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Homme au foyer
M
17 mars 2004 00:43
En france il est possible pour le nouvos papa de prendre un congé parental pour s occuper du nouvo né.

Ken penser vous les filles, eske vous laisserier votre mari a la maison en allant travailler. Ou eske vous preferer l inverse. Eske cela peut aller dans le sens de l'islam?

Donner vos avis, merci.
K
17 mars 2004 01:07
Personnellement, je ne pourrais opter pour cette option vu que j'ai comme volonté d'allaiter mes enfants. J'ai allaité ma fille et j'ai l'intention d'allaiter mon fils qui naîtra sous peu inchallah. Il n'y a rien de mieux que le lait de la maman. Des tonnes d'études l'ont prouvé et c'est pkoi je n'opterais pas pour la solution que mon mari reste avec le nouveau-né et moi au boulot.

Par contre, ce que je peux apporter comme point positif, c'est qu'il y a peu de temps, lorsque mon mari est arrivé ici, il n,avait pas de boulot. C'est moi qui bossais et lui qui restait à la maison. Il s'occupait de la petite (3 ans), des repas, du ménage. Il n'y a aucune honte là-dedans. On ne sait jamais ce que la vie nous apporte et parfois on fait avec ce que l'on a. Tant que le couple accepte cette situation et s'en arrange, je trouve qu'il n'y a aucun prob.

La vie a plus d'imagination que n'en porte nos rêves.
s
17 mars 2004 01:28

Le mariage n'est pas en islam un sacrement mais un contrat verbal (pouvant également être écrit) fait entre deux personnes qui déclarent vouloir vivre ensemble. Ce contrat est d'un type un peu particulier car il préside à la fondation d'une famille.

En islam, c'est le mariage qui rend permises les relations intimes. En cela il constitue une responsabilisation de l'homme, car il ne se limite pas à la jouissance que l'on tire de l'autre l'instant d'un moment, d'une soirée sans lendemain. Il engendre, avant même de permettre la jouissance, une série de droits et de devoirs.
Ces devoirs, quels sont-ils ? Chacun, époux et épouse, se doit de les connaître avant même de se marier.


Certains devoirs sont communs aux deux, mari et épouse :

1) Avoir de l'amour pour l'autre
Dieu, dans le Coran, dit : "Et parmi Ses signes figure le fait qu'Il a créé pour vous, de vous-mêmes, des épouses afin que vous éprouviez le repos auprès d'elles et qu'Il a mis entre vous amour et tendresse." (Coran 30/21).
L'amour est parfois présent dès le début du mariage (parfois même avant), et parfois ne l'est pas dès le début. Mais en tous les cas il faut l'entretenir et le développer par tous les moyens qui entrent dans le cadre éthique de l'islam : des sourires, des petits cadeaux, un petit tour entre amoureux de temps à autre…
"Quel est l'humain que tu aimes le plus ?" demanda-t-on un jour au Prophète. "C'est Aïcha" [épouse du Prophète], répondit-il. "Parmi les hommes ?" demanda celui qui avait posé la question. "C'est le père de Aïcha." (rapporté par Al-Bukhârî)



2) Avoir de la bonté pour l'autre
Avoir de la bonté pour son conjoint, c'est avoir de la miséricorde pour lui, s'occuper de son bien-être, partager ses peines et ses joies, en un mot : vivre ensemble, à deux.
Le Prophète n'était-il pas venu ainsi se réfugier auprès de son épouse Khadîdja lorsqu'il avait été effrayé par la première manifestation de l'ange ? Et Khadidja n'avait-elle pas pris le temps de le réconforter par des paroles apaisantes, puis de l'emmener plus tard auprès de son cousin Waraqa ? (rapporté par Al-Bukhârî).
Une nuit, alors que le Prophète ne trouvait pas le sommeil, son épouse Aïcha lui dit : "Que t'arrive-t-il ô Messager de Dieu ?" (rapporté par Ahmad).
Le Prophète lui-même, raconte Aïcha, "prenait soin de moi de façon particulière (al-lutf) lorsque j'étais malade" (rapporté par Al-Bukhârî).
Le Prophète faisait des courses à pied avec son épouse Aïcha, lui montrait le jeu des Abyssiniens.



3) S'embellir pour l'autre (autant que possible)
Ibn Abbâs disait : "J'aime m'embellir pour ma femme comme j'aime qu'elle s'embellisse pour moi…" (cité par At-Tabarî).



4) Vivre ensemble sa sexualité
Cela est un devoir qui incombe à tous deux, et non pas seulement à la femme. Les Hadîths sont dans les deux sens (notamment celui de Ibn Amr, auquel le Prophète, énumérant les devoirs qu'il avait et lui demandant de ne pas exagérer : "… et ta femme a des droits sur toi…", rapporté par Al-Bukhârî). D'après Ibn Taymiyya, en susbtance : "La femme a le droit à une sexualité épanouie, autant qu'elle le désire." (Majmû' fatâwâ Ibn Taymiyya, tome 28 pp. 383-384 et tome 32 p. 271).
Cependant, pour l'un et pour l'autre, il ne s'agit pas de vivre l'acte sexuel comme un devoir seulement, mais comme une preuve d'intimité, comme le prolongement naturel de l'amour, de la bonté, de l'embellissement et de l'intimité que chacun connaît vis-à-vis de l'autre.



5) Avoir une juste confiance en l'autre
C'est un devoir que de rester fidèle à l'autre (en ne tombant pas dans les relations extra-matrimoniales - az-zinâ), et l'autre est naturellement porté à exprimer son attention sur ce fait. Un équilibre se crée ainsi qui conduit chacun des partenaires à contribuer à la fidélité de l'autre. Mais l'attention que l'on porte à l'autre ne doit pas être étouffante au point qu'il y ait des suspicions inutiles ou qu'il y ait un climat de manque de confiance. C'est une juste confiance qui doit régner. Le Prophète a dit : "Il y a une jalousie (ghayrah) que Dieu aime et une jalousie qu'Il n'aime pas. La jalousie que Dieu aime est celle qui apparaît au moment d'un problème réel (ar-rîbah). Et la jalousie que Dieu n'aime pas est celle qui existe alors qu'il n'y a pas de problème (rîbah)" (rapporté par Aboû Dâoûd). Quant au fait de tuer son épouse sur la base d'une simple suspicion (cela se passe dans certaines régions où la tradition tribale et l'ignorance priment sur l'islam), cela n'a aucune place en islam.


D'autres devoirs existent qui son spécifiques au mari et à l'épouse



6) le mari a le devoir d'assumer sa responsabilité de chef de famille
Dieu dit dans le Coran : "Les hommes ont préséance sur les femmes…" (Coran 4/34). Le mot "préséance" désigne ici la fonction de chef de famille (wallâhu a'lam).



7) le mari doit subvenir aux besoins de son épouse (comme à ceux de ses enfants)
Le Prophète a dit : "… Et vos femmes ont le droit d'être nourries et habillées selon la bienséance" (rapporté par Muslim).



6') L'épouse a le devoir d'assumer sa responsabilité à propos de la bonne marche du foyer
Le Prophète (sur lui la paix) a dit : "Et la femme est une bergère à propos de la maison de son mari et des enfants, et sera questionnée à ce sujet." (rapporté par Al-Bukhârî et Muslim).



7') L'épouse a le devoir d'assumer sa responsabilité en matière d'éducation des enfants
Le Prophète (sur lui la paix) a dit : "Et la femme est une bergère à propos de la maison de son mari et des enfants, et sera questionnée à ce sujet." (rapporté par Al-Bukhârî et Muslim).


Pour ces 4 devoirs spécifiques, il y a cependant des nuances des deux côtés :

6) Chef de famille n'est pas dictateur : le mari doit consulter (shûrâ) son épouse autant que possible
Le Prophète ayant demandé à un ansarite la main de sa fille Julaybîb pour quelqu'un, celui-ci lui dit : "Je vais consulter la mère de Julaybîb." "Très bien", lui dit le Prophète (rapporté par Ibn Hibbân).
De même, des Hadîths montrent le Prophète recueillir le conseil de son épouse Khadîdja après la première révélation, celui de Umm Salama à Hudaybiyya, etc.
En fait chacun des conjoints devrait consulter l'autre autant que possible, le mari ayant ensuite la décision finale à prendre pour ce qui concerne les affaires de la famille.



7) Le mari porte seul la responsabilité de nourrir la famille, mais si son épouse veut l'aider sur ce plan elle a la possibilité de le faire
En effet, rien ne le lui interdit, même si rien ne l'y oblige non plus.
Zaynab, épouse de Ibn Mas'ûd, avait ainsi décidé d'aider son mari qui était plus pauvre qu'elle (rapporté par Al-Bukhârî).



6') Le mari doit aider son épouse dans les affaires du ménage (d'après certains savants, s'il en a les moyens, il doit employer une femme de ménage, par exemple)
Le Prophète était, chez lui, au service de sa famille, raconte son épouse Aïcha. Puis, lorsque venait l'heure de la prière, il sortait accomplir celle-ci (rapporté par Al-Bukhârî).
Jâbir ibn Abdillâh, ayant invité le Prophète à manger chez lui, aida sa femme à préparer le repas (rapporté par Al-Bukhârî).



7') L'épouse doit éduquer les enfants non pas seule : le mari doit l'y aider
Le Prophète avait ainsi enseigné à Omar ibn Abî Salama, fils de son épouse Umm Salama, les règles d'usage à observer lors des repas (rapporté par Al-Bukhârî).



Tous ces devoirs sont extraits du livre Tahrîr ul-mar'a fî 'asr ir-rissâlah (L'émancipation de la femme à l'époque de la révélation, traduit en français sous le titre Encyclopédie de la femme), tome 5.


Le mari, un dictateur ?



Comme nous l'avons vu plus haut, le mari est chef de famille. Et l'islam demande certes à l'épouse d'obéir à son mari. Mais il serait faux de voir dans cette demande le droit pour le mari d'être un dictateur.
En effet, d'abord l'islam rappelle qu'il n'y a aucune obéissance dans la désobéissance à Dieu, ce qui limite les prérogatives du mari. Ensuite, comme nous l'avons dit ci-dessus, le mari doit consulter son épouse et non pas prendre toutes les décisions seul. Le mari doit également se souvenir de la règle de la priorité dans le rappel : combien de maris, trop pressés, obligent leur femme à pratiquer davantage de règlements de l'islam, provoquant par là une sorte de cassure. Enfin, l'islam demande au mari de passer sur les petits défauts de sa femme. Le Prophète a ainsi dit : "Prenez de moi ce conseil de bien agir envers les femmes. Car la femme a été créée d'une côte : elle ne restera jamais pour toi toujours sur une ligne. Si tu cherches à la redresser, tu la briseras. Et si la laisses comme elle est, elle restera courbée. Acceptez donc de moi le conseil de bien agir envers votre femme." (rapporté par Muslim). Dans une autre version : "La briser, c'est divorcer" (rapporté par Muslim). "S'il n'aime pas un des traits de son caractère, qu'il considère le trait qu'il aime." (rapporté par Muslim). Le Prophète (sur lui la paix) a voulu montrer aux maris que la femme est, sur certains aspects, d'une nature différente de celle de l'homme : il ne faut pas lui en vouloir mais être patient. Celui qui en veut à sa femme pour des détails et qui n'arrive pas à passer sur ceux-ci, celui-là risque de la briser, dit le Prophète (sur lui la paix). En effet, la femme ne donne pas priorité à sa raison comme l'homme, mais donne priorité à ses sentiments : c'est pourquoi tout débat ne mène à rien lors de disputes conjugales !



C'est bien pourquoi Dieu dit dans le Coran : "Quant à elles (les femmes), elles ont des droits comme elles ont des devoirs, conformément à la bienséance. Les hommes ont cependant une préséance sur elles." (Coran 2/228). Cette "préséance de l'homme sur la femme" signifie, d'après Ibn Abbâs, "le fait que l'homme est capable de laisser tomber une partie des droits qu'il a sur sa femme, tout en s'acquittant, pour sa part, de tous les droits que sa femme a sur lui." (cité par At-Tabarî qui pense que, de tous les commentaires de cette phrase, celui-ci est le plus proche de la vérité). Ibn Abbâs disait donc : "Je ne veux pas réclamer tous les droits qui me reviennent, car Dieu dit : "Les hommes ont une préséance sur elles."" (cité par At-Tabarî)



Tout mari voudrait, lorsqu'il rentre le soir chez lui fatigué, de trouver son épouse joyeuse, faisant disparaître sa fatigue d'un seul de ses sourires.
Mais tout mari sait aussi qu'il arrive des jours où ce n'est pas le cas et où, au contraire, il se voit reprocher des choses qu'il n'a pas faites, ce qui rajoute à sa fatigue et accroît sa tension. Il faut alors être patient, se dire que demain tout ira mieux inshâ Allâh, et se souvenir que… le Prophète lui-même a connu ce genre de choses avec ses épouses et a fait preuve de patience : c'est rapporté par Al-Bukhârî et Muslim.



Il est vrai cependant qu'une épouse ne devrait pas – comme cela se voit parfois – aller raconter à sa mère les petits problèmes du couple. Mais un mari ne devrait pas non plus aller raconter à ses amis – cela se voit aussi, malheureusement – ses petits problèmes conjugaux. Ce n'est qu'en cas de problèmes graves (imaginez qu'un mari roue un jour sa femme de coups) qu'on devrait aller se plaindre à qui prendra les mesures nécessaires. A l'époque du Prophète, les femmes étaient bien venues se plaindre auprès des épouses du Prophète du fait que leur mari les frappaient, et le Prophète était ensuite intervenu à ce sujet (cité dans Riyâd us-sâlihîn). Mais en cas de petits problèmes (que tout couple connaît), il faut faire preuve de patience.



L'amour s'entretient toute la vie. Un sourire, complice, une caresse, un clin d'œil, un petit cadeau de temps à autre, une petite promenade entre amoureux... n'est-ce pas dans le droit fil des principes laissés par le Prophète ? Celui-ci n'a-t-il pas dit que le mari était récompensé pour la bouchée qu'il portait (par jeu) jusqu'à la bouche de son épouse (rapporté par Al-Bukhârî et Muslim) ?


Enfin, chacun doit se souvenir qu'il faut considérer ses devoirs avant ses droits. Et qu'il ne faut pas considérer les relations de son couple sous le seul angle "droit-devoirs", mais aussi et avant tout sous l'angle "affection-amour-pardon".



Wallâhu A'lam (Dieu sait mieux).

à bon entendeur salut, salem, shalom
F
17 mars 2004 01:44
Kenza
Si l'allaitement est le seul prétexte aujourd hui on peut aussi pomper du lait maternel qui ne perd rien de sa qualité durant 24 heures.
K
17 mars 2004 04:13
Fouad tu penses vraiment que c'est si facile de "pomper" son lait comme tu dis?

Hahaha. Si c'était aussi facile. Primo, saches qu'on ne peut le faire sur les heures de boulot (et ici au Canada il n'y a pas cette loi permettant 1 heure d'allaitement dans la journée de boulot). Secondo, la femme n'a pas toujours assez de lait pour le tirer. Ça semble si simple pour vous les hommes. Je voudrais bien vous y voir.

Primo, le lait maternel ne se conserve pas 24 heures, mais 1 semaine sans alteration si conservé au réfrigérateur. Il peut se conserver 3 mois sans altération si congelé selon les normes et conseils des experts.

Lorsqu'une femme allaitant décide de retourner au travail, elle doit les semaines précédant le retour au travail commencer à tirer les excédents de lait après les boire du bébé. Soit dit en passant, les excédents de lait ne sont pas énormes et on ne peut jamais les prévoir, ni même prévoir s'il y en aura. Lorsque la femme retourne au travail, elle peut donner le boire du matin et le boire du sein. POur le reste, le bébé consomme dans la journée le lait accumulé auparavant sinon des substituts (lait en poudre, etc.).

Va trouver un seul lieu de travail où dans sa journée la femme peut tirer son lait et aussi trouver un lieu où elle peut le conserver (réfrigérateur) etc. Tu penses que tirer son lait demande quoi? 5 minutes? Quand même, au lieu de venir me dire que je me trouve des excuses, tu devrais te renseigner au préalable.

De plus, saches qu'en tirant son lait, peu à peu, la production diminue. Il est prouvé que les meilleurs tire-lait n'équivalent pas à la tété du bébé, plus efficace pour stimuler la production de lait. Plus de détails? Bien une femme produira plus de lait, plus elle allaitera. Donc tu vois. POur une femme qui veut COMPLÈTEMENT allaiter son bébé, TA solution n'est pas envisageable.

Je rajouterais même que tu frises le ridicule de m'accuser de me trouver des défaites. Sais-tu qu'en Islam un des devoirs de la femme est justement d'allaiter son bébé et de lui procurer les soins nécessaires? Que tu le veuilles ou non (études à l'appui) le lait maternel est ce qu'il y a de mieux pour le bébé.

Donc voilà. Et si toi tu préfères rester à la maison pendant que ta femme qui se remettra à peine de son accouchement ira bosser, soit. Mais saches que ton bébé n'aura surement pas l'essentiel: le lait maternel.

La vie a plus d'imagination que n'en porte nos rêves.
F
17 mars 2004 04:54
Kenza
désolé si tu t'ai senti blessée… mais je t'ai juste fait une remarque, il n y a ni attaque ni insulte ni impolitesse... je te trouve nerveuse et sur la défensive sans raison.



Message edité (17-03-04 04:59)
z
17 mars 2004 07:13
15 jours de congés parternité c'est bien il n'y a pas photo. ça peut éviter d'arriver au boulot avec des valises sous les yeux et cela permet d'aider la jeune maman au début.

par contre 8 semaines de congés maternité c'est bien court...qu'est que ça a été dur pour moi de reprendre le boulot. j'ai allaité et je me suis retrouvée à devoir tout stopper pour la reprise du travail.
en France les mentalités ne sont pas les mêmes que dans les pays scandinaves ou tout est fait pour respecter l'enfant et la famille. les femmes y ont un congés de 6 mois et elles peuvent allaiter sur leur lieu de travail. En France ton patron c'est tu rentres, tu bosses.

je me suis dit "la femme est bien con de demander l'égalité de l'homme parce que c'est pas vrai". je demande à m'épanouir dans mon travail mais aussi dans ma famille.
Allaiter était quelque chose d'important pour moi mais la société par ses mentalités ne m'a pas laissé faire.
N
17 mars 2004 09:41
Je pense que les nouveaux ont plus besoin de leur maman que papa mais sinon ça ne me gêne pas plus que ça c'est une question d'entente et d'harmonie dans le couple pour ce choix.
Juste un petit truc l'islam c'est l'harmonie dans le couple l'entente et l'écoute entre les 2 partenaires l'islam c'est pas femme au foyer fécondité et soumission .
K
17 mars 2004 14:48
Bah ton commentaire qui disait: "si c'est ta seule excuse" laissait entendre que c'est ridicule de vouloir allaiter ou que je me cherchais des excuses pour ne pas aller travailler. Voilà pkoi je t'ai répondu ainsi.

Et si je t'ai donné qq précisions, c'est que tu semblais croire que la solution facile c'est de tirer son lait, alors que tu n'imagines même pas ce que demande le fait de tirer son lait et ce qu'il entraîne c tt.

La vie a plus d'imagination que n'en porte nos rêves.
 
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