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La liberté morale , pour où contre ?
e
20 janvier 2010 17:58
Bonjour , La liberté morale vous y êtes pour ou contre ? a chaque réponse justifier et dites pourquoi ...
MERCI !
t
21 janvier 2010 08:02
je repondrais par une autre question:
qu est que vous appelez liberté?qu est que la morale?
pour la liberte morale en public et apres chez soi chacun sa liberte morale ou pas
c est le principe de liberte tout court
g
21 janvier 2010 10:17
Désolée de ne pas répondre cette fois(je manque cruellement de disponibilité!)
N
21 janvier 2010 13:44
S
21 janvier 2010 20:36
L
21 janvier 2010 22:16
Il n'y a pas de morale sans liberté.
e
21 janvier 2010 22:40
@ tiflet 38 [MP] , la liberté morale a une définition smiling smiley ! tan que vous ignorez cette définition , vous ne pouvez point répondre a MA question ( pour où contre cette liberté morale )
Donc prière d'éviter de répondre comme ça bêtement ! si vous voyez ce que je veux dire ! moody smiley
N
21 janvier 2010 23:58
c'est ton sujet de philo ? ou une vraie question existentielle que tu te poses ?
e
22 janvier 2010 19:52
On va faire un débat sur ça !
question existentielle , répondre Avec logique , avoir ses raisons quoi ... ! pourquoi contre , et pourquoi pour !
L
24 janvier 2010 14:20
.....................Je suis pour la libérté d'expression en général, et pas uniquement morale.................Elle ouvre les portes des débats..............Nous fait connaître des avis différents.............grâce auquels nous révisons nos positions pour mieux évoluer.Football
Cordialement, un routier.
e
24 janvier 2010 19:32
Qui peut analyser la forme de ce poème (charles baudelaire)
qui y-a-t-il de subversif "qui puent" ??
exprimez l'effet que vous a procuré " au lecteur "?




Au lecteur

La sottise, l'erreur, le péché, la lésine,
Occupent nos esprits et travaillent nos corps,
Et nous alimentons nos aimables remords,
Comme les mendiants nourrissent leur vermine.
Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches.
C'est le Diable qui tient les fils qui nous remuent !
Aux objets répugnants nous trouvons des appas ;
Chaque jour vers l'Enfer nous descendons d'un pas,
Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent.
chaque jour vers l'enfer nous descendons d'un pas,
"mais parmis[...]/les monstres [...]/dans la ménagerie infâme de nos vices,
Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde !
Quoiqu'il ne pousse ni grands gestes ni grands cris,
Il ferait volontiers de la terre un débris
Et dans un bâillement avalerait le monde ;
C'est l'Ennui ! Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat,
- Hypocrite lecteur, - mon semblable, - mon frère !
ok
26 janvier 2010 02:28
Voici mon interprétation:, la liberté et la morale, son deux termes antinomiques si usités dans un usage combiné. Car la morale tire son sens de la nécessité. Une morale s'impose, même si elle peut être choisie librement. Mais elle n'est pas morale si elle ne respecte pas sa propre morale! Ce serait une sorte d'éthique de la morale si tu veux. Sinon, le choix est amoral par définition.
C'est toute la difficulté de la définition des termes du sujet. On pourrait alors dériver vers la question de la légitimité de la morale, qui à mon sens est sous jacente à ta question. En fin de compte, la question serait, d'ou la morale tire sa nécessité, de Dieu ou des hommes?
Je pencherais plutôt vers la première solution, à mon avis! Car toute morale respecte les lois naturelles établies (si on est croyant) par Dieu.
 
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