royaume. Quelle que soit la manière dont ses entités s'articuleront dans l'avenir, la cohérence, de la Méditerranée à la Mauritanie, du haut au bas de la société, sont un élément commun complémentaire qui résistera au temps.

* Accompagner les entreprises qui s’installent, afin d’améliorer les compétences techniques de ceux qui sont formés au Maroc.
C'est un passeport pour l'emploi intéressant et valorisant.

* Stabiliser la balance céréalière.
Avec le pétrole, la nourriture fait partie des éléments qui détraquent la balance commerciale.

* Augmenter la diversité génétique de produits d'exportation comme les tomates.
etc
Citation
MusulmanGéo a écrit:
Kiosque360. A 214 milliards de dirhams à la clôture du troisième trimestre, les réserves de changes retrouvent leur niveau confortable des années 2007-2008. Revue des statistiques.

Baisse du cours du pétrole et des matières premières, amélioration du taux de couverture des importations par les exportations, hausse des transferts des MRE, maintien d’un niveau acceptable des Investissements directs étrangers (IDE)… Autant de facteurs positifs qui ont permis un redressement des réserves de changes du royaume. Celles-ci ne «se sont pas retrouvées dans une situation aussi confortable depuis 2007-2008», comme l’écrit L’Economiste qui consacre sa Une de ce mardi 13 octobre à la dernière fournée des statistiques de Bank Al-Maghrib.

Le trésor du Maroc en change a augmenté, sur les deux dernières années, de 68 milliards pour atteindre les 214 milliards de dirhams. «Le retournement de tendance des prix des matières premières, surtout du pétrole, a permis de reconstituer les réserves», explique le quotidien qui précise qu’elles devraient permettre de couvrir 6,5 mois d’importations de biens et services en fin d’année contre tout juste 4 mois à fin 2013.

Autre élément ayant permis l’amélioration de cet indicateur qui reflète la solvabilité du royaume dans ses échanges avec l’étranger: la bonne performance des exportations, grâce notamment à l’OCP et au secteur automobile. Les ventes des entreprises marocaines à l’étranger permettent désormais de couvrir 58,9% (soit 10 points de plus qu’il y a dix ans) du volume des importations. Derrière ce basculement significatif de la balance commerciale, «il y a le redressement des économies de la zone euro», écrit l’Economiste qui explique également l’amélioration de 5%, sur un an, des transferts des MRE (29 milliards de dirhams) par ce début de sortie de crise des pays européens.

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Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
 
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