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imtiyaz a écrit:
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Vu les insultes de leurs presse. la bassesse de leurs commentaires sur le roi. la bassesse de leur gouvernement. les milliards donnés pour corrompre. Il faut les calmer un jour ou l'autre. toute attente est une échéance retardée pour un autre jour.
Une raclée historique s'impose, dans la foulée récupérer les territoire occupé depuis 1962.
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Hamid a écrit:
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Ce qui est sûr c'est que cela ne s’arrêtera pas tant qu'on donnera l’impression d’être mou du genou.
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Hamid a écrit:
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On est d'accord. Mais il faudrait au moins muscler le discours et ne pas donner l’impression d’être mou du genou.
Par contre après la réunion du CS, si cette situation devait perdurer, il faudrait revoir d’urgence la présente stratégie...
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charmeur de serpent a écrit:
Juste une question :
Pourquoi le polisario a choisi de démentir via l'agence de presse palestinienne proche du Mouvement Hamas ??? C'est quoi le rapport ???
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charmeur de serpent a écrit:
En bas de l'article, on peut lire "l'agence de presse palestinienne proche du Mouvement Hamas".
J'ai l'impression qu'il y a quelque chose qui se trame entre Alger et Hamas !!!
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charmeur de serpent a écrit:
En bas de l'article, on peut lire "l'agence de presse palestinienne proche du Mouvement Hamas".
J'ai l'impression qu'il y a quelque chose qui se trame entre Alger et Hamas !!!
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Taha101 a écrit:
CEDEAO. Important stratégiquement d'intégrer cet ensemble économique et politique au mois de Juin prochain, si cela se peut. Après, il faut agir pour rapatrier notre cause nationale en Afrique. Nous y disposons d'atouts importants politiquement parlant. Le travail considérable des dix dernières années doit commencer à être capitalisé pour notre Sahara. La phrase d'Alpha Condé à Meknès et aussi avant, à son importance. L'ONU est trop glissante pour s'y fier et pour s'y accrocher valablement. Trop d'aléas et trop d'incertitudes au conseil de sécurité. Trop de faux amis aussi et bcp de vrais ennemis. Le moment est dangereux sur le terrain. Une guerre arrangerait nos adversaires. Les polisariens sont dans le désarroi et l'hystérie. Les Algériens sont dans le cirage et le désarroi déboussolants. Des passifs monstrueux à régler pour lesquels ils ne disposent plus ni de temps, ni de moyens, ni de soutiens, ni d'opportunités. Un fin de règne qui s'annonce cataclysmique si un miracle ne se produit pas. Pour les polisariens, on peut deviner l'état de leurs moyens et de leurs finances, pour se nourrir, pour s'armer, pour fonctionner, et pour acheter un peu de paix sociale dans les goulags de Tindouf. Le tout est de nature à pousser à des aventures inconsidérés.