Les marocains sont confrontés à un choix cornélien. Soit ils ne votent pas aux élections communales 2009, ils laissent le champs libre aux affairistes, politicards et autres corrompus qui vont continuer à se servir dans les caisses des mairies et des communes. Ou bien ils participent et ils légitiment le régime dont la démocratie n’est que de la poudre aux yeux car les pouvoirs sont concentrés aux mains du roi et des suppôts du makhzen qui ne rendent pas compte aux électeurs mais au roi.