l'erreur de l'entraineur c'est de ne pas avoir sélectioner Boukhari et Sektioui. Dans une équipe de foot il faut un équilibre,c'est comme dans la vie. l'équipe du maroc n'était pas équilibrée. Tout d'abord il n'y a pas de créateur relais entre les demi-défensifs /récupérateurs comme par exemple Ballack pour le Bayern et kaka pour l'AC Milan, un demi-récupérateur n'a pas pour rôle de créer.si vous n'avez pas de créateur,vous avez alors un bloc défensif de récupérateurs et de défenseurs qui balance des ballons.Ensuite dans une équipe bien équilibrée vous avez un demi de percussion gauche et droite appuyé par les deux bacs,qui ont pour rôle d'ouvrir une défense ,pour ensuite créer du danger et des occasions par des centre précis.Dans l'équipe du Maroc ,il n'y avais qu'un côté gauche ,qui a trés bien fonctionné, composer de Moha et Kaddouri.C'est deux erreurs ont été un fardeaux pour les attaquants,vous pouvez avoir le meilleur attaquant du monde ,il ne fera rien et s'épuisera aux bout d'une heure de match.Ces erreurs sont grave pour un entraineur d'une équipe national, qui a les joueurs pour créer une équipe équilibrée ,deux joueurs qui joue dans deux grand club européen,qui aurais apporter de la créativitée et de la percussion ,pour preuve le match ou Boukhari a jouer c'est contre le congo,l'équipe a trés bien jouée ,avec de bonnes combinaisons,score 3-0. C'est idnamisible.
Il fo aussi rappeler que le joueur créateur, passeur et percutant de notre selection est zairi, mais il est bléssé, c le seul véritable lien avc les attaquants.
Sinon je partage aussi ton analyse, je pourrai aussi rajouté certain choix bizzar de fakhir, sur ses changement trop tardif (avc 15 min de jeu un raplaçant n'apporte ri1 ds un match, surtout qd il fo gagner), armoumen a montré de belle qualité surtout au niveau atlhétique, pourquoi n'a t-il pas joué au moin remplaçant pour apporter offensivement.
Très bonne analyse de Qalam, mais la question existencielle reste "que vient faire Chippo ???" désolé pr ses fans mes moi depuis le but contre son camp dans le match Maroc/Norvège en 1998 il me choffe ce joueur en plus il a vieilli faite place aux jeunes qui veulent montrer leurs qualité (aboucharouane, boukhari, skitiwi ...................)
· La gestion désastreuse de la FRMF coûte cher au Onze national
· Les lions ont manqué d’appétit
Pour gagner, il faut marquer. S’il y a une règle que tout le monde connaît en football, c’est bien celle-là. Mais les lions de l’Atlas ne l’ont manifestement pas compris. Conjugué à la première défaite (0-1) contre les éléphants ivoiriens, le dernier match nul blanc face aux Egyptiens compromet sérieusement les chances du Onze national pour une qualification au second tour de la CAN 2006. Les lions de l’Atlas semblent avoir perdu tout appétit, puisqu’en deux matchs, ils n’ont marqué aucun but. Pour passer en quart de finale, ils doivent gagner contre la Libye par trois buts d’écart et attendre que les pharaons perdent leur match face à des Eléphants déjà qualifiés. Bref, cela relèverait du miracle.
Au-delà des choix tactiques de l’entraîneur M’hamed Fakher et des prestations des joueurs nationaux, il faudrait chercher les causes profondes de ce «quasi-échec» ailleurs que sur un terrain de foot. Penchons-nous plutôt sur le charivari qui a secoué l’équipe nationale avant le début de la CAN 2006. Nommer un entraîneur, aussi efficace qu’il puisse être, à dix jours de la compétition, ne relève vraiment pas de la bonne gestion. Qu’est-ce qui s’est réellement passé entre la Fédération royale marocaine de football (FRMF) et Philippe Troussier pour que ce dernier «dépose sa démission» à deux semaines de la compétition? Pourquoi désigner un entraîneur, peu importe lequel, pour dire après que «la Fédération avait des vues très différentes des siennes, et qu’une telle situation ne pouvait durer?» comme l’avait si bien expliqué Mohamed Aouzal, vice-président de la FRMF. Autant de questions que les Marocains se posent mais pour lesquelles il n’y aura manifestement pas de réponse.
Une chose est sûre: les lions de l’Atlas ont bien joué, mais ils ont été battus par leur propre fédération. Cette dernière leur a manqué -et à tous les Marocains- de respect en adoptant une gestion pour le moins désastreuse. Petit rappel des faits: à quelques mois de la CAN 2006, Badou Zaki (qui a conduit le Onze national en finale de la dernière CAN en Tunisie et qui n’a perdu qu’un seul match officiel sur les 22 joués) est poussé à partir après le nul contre la même Tunisie et l’élimination de la Coupe du Monde 2006. Signalons que le traitement réservé par certains médias, surtout audiovisuels, à cet épisode, avait pratiquement tourné au règlement de compte personnel avec Zaki. Les téléspectateurs de la «Majjala Riadia», diffusée par la chaîne d’Aïn Sebaâ, s’en souviennent très bien. Après la démission de Zaki, des négociations seront engagées par les responsables de la FRMF pour trouver un nouvel entraîneur. Le choix tombe sur Philippe Troussier, qui a fait ses preuves avec le Japon lors du dernier Mondial. Mais des différends éclatent entre «le sorcier blanc» et les responsables de la FRMF. Pour des raisons connues et qui n’ont convaincu personne, Troussier quitte la sélection. En tout et pour tout, il aura entraîné l’équipe nationale pendant deux mois. Fakher est alors appelé à la rescousse et l’entraîneur des FAR de Rabat accepte. Un cadeau empoisonné. Il dispose de moins de deux semaines pour tout savoir sur la sélection: le choix des joueurs, la stratégie à adopter… Pour ce faire, il programme trois rencontres amicales pour ses poulains en moins d’une semaine. Les conséquences de ces matchs se ressentiront sur un effectif usé. De plus, Zairi et Ouadou, blessés, ont été incapables de jouer les deux premiers matchs déterminants pour le groupe. Sauf miracle, les lions de l’Atlas ne passeront même pas le premier tour de cette compétition. Après l’euphorie de la CAN 2004, l’élimination au premier tour de cette édition sera dure à avaler.
Le Dieu du foot n’est pas marocain
Pour tous les téléspectateurs de cette CAN 2006, le Onze national a effroyablement manqué de chance. Au cours des deux premiers matchs, les poulains de M’hamed Fakher ont multiplié les attaques, en vain. Un coup, ils manquent de réussite et un autre, c’est le gardien adverse qui fait un exploit en arrêtant un ballon qui allait au fond des filets adverses. Ces derniers n’ont pas été secoués une seule fois en 180 minutes de jeu. Pitoyable performance pour le finaliste de la dernière édition de la CAN. Les lions de l’Atlas sauront maintenant et plus que jamais, que pour gagner, il faut d’abord marquer.