Je t'avais bien compris puisque je ne suis pas resté au niveau particulier et suis passé au niveau macroscopique de la condition de la femme au sein d'une société mondialisée, systéme interagissant ou subissant passivement un autre systéme qui dégènère. Dans le monde "musulman" comme partout ailleurs au respect s'est substitué progressivement l'irrespect, la violence, la drague, le profit sans assumer, les fameux harcelements du monde du travail et autres moeurs nouvelles allant de l'échangisme d'un colis ou d'un corps aux autres perversions moins avouables. C'est cette dynamique globale qui doit nous interpeller. Un viol est parfois plus atroce dans le vécu d'une jeune fille que toutes les morts, combien finissent dans les asiles ou le suicide ou encore brisée à jamais ? Combien ne se reléveront jamais du traumatisme vécu ? Combien de couples brisés ? As-tu entendu une seule campagne médiatique digne de ce nom en Europe, contre le viol ? On dénonce certes la violence des hommes au sein des couples, on compte le nombre de meurtes de femmes comme dans une émission en italie, plus suivie par des voyeurs curieux de faits divers, et cela s'arrête là ... Le nombre de divorces et sa cohorte d'injustice d'enfant reniés qui augmente. Aux femmes des pays musulmans d'interroger l'organisme dans lequel elles vivent. Mais alors pourquoi dans des livres en langues étrangéres et pas dans leur langue ? Pourquoi ne pas tenir un discours qui s'appuie sur les fondamentaux de ces mêmes peuples, comme cela a été fait pour la moudawana ? Pourquoi faut-il que cela passe par le canal d'ONG étrangères ? Pourquoi sont-elles médiatisés hors de leur culture, alors que le message s'adresse avant tout et en priorité à leurs propres congénéres ?Citation
belamri a écrit:
je voulais juste attirée ton attention sur des fait divers qui son des livres en format de poche
qui son aussi importent si on veux creusé la question et on tombe sur l'extrais du macroscope
Les rôles sont inversés : ce n'est plus le biologiste qui regarde au microscope une cellule vivante ; c'est la cellule qui regarde au macroscope l'organisme qui l'abrite. »
si tu vois se-que je veux dire