Au MAROC, les jeunes sont désorientés. Pour le garçon comme pour la fille, que ce soit en ville ou à la campagne, le chemin de la réussite et du bonheur est pareil à un tunnel obscur et épineux dont ils ne voient toujours pas encore le bout. Pour trouver un travail, c'est déjà un problème Quand à leur identité socio-familale, elle se disloque, petit à petit, au fil des jours et des déceptions. QUI EN EST LE RESPONSABLE ?.
On les éduque, d'abord, suivant les notions de bien et de justice sans les préparer, réellement, à afffonter la vie à l'extérieur du foyer-mère. Il se rendent vite compte que la réalité est tout autre. S'ils sont assez forts et s'ils ont de la chance, ils s'adaptent sans trop de casse. Sinon, c'est l'Univers de la délinquance qui leur ouvre les bras.
On leur apprend qu'avec des études poussées et un diplôme, ils trouveront un travail répondant à leurs aspirations de qualifications. Or, ce n'est pas souvent le cas puisque le facteur (( réussite professionnelle )) dépend davantage d'un petit coup de pouce du genre (( piston )), (( chance )), (( argent ))...
Enfin, on ne les écoute guére quand ils parlent, on se contente de les entendre, d'admirer et d'envier peut-être leur enthousiasme. On est tellement sûr qu'ils ne peuvent avoir raison, car : inexpérimentés, irraisonnables, impulsifs !
Dans ce cas, pourquoi fait-on des reproches à notre jeunesse ? Pourquoi l'accuse-t-on de tous les maux ? Pourquoi ne lui fait-on pas confiance ? Pourquoi la ridiculise-t-on dans ses élans au lieu de l'encourager ?
On ne le criera jamais assez fort : chaque société récoltera ce qu'elle aura semé ! Les jeunes d'aujourd'hui formeront des générations à venir. Ils seront catalyseurs de l'éducation et de la réalité qu'on leur inculque. Spectateur attentifs mais passifs, ils apprennent en silence et agissent comme bon leur semble.
Un proverbe arabe dit : (( Celui qui a perdu une chose ne peut prétendre la donner ))
On ne peut donc éxiger de la jeunesse Marocaine d'être à la heuteur de ses responsabilités si on lui donne fréquement le mauvais exemple. De même, on ne peut éternellement la duper. Donnons lui la possibilité de participer, d'apprendre, de s'épanouir. La balle est dans votre camp, parents éducateurs et responsables.
Ne soyez pas comme ces gens qui, invités a parler de l'Océan, n'évoque que le mal de mer.
J'insiste en tant que critique pour que l'esprit au bout de l'index ne cesse de pointer la Maroc pour tous les problèmes communs au monde entier
dans l'article, on peut aisément remplacer les mots Maroc, jeunesse marocaine par France, jeune fraçaise, etc, et ça tiendra aussi debout, on serait devant les mêmes problématiques...
Je ne sais pas si tu est Chinois ou Japonais Môh Tsu -
Je suis pur Marocain et j'aime mon pays et je suis trés fier de l'être, les autres pays ne m'interesse pas, Si tu insiste pour critiquer les pays comme la France qui donne aux jeunes diplômes l'occasion de partir a point, et payer les chômeurs sans travail, et diminuer la mendicité et aider les pauvres, notre Maroc sera meilleur inchaa Allah d'içi 100 ans.
Salam.
Ne soyez pas comme ces gens qui, invités a parler de l'Océan, n'évoque que le mal de mer.
Bibasta, si je peux me permettre de donner mon avis... Tu remets en cause la société vieillissante du Maroc. Je ne suis ni conservatrice, ni traditionnaliste mais seulement je pense que la jeunesse n'est pas aussi idyllique que se que tu décris. Seulement 38% de réussite au bac. Sur ceux qui passe le bac! Je ne compte meme pas ceux qui s'arrete en chemin. Qui n'a pas la volonté de faire de grandes choses? De réussir? Seulement il faut savoir s'en donner les moyens se qui ne semblent pas vraiment etre leur cas...
Ces jeunes ne pensent qu'a fuir. Pourquoi ne pas rester dans son pays et essayer de le "remonter"? Pourquoi ne pas nous aussi faire en sorte de faire parti des PAYS DEVELOPPE et non plus des PAYS EN VOIE DE DEVELOPPEMENT?
J'aime également mon pays, mais je t'avoue qu'il m'arrive parfois de ne pas en etre fière du tout. La jeunesse semble etre une jeunesse debauchée et sans valeurs, parce qu'emprisonné dans des règles trop strictes, ils ont finit par deraillé. Ils ne pensent pas ou peu à leur avenir et se contente d'essayer de gouter aux plaisirs occidentaux... Avec une mentalité aussi puérile, je doute de leur efficacité.
Bien sur je ne fais pas de généralité. Mais... Permet moi de douter sur cette jeunesse, un peu specifique malgré se que peut dire Moh Tsu.
La Jeunesse Marocaine, a commencer a rejeter plusieurs facteurs, socio-cuturel, religieuses, socio-économique, pour aider le bled a partir loin dans le dévellopement de ces infrascultures ect...
Je ne généralise pas ! Et je ne veut pas que l'on prenne ces propos comme une critique.
La Jeunesse Marocaine a oublier que le compteur va trop vite, que le progrés et le dévellopement guettent, que les retard se paieront trop cher.
SORRY, la Jeunesse des Marocains Français est bien éloigné des Marocains réel.
Ce MAROC imaginaire parmis LES PAYS DEVELOPPE est une ILLUSION, une pure vérité trés ammer pour les générations a venir.
On s'estime heureux car notre MAROC est situer dans un point statégique de L'AFRIQUE et surtout, de tout les pays du SUD DE L'AFRIQUE, pour ne pas dire les pays Maghrebin, vu que seulement 14 km de mer nous sépare de l'EUROPE ( Le détroit )
Salam
Ne soyez pas comme ces gens qui, invités a parler de l'Océan, n'évoque que le mal de mer.
Le sujet est intéressant, C’est que la partie visible de l’iceberg, l’occulte est bien plus terrible qui n’y parait, je vais te citer ces causes en pèle mêle, et je rappel que c’est une conclusion personnelle.
Le sujet que tu évoque mon ami, est lié à plusieurs domaines, c’est un visage pluriel, un engrenage des éléments : sociologiques (la quintessence du mode de vie marocain), psychologique (c’est l’état d’âme du jeune lui même, son entourage, ses principes et idéologies acquissent à l’enfance) et, l’enseignement marocain : qui trébuche à produire des jeunes capables de s’imposer professionnellement, et pour finir ; les stratégies missent en place par notre gouvernement qui sont improductives.
Je pense que la jeunesse marocaine est balancée entre une crise du chômage aigu, et un autre paramètre que je trouve capitale : la défaillance de l’enseignement marocain qui n’a jamais décollé à mon avis, il continu à former des lauréats inadaptés au marche de l’emploi, la fac est un four-tous, les établissements publics ayant un enseignement médiocre, (je ne mets pas en cause les enseignants, puisqu’ils sont démotivés et souvent très mal payés) ; ainsi que L’arabisation des études des le primaire a joué aussi un rôle, puisque l’étudiant, arrive au niveau supérieur avec des niveaux très alarmants en français, et l’anglais, n’en parlant pas, puisque ces langues étrangers sont des outils de travail indispensables.
Même le modus-vivandi des marocains en terme éducatif, qui sont majoritairement pauvres, ne permet pas de développer leurs ressources mentales, l’esprit critique, le sens de la responsabilité, le civisme et la maturité comportementale, l’inaccessibilité aux centres de documentations, aux bibliothèques de cartier, la culture de la lecture est délaissé voir méconnu, face à la cherté des livres, l’internet qui est mal exploité, les medias qui n’apportent pas grand choses, à part medit1-sat, nous sommes balancé entre un nul et un zéro, bourrées de films mexicains , Turks et maintenant chinois !!!, ainsi que 14 heures de pub ,et appart quelques émissions, c’est que de la misère intellectuelle, je dis que les marocains et leurs jeunes ne sont pas dupes.
Un facteur lié a l’état d’âme du jeune lui-même, on lui a pas appris le courage de participer, de donner son point de vue, de s’imposer en tant qu’acteur sociale, cette confiance en soi entravée par l’entourage sociale, et pour grand nombre des marocains qui se battent avec la cherté de la vie, et agir pour le bien commun est devenu un gros mot puisque chacun se bat avec sa propre misère, donc la citoyenneté ou l’appartenance au pays sont ébranlés.
En termes d’éducation : en ne peut transmettre que l’éducation que l’on possède, et l’éducation est la responsabilité des parents, professeurs et des adultes qui entourent l’enfant, alors , puisque la société marocaine est composée majoritairement de la classe prolétaire, donc c’est le même état d’esprit et la même éducation qu’ils vont transmettre à leurs générations, donnant ainsi une cristallisation des mentalités qui ne vas ,que perdurer. Il fu aussi admis qu’il y a des exceptions, des jeunes issus d’une classe démunis qui réussissent bien leurs formations scolaires, mais un autre paramètre entre en jeu, c’est soit disons le fameux coup de piston, et même s’ils décrochent un boulot, c’est souvent avec des salaires de misères, ils ont accepté la normalité de leurs exploitations face à une crise de chômage importante et aussi le principe du low-cost qui s’applique que sur les ouvrier de bas de zone, ils sont amener à concevoir l’acceptation docile de leurs exploitations comme une donnée ordinaire de jeunes prolétaires, et ca c’est faut, puisque chaque jeune marocain à le droit de s’épanouir et de grimper les échelons.
La puissance d’une nation, c’est sa jeunesse, leurs centres d’intérêts, leurs participations et leurs implications dans presque tous les domaines, ils doivent sentir l’identification à leurs pays, l’appartenance, la valorisation et l’acceptation.
Un jeune marocain, je ne généralise pas, mais presque une grande partie, ont une véritable crise identitaire, c'est-à-dire que physiquement ils sont la, et mentalement ils sont ailleurs, ils sont tiraillés entre deux cultures, le Maroc et l’oxident.
Si la jeunesse souffre, le futur du pays est mis en cause, puisque la relève s’impose.
J’espère que je t’es bien répondu « bissaraha », et désolé pour mes fautes d’orthographes. Merci d’échanger nos idées et de savoir aussi nos points de vue.
Le sujet est intéressant, C’est que la partie visible de l’iceberg, l’occulte est bien plus terrible qui n’y parait, je vais te citer ces causes en pèle mêle, et je rappel que c’est une conclusion personnelle.
Le sujet que tu évoque mon ami, est lié à plusieurs domaines, c’est un visage pluriel, un engrenage des éléments : sociologiques (la quintessence du mode de vie marocain), psychologique (c’est l’état d’âme du jeune lui même, son entourage, ses principes et idéologies acquissent à l’enfance) et, l’enseignement marocain : qui trébuche à produire des jeunes capables de s’imposer professionnellement, et pour finir ; les stratégies missent en place par notre gouvernement qui sont improductives.
Je pense que la jeunesse marocaine est balancée entre une crise du chômage aigu, et un autre paramètre que je trouve capitale : la défaillance de l’enseignement marocain qui n’a jamais décollé à mon avis, il continu à former des lauréats inadaptés au marche de l’emploi, la fac est un four-tous, les établissements publics ayant un enseignement médiocre, (je ne mets pas en cause les enseignants, puisqu’ils sont démotivés et souvent très mal payés) ; ainsi que L’arabisation des études au primaire a joué aussi un rôle, puisque l’étudiant, arrive au niveau supérieur avec des niveaux très alarmants en français, et l’anglais, n’en parlant pas, puisque ces langues étrangères sont des outils de travail indispensable.
Même le modus-vivandi des marocains en terme éducatif, qui sont majoritairement pauvres, ne permet pas de développer leurs ressources mentales, l’esprit critique, le sens de la responsabilité, le civisme et la maturité comportementale, l’inaccessibilité aux centres de documentations, aux bibliothèques de cartier, la culture de la lecture est délaissée voir méconnu face à la cherté des livres, l’internet qui est mal exploité, les medias qui n’apportent pas grand choses, à part medit1-sat, nous sommes balancé entre un nul et un zéro, bourrés de films mexicains , Turks et maintenant chinois !!!, ainsi que 14 heures de pub ,et appart quelques émissions, c’est que de la misère intellectuelle, je dis que les marocains et leurs jeunes ne sont pas dupes.
Un facteur lié a l’état d’âme du jeune lui-même, on lui a pas appris le courage de participer, de donner son point de vue, de s’imposer en tant qu’acteur social, cette confiance en soi entravée par l’entourage sociale, et pour grand nombre des marocains qui se battent avec la cherté de la vie, et agir pour le bien commun est devenu un gros mot puisque chacun se bat avec sa propre misère, donc la citoyenneté et l’appartenance au pays sont ébranlés.
En termes d’éducation : on ne peut transmettre que l’éducation que l’on possède, et l’éducation est la responsabilité des parents, professeurs et des adultes qui entourent l’enfant, alors , puisque la société marocaine est composée majoritairement de la classe prolétaire, donc c’est le même état d’esprit et la même éducation qu’ils vont transmettre à leurs générations, donnant ainsi une cristallisation des mentalités qui ne va ,que perdurer. Il fu aussi admis qu’il y a des exceptions, des jeunes issus d’une classe démunis qui réussissent bien leurs formations scolaires, mais un autre paramètre entre en jeu, c’est soit disons le fameux coup de piston, et même s’ils décrochent un boulot, c’est souvent avec des salaires de misères, ils ont accepté la normalité de leurs exploitations face à une crise de chômage importante et aussi le principe du low-cost qui s’applique que sur les ouvriers de bas de zone, ils sont amenés à concevoir l’acceptation docile de leurs exploitations comme une donnée ordinaire de jeunes prolétaires, et ca c’est faut, puisque chaque jeune marocain à le droit de s’épanouir et de grimper les échelons.
La puissance d’une nation, c’est sa jeunesse, leurs centres d’intérêts, leurs participations et leurs implications dans presque tous les domaines, ils doivent sentir l’identification à leurs pays, l’appartenance, la valorisation et l’acceptation.
Un jeune marocain, je ne généralise pas, mais presque une grande partie, ont une véritable crise identitaire, c'est-à-dire que physiquement ils sont la, et mentalement ils sont ailleurs, ils sont tiraillés entre deux cultures, le Maroc et l’occident. Si la jeunesse souffre, le futur du pays est mis en cause, puisque la relève s’impose.
J’espère que je t’ai bien répondu « bissaraha », Merci d’échanger nos idées et de savoir aussi nos points de vue respectifs.
Le sujet est intéressant et épineux pour notre trés cher MAROC, Merçi pour ta participation a ce débat et ta réponse qui est bien entendu trés clair et net.
Wellah je voudrais ajouter quelques-choses mais tous est dit suffisament pour réveiller les dormants, la vie et trés courte et le temps passent et repassent, mais a mon avis il est encore temps de ratraper le temps perdu si on veut bien malgré les ambuches.
Vraiment celà me fait mal au coeur, de voir un voisin qui a son bac+2, et qui va chaque matin avec des vêtements délabrés armée d'un couteau aux marché de Poissons, pour décailler les Poissons des clients, pour 1 ou 2 dirhams, Un autre voisin qui a fait ses études a l'Ecole de Médecine de Casablanca, s'assoie chaque jour dans Le Café du coin pour attendre des connaissances malades pour leurs passer une visite médical pour 10 dhs. et j'en passe pour ne citer que ces cas...
Ou est l'avenir ???
C'est pas grave entre nous, pas de remarque ni pour les fautes d'ortographes, ni pour le doublon.
Porte toi bien.
Ne soyez pas comme ces gens qui, invités a parler de l'Océan, n'évoque que le mal de mer.
Jeunesse marocaine il est vrai ke l jeunesse marocaine est dans une sorte dimpasse envie de réussir mé pas de moyens pour. Jeunes gens au lieu de discuter sur yabi entre vous a vous casser vous contredire etccc AGISSEr aider les jeunes marocains vous êtes tous conscient du problème existant alors réflechissez et faite en sorte a votre echelle ke cela change, cé beau dêtre assis devant son ordi et de parler du pblm du maroc mais encore faut il agir et faire avancé les choses car vous aussi vous faite parti de cette jeunesse marocaine la différence cé ke vosu avé eu de la chance dc aujourdhui cé a nous de faire en sorte daider ceux ki nen n ont pas eu . Moi jé mon association et je pars en projet tt les an Et vous vous faite koi a part parler ????
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