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Question sur le voile???
I
12 novembre 2003 21:08
Salamoualeikoum à tous,

Bien que la place de la femme soit à la "maison", comment fait-elle, si elle travaille pour soutenir son mari et l'aider à subvenir à leur besoin?

Il est vrai qu'en tant qu'épouse, nous sommes là également pour soutenir notre époux et l'aider lorsque l'on peut, et surtout si on peut mettre en pratique nos acquis professionnel.

Je souhaiterai savoir si le port du hidjab est obligatoire en tant que musulmane? Y a t'il une différence entre hidjab et voile, ou est pareil?
La partie du cou doit-elle être caché également? Couvrir simplement ses cheveux ne suffit pas?

Certes, on demande à le femme de faire preuve de pudeur, mais l'homme dans tous cela. lui peut se permettre de s'habiller comme il le souhaite, de cotoyer ses collègues (féminines!!) et on lui dis rien, pourquoi cette différence? La femme ne serait t'elle pas capable de vivre et de gérer cette même situation?

Je me pose beaucoup de questions qui peuvent paraitre bêtes ou idiotes, mais peut m'importe j'attends des explications, pas des critiques.

Bon ramadan à tous

Bslama.
a
13 novembre 2003 11:37
salam alaykoum

je crois que tu trouiveras ses réponses en lisant le coran pour ma part je te donnerais les hadith en rapport avec te squestions je le ferais prochainement inchAllah

dans ce monde la vériter est détesté l'hypocrisie adorée
I
13 novembre 2003 22:35
Salamoualeikoum

Merci pour ta réponse et bon ramadan

Bslama
y
15 novembre 2003 17:33

assalamo aleikom!


une note je suis un peu mediocre dans le francais et fais un effort de me comprendre même g beaucoup de choses a dire mais je trouve pas les mots , je parle l arab !



les questions comme ca le seul a le droit de te repondre c le moufti ! car il y a des gens ki sont mal donne leur coeur et veulent la femme soit comme l homme dans tout et pas seulement dans les vêtement ! mais sache bien ke l islam et la seul religion (même il y a pas de religion sauf l islam) ki a donné l importance de la femme, et le hijab reglementaire a huit condition
ne soit pas comme les gens

le couleur doit être pas atirant comme le rose ou le rouge et preferable le noire ou gris ou maron fait ton choix!

ne laisse pas les trasse de les pieds ou les poitrine

et sache ke le hijab et un ordre d ALLAH et ca il te suffit, mais pourkoi pas les gens habilles ce kil veut c pas juste les hommes sont aussi des conditions et comme je te déja dis tu dois kestionner un moufti dans un centre islamic et voila des cassette ki parle de hijab et c condition amr khalid titre al hija mouhamed hassan al hijab et voila un site pour tes questions si tu veux vraiment chercher comment plaire ALLAH

www.sultan.org et tu va voir une page devant toi klic sur arab et il y a beaucoup de site

et si tu sait pas l arab voila un www.islamic-knowledge.com


une conseil !questionne ton âme tu veux quoi exactement et pourkoi ne somme ici et si tu veux faire kelke choses dis pour koi je veux le faire et pour ki je le fais tu va vivre ta vie dans une vie ALLAH ET toi seul ki le peux savoir et tout le monde peut te mentir mais ton^âme jamais!


assalamo alaikom!

assalamo aleikom
I
16 novembre 2003 00:34
Salamoualeikoum,

Merci pour tes explications et tes références. Je vais les consulter.

Bslama
e
16 novembre 2003 17:01
Merci de poser des questions que je vois pertinentes, ça montre que tu cherche la vérité dans la vie et c’est une très bonne chose.

Mois je pense que le problème majeur se trouve dans notre système d’éducation primaire, secondaire et tertiaire, c’est à ce niveau ou il faut enseigner le coran correctement pour comprendre les règles fondamentales de l’islam.

Il faut savoir que la femme aussi tout en mettant le voile peut s’habiller comme il veut, et donc il n’y a aucune différence là déçue avec l’homme.

Il faut savoir aussi que le voile est obligatoire notre dieu l’a dit clairement et aucun aalem sur terre ne dire le contraire.

Je te suggère de suivre les émissions de AMR KHALID sur IQRA ou sur internet.

RAMADAN MOBARAK
s
17 novembre 2003 21:08
assalamu alaykum
je suis nouvelle sur le forum et j'éspere que je fais pas trop contraste !
je tiens tout d'abord à dire que tes questions ne sont pas du tout be^te Ihnes et cela tout les gens ki on bien voulus te répondre te le dirons!
le port du voile et obligatoire en islam c un ordre divin qu'il ne convient d'outrepasser sous aucuns prétextes
il doit couvrir les cheveux le cou et le buste et come le disais le frére il ne doit pas e^tre de couleur trop attrayante
de plus Dieu nous à crée femme non inferieur à l'homme mais différente c pas pareil!Nous sommes en qlq sorte complémentaires et c pluto^t bien comme ça!Non?!
Seul Dieu est Savant donc refere toi au coran je te donnerai + d'explication plus tard insha'Allah
bon wasalamu alaykum wa ramathulahi wa barakathu!
PS/ Faites attention les fréres et soeurs Dieu s'écrit avec une majuscule!
i
17 novembre 2003 21:52
salam alikoum soeur Ihnes, je t'invite a lire ces precieuses lignes qui je l'espére répondrons a tes interrogations sur le port du hijab et sur son caractère obligatoire. Mais je tiens a signaler contrairement a ce que tu as dis que l'homme également a des ogligations vestimentaires, comme par exemple il doit s'habiller de vetements amples et s'abstenir de se promener torse nu en public.

QUELQUES MOTS SUR LE HIDJAB
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>Contrairement aux fausses idées qui sont véhiculées depuis un certain nombre d'années, le voile de la femme en Islam (appelé communément "Hidjâb" ou "Khimâr" dans le vocabulaire juridique) n'est en aucun cas le symbole d'une revendication politique ou idéologique, ni une marque de soumission et d'infériorité quelconque par rapport aux hommes (comme c'était le cas dans certaines religions) et encore moins un simple vêtement traditionnel, lié à certaines cultures. En réalité, le "Hidjâb" possède une double dimension: en portant le voile, la femme musulmane fait acte de soumission et d'obéissance envers Allah, mais agit également pour sa protection morale, en préservant sa pudeur et sa chasteté. Comme on va le voir par la suite, Incha Allah, une bonne compréhension de ces deux aspects que l'on retrouve dans le "Hidjâb" permet déjà d'éloigner un certain nombre d'objections superficielles qui sont très souvent soulevées à son encontre. Mais d'abord, on essaiera, dans les lignes suivantes, de passer en revue deux ou trois références du Qour'aane et de la Sounnah qui mettent en valeur cette double dimension du "Hidjâb".
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>Allah, dans le Qour'aane, après avoir ordonné aux hommes de garder le regard baissé, demande au Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) de s'adresser aux croyantes en ces termes:
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>"Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chasteté, et de ne montrer de leurs atours que ce qui en paraît et qu'elles rabattent leur voile sur leurs poitrines; et qu'elles ne montrent leurs atours qu'à leurs maris, ou à leurs pères, ou aux pères de leurs maris, ou à leurs fils, ou aux fils de leurs maris, ou à leurs frères, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs sours, ou aux femmes musulmanes, ou aux esclaves qu'elles possèdent, ou aux domestiques mâles impuissants, ou aux garçons impubères qui ignorent tout des parties cachées des femmes...."
>
>Quand on lit ce passage coranique, on se rend compte qu'il ne laisse place à aucune ambiguïté: C'est Allah Lui-même qui ordonne, par le biais de Son Messager (sallâllâhou alayhi wa sallam), aux femmes de ne montrer de leurs atours, en présence d'hommes étrangers, que la partie qui en paraît. Il s'agit là de la première dimension que l'on avait évoquée: Le respect d'une tenue vestimentaire bien particulière pour la femme relève de ses devoirs envers Allah. Mais en même temps, comme on l'a rappelé en introduction, quand on prend en considération le début du passage coranique, on comprend aussi que cette prescription divine est liée à la protection de la chasteté et, par extension, de la dignité de la femme. Prise sous cette perspective, on se rend compte que le fait de couvrir ces parties du corps déterminées constitue un bienfait indéniable pour la femme; c'est justement ce que relève avec beaucoup d'intelligence et de clairvoyance Fatima Naseef, dans son ouvrage intitulé "Droits et devoirs de la femme en Islam", lorsqu'elle qualifie le port du "Hidjâb" comme étant un "droit à la décence". On retrouve bel et bien la double dimension évoquée. La question qui se pose maintenant est de savoir quelle est donc cette partie des atours de la femme qu'il ne lui est pas nécessaire de recouvrir en présence d'étrangers. Pour la déterminer, il n'y a pas d'autres moyens que de se référer aux explications qui ont été données par les premiers interlocuteurs de la Révélation, en l'occurrence les Compagnons (radhia Allâhou anhoum), mais aussi par les savants et commentateurs musulmans des premiers siècles de l'Islam qui les ont suivis et qui ont pu étudier en profondeur la science religieuse et prophétique qu'ils ont laissée en héritage.
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>A ce sujet, l'interprétation qui a été retenue par la majorité des commentateurs du Qour'aane (parmi lesquels Az zamakhchari (Réf: "Al Kacchâf", Volume 3 / Pages 230-231) , Ibné Kathîr ("Tafsir Ibné Kathîr" Volume 3 / Page 283), Al-Râzi ("Tafsir Kabîr" Volume 23 / Pages 205-206) , Al Qourtoubi ("Tafsir oul Qourtoubi" Volume 12 / Pages 228-229) , Al Tabri ("Moukhtasar min Tafsîril Imâm Al Tabri" Volume 2 / Page 9 et Note N°3) , Al Âloûsi ("Rouhoul Ma'âni" Volume 18 / Page 140) et Al Djassâs ("Ahkâmoul Qour'aane" Volume 3 / Page 315) est celle qui a été donnée par Ibné Abbâs (radhia Allâhou anhou). Selon lui, le terme "ce qui en paraît" désigne les deux mains et le visage. Ce qui signifie que, d'après ce passage du Qour'aane, ces deux parties du corps sont les seules que la femme a le droit de garder découvert en présence d'étrangers. Ce verset exprime donc bien l'obligation du port du "Hidjâb" (ou "Khimâr"winking smiley, obligation qui est d'ailleurs clairement confirmée par la suite du passage qui dit: "qu'elles rabattent leur voile sur leurs poitrines" . Le mot exact en arabe qui est employé dans le Qour'aane est "Khimâr". Dans le vocabulaire arabe, ce terme désigne le voile qui est utilisé pour recouvrir la tête et les cheveux. (Réf: "Al Moufradâte fi gharîbil Qour'aane" de Imâm Râghib Asphahâni / Page 159; "Basâïr" de Al Fîrowz Âbâdi - Volume 2 / Pages 571 et 572, entre autres.) En sus de cela, il y a également unanimité entre les plus illustres commentateurs du Qour'aane pour désigner le "Khimâr" auquel il est question dans ce passage comme étant un voile recouvrant d'abord la tête et les cheveux (Réf: "Tafsîr Kabîr" - "Tafsîr Qourtoubi" - "Roûh oul Ma'aniy" - "Al Mouhalla" de Ibné Hazm r.a.)
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>Il est aussi intéressant de noter la réaction des femmes musulmanes à l'époque du Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) lorsque ce verset fut révélé: L'Imâm Boukhâri r.a. rapporte à ce sujet les propos de Aîcha (radhia Allâhou anha): "Qu'Allah fasse miséricorde aux premières femmes émigrées; dès que le verset "qu'elles rabattent leur voile sur leurs poitrines" fut révélé, elles découpèrent le drap qu'elles portaient (au dessus de leurs vêtements) et l'utilisèrent pour se couvrir la tête (ainsi que leur cou et leur poitrine). "
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>Le second verset qui évoque l'obligation de porter le voile est le 59ème de la Sourate 33, dans lequel Allah dit:
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>"Ô Prophète ! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles: elles en seront plus vite reconnues et éviteront d'être offensées. Allah est Pardonneur et Miséricordieux."
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>Le mot arabe employé dans ce verset et qui a été traduit par "grands voiles" est "Djalâbîb". Encore une fois, s'il existe des divergences quand à la nature, la forme et la taille exacte de ce voile, il y a cependant unanimité entre tous les commentateurs du Qour'aane sur un point: ce voile en question recouvre entièrement la tête et les cheveux.
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>Enfin, la nécessité de porter le Hidjâb a été explicitement évoquée par le Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) dans la célèbre Tradition rapportée par Aboû Dâoûd: Aïcha (radhia Allâhou anha) raconte qu'une fois, sa sour, Asma (radhia Allâhou anha) entra chez le Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) avec des vêtements transparents. Le Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) se détourna d'elle et dit: "Ô Asma, quand la fille devient pubère, il ne convient pas de voir d'elle une autre partie que celles-ci (et il lui indiqua le visage et les mains)."(Hadith Moursal)
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>Ces trois références que nous venons de voir prouvent au moins deux choses:
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>1- Le port du "Hidjâb" est bien une prescription divine.
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>2- Les cheveux de la femme faisant partie du "awrah", il est donc nécessaire de les couvrir en présence d'étrangers, au même titre que les autres parties du corps, exception faite du visage et des mains.
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>Pour être complet sur la question, il convient également de passer en revue les deux principales objections qui reviennent souvent au sujet du "Hidjâb".
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>1ère Objection:
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>Le Hidjâb ayant pour objectif de sauvegarder la pudeur, si une femme a un comportement chaste et empreint de modestie et de retenue, pourquoi donc devrait-elle le porter ?
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>Ce genre de question peut se poser quand on ne se réfère qu'à une des dimensions du "Hidjâb" qui a été évoquée plus haut, en oubliant la seconde, qui est beaucoup plus importante: Si le port du "Hidjâb" a effectivement un rôle actif dans la protection de la pudeur, il n'en reste pas moins qu'il s'agit surtout d'une prescription divine et absolue, dont l'application de la part de la croyante doit être inconditionnelle. En d'autres mots, on pourrait dire qu'il y a là deux choses bien distinctes:
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> a.. La première, c'est le commandement de la part d'Allah de se couvrir les cheveux, qui font partie du "awrah" de la femme.
> a.. La seconde, c'est le devoir pour celle-ci de toujours agir pour protéger sa pudeur.
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>Il est évident que l'application et le respect de l'une de ces deux choses ne dispense pas de l'autre. (auquel cas il serait tout à fait légitime d'affirmer que, le principal objectif des prières obligatoires quotidiennes étant de permettre au croyant de se souvenir de Dieu, c'est pourquoi, il n'est pas nécessaire à celui qui reste de façon permanente dans la pensée et le rappel d'Allah de faire la "Salâh".. !!!!) Il ne s'agit pas d'oublier l'avertissement sévère lancé par Allah dans le Qour'aane à l'attention de ceux qui avaient justement cette fâcheuse habitude de ne pratiquer que de façon partielle les commandements qui leur était révélés:
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>"Croyez-vous donc en une partie du Livre et rejetez-vous le reste ? Ceux d'entre vous qui agissent de la sorte ne méritent que l'ignominie dans cette vie, et au Jour de la Résurrection ils seront refoulés au plus dur châtiment, et Allah n'est pas inattentif à ce que vous faites." (Sourate 2 / Verset 85)
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>Il faut cependant se garder de tomber dans l'autre extrême, qui consisterait pour une femme à porter uniquement le "Hidjâb", sans adopter le comportement et l'état d'esprit enseignés par l'Islam qui doivent obligatoirement l'accompagner et qu'il est censé exprimer et manifester.
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>Autre objection que l'on entend souvent:
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>Ce qui importe aux yeux d'Allah, c'est la pureté et la sincérité du cour. L'apparence physique ou la tenue vestimentaire Lui importe peu. Ce n'est pas parqu'une femme ne portera le voile que cela portera atteinte à la Majesté d'Allah.
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>Il n'y a aucun doute sur le fait que si quelqu'un ne porte pas le "Hidjâb", ou ne respecte pas n'importe quelle autre obligation religieuse, il ne cause aucun tort à Allah et ne porte en aucune façon qui soit atteinte à Sa Majesté. A vrai dire, par sa conduite, c'est à sa propre personne qu'il cause préjudice: C'est en effet lui et lui seul qui aura à rendre compte devant Son Créateur de ses faits et gestes. En sus de cela, ce que l'on se doit de ne jamais oublier, c'est que pour nous autres musulmans et musulmanes, il n'existe pas de distinction entre la foi et la vie quotidienne. Le Qour'aane est on ne peut plus clair à ce sujet quand il lie, dans un très grand nombre de versets, la réussite éternelle aussi bien à la foi ("Îmâne"winking smiley qu'aux bonnes pratiques ("Âmâl Swâliha"winking smiley. L'argument qui tend à faire croire que seule la condition du cour compte aux yeux d'Allah, et pas la soumission extérieure à Ses Commandements ne tient donc pas face à une analyse quelque peu approfondie. En effet, l'Islam se caractérise par le fait qu'il représente un véritable mode de vie: La pratique du musulman ne se limite pas à l'observation des seules pratiques rituelles, telles que la prière, le jeûne, l'aumône etc.. En fait, tous les aspects de son existence que ce soit au niveau de sa conduite (dans ses relations avec autrui, dans son comportement au sein de la société, dans ses transactions etc..), mais également sa façon de satisfaire ses besoins essentiels et fondamentaux (manger, boire, se vêtir etc.) sont concernés par les principes inspirés des sources fondamentales de l'Islam: Le Coran et la Sounnah (pratique du Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam)). C'est en quelque sorte le message qui est proclamé dans ce passage du Qour'aane:
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>"Dis : "En vérité, ma Salat, mes actes de dévotion, ma vie et ma mort appartiennent à Allah, Seigneur de l'Univers.
>A Lui nul associé ! Et voilà ce qu'il m'a été ordonné, et je suis le premier à me soumettre."
>(Sourate 6 / Versets 162 et 163)
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>En d'autres mots, la foi du musulman, qui se loge au fond de son cour, se doit de rayonner sur toute sa personne et de lui dicter sa conduite, que ce soit en matière de culte, de relations sociales, ou de n'importe quel autre aspect de la vie. C'est pourquoi, pour un musulman, il ne peut être concevable de minimiser n'importe quelle obligation divine (quelque soit le domaine auquel elle se rattache); auquel cas, cela reviendrait pour lui à s'octroyer le droit de "faire le tri" entre les prescriptions d'Allah et de déterminer lesquelles peuvent être abandonnées, car sans importance. Son titre de "musulman" ou "musulmane" (littéralement, soumis (e)) perdrait alors tout son sens.
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>
>
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>
>Et Allah Seul détient la Vérité !
>
n
17 novembre 2003 22:57
Salam aleykoum.

Long mais très clair!

Barakallahou fik!
g
18 novembre 2003 10:47
Merci pour tes lumières, si tu as d'autre citations coranique sur n'importe quel sujet, elles seront les bien venues, merci encore
m
18 novembre 2003 11:02
le voile est necessaire pour la prière et lorsqu'on entre dans les lieux saints....

en ce qui concerne le travail et la vie quotidienne, je ne vois pas la necessité de le mettre... c'est mon point!!! la foi d'une personne ne se porte pas sur elle, elle la porte en elle.. et cette nuance à toute son importance à mes yeux.

Alors porter le foulard pour cacher ses cheveux, ses oreilles, et autre parties de corps pourquoi? parce qu'on considère que la femme est quoi au juste?

Elle devrait se preservers du regard des hommes? mais jusqu'à nouvel ordre, ce n'est pas le sien?

Si l'homme en la regardant fantasme c'est lui qui a un problème vis à vis de sa conscience pas la femme alors en quoi devrait elle être responsable?

Enfin je termine sur un autre point, Dieu nous a constituées de la sorte, il faut croire qu'il s'est trompé alors puisqu'on passe notre temps à le cacher....

La femme n'est pas differente de l'homme devant Dieu la preuve, si vous manquez de mémoire, Mahomet à plus d'une fois fait intervenir les femmes dans les débats contradictoires afin de définir une ligne de conduite...

Si elle doit se couvrir par "signe d'humilité religieuse" alors l'homme devrait en faire autant.... il doit a son tour se couvrir la tête.....
L
Lin
18 novembre 2003 11:14
Majouba

Une question de quel origine es tu stp c'est une simple question ?


Sur une autre post tu te dis athée mais ici tu dis je cite "Dieu nous a constituées de la sorte" donc petite contradiction ou il ya une explication.

La vie est comme un arc-en-ciel: il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs.
m
18 novembre 2003 11:27
Lin vu que tu as des doutes??? je vais te le dire, je suis marocaine , mes parents sont berberes et par la même je le suis.. quel est le rapport entre mes origines et mon point de vue s'il te plait?? serais tu entrain de penser qu'en tant qu'arabe on ne peut pas diverger sur ce point... fais gaffe parce que tu sembles atteinte d'un sydrome connu chez certains???

Et tu sais je ne suis pas la seule à penser ce que je viens d'ecrire sur le foulard...
L
Lin
18 novembre 2003 11:49
Oulla

Tu vois le mal partout c'était une simple question car jusqu'ici je n'ai jamais lu d'une personne ayant des origines arabe appelé notre prophète SWS Mahomet donc cela ma mis la puce à l'oreil mais ne t'enflame pas je ne suis pas infecté par aucun virus auquel tu penses.


Et ou as tu lu dans mon message que j'étais contre la divergence d'opinion la c'est plutot toi qui t'emporte!!!!


Mais tu ne m'as toujous pas répondu à ma deuxième question

La vie est comme un arc-en-ciel: il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs.
i
18 novembre 2003 14:40
majouba ne prend pas ton cas pour une généralité, Allah SWT n'a besoin de toi ni de ton voile, la seule qui devra répondre de ses actes c'est toi. Allah nous a créé de la sorte maintenant si toi tu fais le choix de manière délibéré de ne pas suivre son commandement, personne ici où ailleurs ne te le reprochera seul Allah SWT est juge et c'est a lui seul que tu devra rendre compte. Et pour preuve un verset du Coran el karim de la sourate AL KAFIROUNE:

Bismillah irahmane irahim

LAKOUM DINOUKOUM WALI ADINE.

Alors stp calme des ardeurs nous ne faisons que de transmettre les paroles D'Allah SWT maintenant si elles ne te conviennent pas cela te regarde et tu n'a pas besoin d'agresser les intervenants
a
18 novembre 2003 15:19
salam alaykoum inhes et ramadan said el karim je crois que tu as ouvert un debat ou j'ai lu tout et n'importe quoi voici l'avis d'un savant : prends le temps de le lire :c'est ss forme de question reponses
Interview du théologien Mohsen Ismaïl qui s'exprime sur le port du voile, le mariage forcée, le divorce...
Par Saïd Branine, Mohsen Ismaïl
vendredi 5 mai 2000




Détenteur d'un doctorat en sciences islamiques de la prestigieuse université religieuse de la Zitouna en Tunisie, Mohsen Ismaël est partisan du renouvellement d'une théologie fondée sur une lecture finalisée du corpus Coranique qui serait en conformité avec le caractère inédit d'une présence musulmane dans un Etat non musulman. Les compétence de ce jeune théologien ont amené le ministère de l'Intérieur à le consulter parmi d'autres personnalités en novembre 1999 dans le cadre du dossier sur la représentation des musulmans de France. Loin du discours traditionnel axé sur le rappel au respect de la norme, Mohsen Ismaël dont les positions rencontrent un écho certain auprès des jeunes, s'exprime sans ambages sur certains sujets qui concernent les femmes au premier chef.


L'absence d'une théologie clairement établie sur la présence islamique dans un Etat qui ne l'est pas suscite auprès des jeunes des interrogations sur l'authenticité de leur foi qui demeurent sans réponse. Parmi ces interrogations figurent notamment le port du voile. Au-delà de l'aspect polémique que provoque ce sujet, que peut-on en dire d'un point de vue théologique ?


D'un point de vue théologique, le texte coranique est clair quant à la prescription du voile : « Dis à tes épouses, à tes filles, aux femmes des croyants, de ramener sur elle leur voile ; elles en seront plus vite reconnues et éviteront d'être offensées » ( Coran ; XXXIII, 28 ). Cette recommandation n'a aucune originalité car elle figure aussi bien dans l'ancien testament (Genèse 24, 65) que dans le nouveau testament ( Saint Paul, Ier Epître aux Corinthiens, chapitre 11 verset 4-16). Le sens profond de cette recommandation est l'appel à la pudeur et au respect d'une certaine moralité dans la société. Cet appel coranique, qui vient consolider ce qui a été déjà prescrit dans la Bible et dans l'Evangile, constitue une évolution incontestable et un rappel au respect de la femme dans une société où l'on considérait la naissance d'une fille comme une malédiction. « Et lorsqu'on annonce à l'un d'eux la naissance d'une fille, son visage s'assombrit et une rage profonde l'envahit. Il se cache des gens à cause du malheur qu'on lui a annoncé. Doit-il la garder malgré la honte ou l'enfouira-t-il dans la terre ? Combien est mauvais leur jugement ! » ( Coran ; XVI, 58-59 ). Si on inscrit la prescription du port du voile dans ce contexte de perceptions dépréciative et humiliante du statut de la femme, on ne peut que souligner l'évolution considérable initiée par le Coran au sein d'une société patriarcale. Le texte coranique doit toujours être lu à la lumière du présent, puisque la révélation n'a pas transcendé la mentalité de l'époque. Une lecture finalisée du texte est donc exigée.


Justement, quelle lecture peut-on faire de ce verset aujourd'hui ?


Une lecture qui nous appelle à suivre le mouvement du texte. Ce qui va à contre sens d'une lecture littérale qui figerait toute interprétation du texte Coranique. Les jurisconsultes musulmans de l'époque classique ont toujours étudié ce qu'ils appelaient ('Illat al-tashrî'), c'est-à-dire, la finalité de la législation. Si on suit la même démarche concernant le port du voile, on parvient à la conclusion suivante que la finalité essentielle de ce verset repose sur un appel à la pudeur et au respect d'autrui. Cet objectif n'implique pas obligatoirement le port du voile. Une attitude convenable, conjuguée à une bonne instruction suffiront à respecter l'esprit de ce verset. Nous pouvons aisément affirmer que les filles non voilées sont autant pudiques que les autres et que l'islam n'a jamais exigé une tenue vestimentaire particulière pour les musulmans. A ceux qui continuent de considérer que le port du voile contribue à protéger la femme du regard concupiscent de l'homme, je propose d'inverser les rôles. En effet, l'homme lui-même peut susciter le désir chez une femme. Il n'est pas pour autant tenu de revêtir un vêtement spécial qui le protègerait du regard de la femme.


Vous évoquez la préservation de la femme, comment réagissez-vous à certaines pratiques en France, telle que l'excision qu'on tente de justifier religieusement ?


L'Islam est une religion qui impose aux hommes et aux femmes de veiller à leur santé, ainsi qu'à l'intégrité de leur corps et de leur personne. L'excision ( l'ablation du clitoris) est une atteinte à la dignité de la femme. Aucun verset coranique, aucun propos prophétique ne recommandent cette pratique barbare. Il s'agit plutôt d'une tradition ancienne qui rendait la femme responsable de toutes les manquements à la morale et aux bonnes mœurs. La littérature juridique ancienne qui parle de cette pratique, sans la recommander formellement, l'évoque sous le vocable « khafdh » ou « khifâdh » qui signifie l'affaiblissement du plaisir sexuel. Cette signification est connotée d'un raisonnement qui confère à la femme un statut inférieur à celui de l'homme. Dans le contexte actuel, cette pratique tribale est doublement condamnable tant au niveau de la religion que des lois civiles.


En parlant de pratique tribale, le mariage forcé a encore cours dans certaines banlieues en France, que dit L'islam à ce sujet ?


L'islam rappelle au prophète qu 'on ne peut en aucune manière imposer aux individus de croire en Dieu sous la contrainte. C'est un des fondements de la religion que d'avoir cette liberté de croire ou de ne pas croire. A ce titre, comment peut-on contraindre deux êtres à vivre ensemble, parce qu'il en a été décidé ainsi par les parents à la suite d'un arrangement entre deux familles ? Le mariage forcé est combattu par toutes les écoles juridiques, car on ne doit en aucun cas créer une union vouée à l'échec dès le départ. Par ailleurs, la tradition prophétique exige que les deux futurs mariés se connaissent et s'apprécient avant de conclure un contrat de mariage.


La pratique du mariage forcé occulte une autre pratique, celle de la répudiation dont certaines femmes sont encore malheureusement victimes ?


Ce terme n'a pas d'équivalent dans la tradition musulmane, car le mot Talâq, qui veut dire la séparation entre les deux époux, nécessite la présence des deux parties devant le juge qui ordonne ce divorce après que les familles des mariés aient tout entrepris en vue de les réconcilier. Le Talâq est donc considéré comme un ultime recours. Le Talâq impose que l'un des deux membres du couple invoque des arguments sérieux qui puissent justifier une séparation. Un divorce est souvent vécu comme un drame. le Prophète affirme à ce sujet que « le plus haïssable des actes licites aux yeux de Dieu est le Talâq ». L'islam ne contraint pas deux époux à demeurer unis toute la vie, si cette union n'est plus viable !


Le savoir n'est-il pas le meilleur remède contre toutes ces pratiques d'un autre âge qui relèvent plus de la tradition que d'une réalité coranique ?


Tout à fait, la quête du savoir est une démarche qui revêt un caractère obligatoire pour tout musulman, homme ou femme. Le Coran est suffisamment explicite à ce sujet. Il rappelle l'importance accordée au savoir « Dis : « sont-ils égaux, ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ? » ; seuls les doués d'intelligence se rappellent ». Il suffit pour souligner l'importance de l'acquisition du savoir dans la tradition islamique, de rappeler que le premier mot révélé du Coran est cette injonction : « lis ! » Les textes coraniques présentent le savoir comme étant inséparable aussi bien de la foi en Dieu, que d'une confiance en l'homme et en sa capacité à maîtriser le monde. Étant lui-même la source et la finalité, l'être humain ( homme et femme) est appelé à valoriser sa foi en Dieu par la quête des sciences, car le Coran décrit l'ignorance comme étant synonyme de la non-croyance en Dieu. L'islam ne fait aucune distinction entre femme et homme concernant la quête du savoir. Rappelons également, qu'au moment du rassemblement des propos prophétiques, les Hadîths rapportés par 'Â'icha, l'épouse du Prophète, sont considérés comme une référence en la matière au niveau de leur véracité. D'autre part, aucun Hadîth et aucun verset coranique ne mentionnent des spécialités scientifiques exclusivement réservées aux femmes ou aux hommes. Ils sont tous concernés par l'appel à l'acquisition du savoir sans distinction entre ses différentes branches.


Coran ; XXIX, 9.


Coran ; LXXXXVI, 1-5.


Mohsen Ismaïl
Théologien et sociologue de l'islam. consultant de revue Islam de France.(ed Al Bouraq). Attaché au Centre d'études sur l'Orient contemporain - Paris III Sorbonne Nouvelle
m
18 novembre 2003 15:51
C'est tout simplement ça!!! c'est exactement ce qu'il dit et je suis ravie de lire ce genre de texte.... enfin !!!


les femmes qui ne portent pas le voile....ne sont pas plus croyantes que celles qui le portent....
a
18 novembre 2003 16:43
merci!! majouba! en islam il ya le fiqh (jurisprudence) le texte coranique et la sunnah sont a adapté selon l'epoque, l'endroit... finalement c'est a nous de rechercher une interpretation coranique au lieu d'ecouter des avis sans en verifier la pertinence

et n'oublier pas: "tawassaw bi haqqui ,tawwasaw bi sabr" sourate el asr,

il faut rester ensemble et allez vers la verité ensemble ....et non pas se diviser sur des interpretations personnel....

saha ftourkoum wa allahouma takabal sihamkoum
m
18 novembre 2003 17:15
Tout d'abord lin je te présente toutes mes excuses pour ce mail que tu as pu trouvé agressif, je m'en excuse vraiment.

ensuite oui c'est vrai je ne suis pas convaincue de l'existence de Dieu, et lorsque je l'evoque dans ce post, c'est en reference à la croyance en général, mais je ne parle pas de moi...
En ce qui me concerne, je trouve que le message autour du voile me dérange.

Que ce soit ceux qui considére ce geste comme une sorte d'appartenance à l'élite celle qui est dans le droit chemin contrairement à aux autres qui décident de ne pas le porter.

Ou bien ceux qui veulent uniquement y voir un signe de revendication politique extremiste.

Je suis sûre que celles qui l'ont choisi, le vivent bien, mais je ne veux pas qu'on les utilise pour exclure les autres...

Et je pense qu'on peut se parler et echanger nos idées même si nous ne partageons pas la même vision du monde tu ne croies pas?

le fait d'être athée ne veut pas dire que je ne reconnais pas le discours des croyants, je l'écoute et au contraire je trouve que l'échange est intéressant car il apporte une connaissance.
i
18 novembre 2003 18:23
L'islam n'est pas une mode qui change a mesure des saisons, Allah SWT a dis que a l'avenir des gens de la communauté rendrons licite ce qu'il a interdit. Libre a vous de manipuler les paroles D'Allah, je suis désolé de vous le dire ce n'est ni a vous ni a moi d'interpréter a notre guise! il y a les Ulamas qui sont connus et reconnus pour leur savoir et Allah est seul détenteur de la vérité. Ces ulamas ont de manière unanime et stricte défini le hijab comme étant un devoir pour la musulmane.

Si vous etes en quete de vérité relisez mon post et lisez le Coran karim, par contre si vous etes borner et sourd alors arretons tout de suite et faite ce que vous avez à faire mais ne manipuler L'islam car les seuls qui en subiront les conséquences c'est vous et personne d'autre donc preservez vous de parler de ce dont vous connaissez peu merci!
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