mdrrrrrrCitation
axis7 a écrit:
Il serait bon d'avoir l'avis du ministre des affaires etrangères algérien Monsieur Medelci sur cette drogue à base d'insectes répugnants.
Vont-ils accuser ces cafards d'êtres marocains???
Citation
axis7 a écrit:
Il serait bon d'avoir l'avis du ministre des affaires etrangères algérien Monsieur Medelci sur cette drogue à base d'insectes répugnants.
Vont-ils accuser ces cafards d'êtres marocains???
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piducas a écrit:
Pour répondre à l'humour de certains
La blatte n'est pas marocaine mais serait américaine ; introduite à Alger pendant la deuxième guerre mondiale lorsque une armada de navire américain mouillait au port de la ville.
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aliwood a écrit:
tu n'as rien trouvé à te mettre sous la dent pour rechercher des articles dans les poubelles du passé,c'est article à été ecrit en 2012,pauvre malade mentale,que t-ont-ils fait les algeriens?
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Melkafr a écrit:
D'abord, moi je trouve que les algériens sont supers imaginatifs
Ce shutter avec de la poudre de cafard, produit biologique, gratuit et moins nocif mais avec les mêmes effets que la drogue c'est trop génial.
Et à mon sens, il serait même bon de propager à grande échelle cette recette algérienne au maroc et tout particulièrement auprès des Chemkaras marocains ***
Qu'en pensez vous?
*** Chemkaras: Les enfants terribles de Casablanca
«Je sniffe tout le temps, même la nuit, j’ai mon sachet sur le nez. Pourquoi? Parce que je ne vis pas comme les autres.»
Le corps est noueux. Le visage haineux. Les rides ont déjà creusé quelques sillons dans le visage. Les bras cinglés de balafres. Des automutilations. Comme dans des rituels de mise en condition pour affronter la jungle de la rue: un gamin avec une balafre bien en évidence en jette plus qu’un autre. C’est un fait. «Je vais mourir bientôt. Très jeune, même avant vingt ans. Et dans la rue, je t’en donne ma parole. Je suis une erreur qui sera très vite réparée». Hamid a quinze ans. Il en paraît quarante. Quinze ans dont la moitié dans la rue à sniffer de la colle. Il en est déjà à cracher du sang et s’essuie sur ses manches. La mine est grise, les yeux creusés de cernes. Il tremble aussi. C’est le fond du trou. Et le ventre vide. En guise de nourriture, des restes qu’il mendie devant les snacks quand il ne va pas plonger la tête dans une poubelle pour se dégoter un bout de patate ou un morceau de pain dur rance. Il fume des mégots qu’il ramasse dans le caniveau. L’œil toujours rivé au sol et un sachet dans la poche où il collectionne les bouts de cigarettes déjà fumées par d’autres. Il s’en fiche des maladies qu’il peut choper en fumant les mégots des autres. «Des maladies, j’en ai déjà. Il n’y a que la mort qui tarde à venir.»
L’histoire de Hamid est celle de milliers de gamins qui sillonnent les rues, dorment au vieux port de Casablanca, au marché de gros de Hay Moulay Rachid, aux abords de la gare routière Oulad Ziane ou encore dans les différents passages du centre-ville de Casablanca. Il a une famille; qu’il a choisi de quitter: «Parce que je n’ai rien à faire avec eux. Je suis mieux dans la rue. Je suis sale et je pue, mais je suis libre». Les parents, de leur côté, ont même oublié qu’il existe.
La mère a six autres bouches à nourrir. Le père est un “qemmar” invétéré qui passe sa sainte journée dans les trous des parieurs. Et quand il revient à la maison, il tabasse la mère, avant de manger et de roupiller, en attendant le nouveau cycle. Hamid a décidé un jour de ne plus remettre les pieds chez lui: «J’en avais ma claque de toute cette merde. Mon père est un sale fils de p… et ma mère est une grosse salope. Je n’ai ni frères ni sœurs. Je suis sans famille et je suis bien comme ça».
Fatal destin
Quand Hamid se lâche (c’est ce qu’il fait à longueur de journée) ce sont les siens qui trinquent en premier. Après, tout le monde y passe: les autres gamins comme lui qu’il qualifie de «Fils de P…», la société, le pays, l’État, le gouvernement, Dieu et ses prophètes. Bref, à chacun, il réserve un chapelet d’injures des plus corsées. Avec toujours ce regard en biais, cet oeil noir et sans reliefs, cette façon torve de grimacer. Hamid est un type qui peut te foutre la trouille. Compte-t-il s’en sortir? «Non, jamais. On a déjà essayé. On m’a mis dans des maisons, on m’a lavé, on m’a nourri, on m’a donné des habits neufs. Mais je me suis enfui. Ma place est dans la rue».
C’est une existence parallèle au monde.
Il n’y a pas que des mecs qui écument le macadam avec un sachet en plastique dans la main, gorgé de colle à sniffer, dont les effluves engourdissent le cerveau et mettent le sniffeur dans un état second. Les filles sont de plus en plus nombreuses à faire cause commune avec les parias des villes. Les mâles, eux, concurrencent d’ingéniosité pour fuir la réalité: «Je sniffe tout le temps, même la nuit, j’ai mon sachet sur le nez. Pourquoi? Parce que je ne vis pas comme les autres. Je veux oublier, me perdre, et quand je sniffe, je suis bien. Et pour que le trip soit complet, j’avale quelques Rivotril, et là, je suis comme un lion. Gare à celui qui vient me faire chier. Je suis capable de l’envoyer à l’hosto.» Et Si Mohamed a déjà à son tableau de chasse quelques types qu’il a sérieusement amochés, juste parce qu’il était en rogne.
“J’ai ouvert la joue à un type avec un tesson de bouteille et j’ai fendu la tête à un autre avec une “paviya” (un pavé, un gros caillou). Je n’ai même pas été arrêté. Tu sais, entre chemkaras, la police nous laisse faire. Pour Brahim, le mélange colle-Rivotril, un psychotrope puissant, n’est pas méchant: «Je prends le même mélange depuis des années. Et regarde, je suis solide comme une pierre. Des fois, j’ajoute un peu d’alcool à brûler et c’est le nirvana».
Tous pareils
Des pertes de conscience, il en a fait par dizaine. D’ailleurs, il ne les compte plus. Dons son entourage, tout le monde sait qu’un jour ou l’autre, on passe à la moulinette, et on se fait éclater le sphincter dans la froideur des terrains vagues, dans le port de pêche ou derrière les portes des immeubles du centre-ville. D’ordinaire, les viols entre chemkaras sont collectifs. On se saisit d’un gamin et on le viole à tour de rôle. Généralement, ils dégénèrent, et on en ressort avec des séquelles pour la vie. Dans la rue, c’est chacun pour soi. Malin est celui qui protège son derrière. Quand on est titi, on est seul, comme le jour de sa naissance et celui de sa mort. Mais on a besoin d’une bande pour abriter sa misère. Mieux vaut être plusieurs à rôder. Cela impressionne, donne de l’assurance aux uns et aux autres.
Guerres de territoires
Les chemkaras chassent en groupe. Font les quatre cents coups en meute. Ils volent en bande, sniffent et dorment en horde. Mais quand ça tourne mal, c’est le chacun pour soi. Entre bandes de chemkaras, c’est toujours la guerre. Conflits de territoire, places à prendre, d’autres à préserver. Il faut être plus alerte, plus courageux, plus salopard que le voisin, pour fouiller dans une poubelle, se planter devant un snack, rôder devant un bar et ramasser les mégots. Dans le tas, beaucoup triment à longueur de journée pour apporter un petit pécule à la tombée du jour. «Les plus faibles deviennent cireurs ou travaillent comme porteurs (Hammala) dans les marchés. Les autres, les plus coriaces, ils restent avec Driss pour assurer les vols. Parfois, on peut aussi vendre du karkoubi pour manger».
Et, quand les choses tournent très mal, après un crime, comme cela est déjà arrivé à plusieurs reprises entre chemkaras, on franchit la frontière qui sépare la vie de la mort. On se retrouve au centre de redressement à Oukacha. Une escale, en somme. Puis, on repart dans la rue, plus aguerri et plus décidé à en découdre avec tout le monde.
c ' est la nature , mais nous on les sniffe pas .Citation
Melkafr a écrit:Citation
piducas a écrit:
Pour répondre à l'humour de certains
La blatte n'est pas marocaine mais serait américaine ; introduite à Alger pendant la deuxième guerre mondiale lorsque une armada de navire américain mouillait au port de la ville.
Et les "Serak ezite" que l'on trouve au maroc sont sortient de l'Atlantide non?
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tatouage a écrit:Citation
axis7 a écrit:
Il serait bon d'avoir l'avis du ministre des affaires etrangères algérien Monsieur Medelci sur cette drogue à base d'insectes répugnants.
Vont-ils accuser ces cafards d'êtres marocains???
C ' est possible , ils sont passé par Oujda
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axis7 a écrit:Citation
tatouage a écrit:Citation
axis7 a écrit:
Il serait bon d'avoir l'avis du ministre des affaires etrangères algérien Monsieur Medelci sur cette drogue à base d'insectes répugnants.
Vont-ils accuser ces cafards d'êtres marocains???
C ' est possible , ils sont passé par Oujda
On va avoir droit à une quatrième condition du porte parole des embrouilles etrangères algérien pour normailser les frontières.
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piducas a écrit:
Pour répondre à l'humour de certains
La blatte n'est pas marocaine mais serait américaine ; introduite à Alger pendant la deuxième guerre mondiale lorsque une armada de navire américain mouillait au port de la ville.
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Melkafr a écrit:Citation
piducas a écrit:
Pour répondre à l'humour de certains
La blatte n'est pas marocaine mais serait américaine ; introduite à Alger pendant la deuxième guerre mondiale lorsque une armada de navire américain mouillait au port de la ville.
Et les "Serak ezite" que l'on trouve au maroc sont sortient de l'Atlantide non?
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piducas a écrit:Citation
Melkafr a écrit:Citation
piducas a écrit:
Pour répondre à l'humour de certains
La blatte n'est pas marocaine mais serait américaine ; introduite à Alger pendant la deuxième guerre mondiale lorsque une armada de navire américain mouillait au port de la ville.
Et les "Serak ezite" que l'on trouve au maroc sont sortient de l'Atlantide non?
Pardonnez mon ignorance, mais c'est quoi ces "voleurs d'huile" ?