Citation
AL MASSIRA a écrit:
Attention à la dimension et à l'interprétation qu'on donne à cette affaire. C'est une femme politique qui attaque une journaliste devant la justice. Ne transformons pas cela en l'attaque de l'Etat marocain contre la liberté de la presse. Il faut attendre le recevabilité de la plainte par le juge et puis son jugement. Et quand bien même la journaliste serait condamnée, ça s'apparente plus à une affaire privée isolée qui est tout de même regrettable.
Espérons que je juge fera son travail et donnera raison à la journaliste d'après les éléments dont on dispose.
Citation
Berkshire a écrit:
Ce n’est pas vraiment une affaire privée, c’est une affaire politique. Ça concerne tout de même le vote pour la présidence de la région de Guelmim-Oued Noun qui s’est maintenu et déroulé alors qu’un élu était entre la vie et la mort et que l’advesraise de la plaignante était à son chevet.
Dans ce genre d’affaire, le plaignant en général utilise son droit de répondre aux « interrogations » (car ce ne sont pas des accusations), Mais là, en portant plainte (qui est son droit) elle cherche à étouffer les interrogations, elle cherche à empêcher les journalistes et les citoyens de réfléchir et de penser en résumé car s’interroger c’est penser. Mais on sait tous aussi que, puisque la plaigante est une personnalité politique, pendant l’instruction s’il y en a une, la journaliste sera interrogée et peut être arrêtée, empêchée de quitter le territoire, privée de publier, de communiquer etc … on connait tous ces aberrations trop fréquentes ces derniers temps malheureusement.