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Frère Tidjani résidant dans les environs de Lyon recherché
f
17 octobre 2007 13:27
Frère Tidjani Sénégalais cherche un frère Tidjani résidant dans les environs de Lyon, rencontré à la Zaouia de Seïdina Ahmed Tidjani à Fés la nuit du 12 au 13 août. Ce frère de Lyon m’a remis un recueil des compagnons de Seïdina Ahmed Tidjani. Il m’a aussi transmis ses coordonnées que j’ai malheureusement perdu. Je souhaite donc le contacter.

Merci pour votre aide.
m
17 octobre 2007 15:45
Tu devrais peut être poster ton sujet dans la rubrique islam, il y a pas de soufis qui pourraient t'aider.
N
17 octobre 2007 16:07
Bonjour,

1) Je pense qu'il faut mettre ton topic dans la rubrique Islam comme il l'a signalé Mafalda avant car ici je ne pense pas que tu aura beacoup d'aide..mais on ne sait jamais.....

2) En parlant de Sidi Ahmed Tijani et la voie Tijania voici l'un des maître de Sidi Ahmed Tijani et que beaucoup de gens ne connaissent pas. Il est enterré à Beni-Ounjel à Taounate à 100 Km environ au Nord de Fès. Voici un résumé sur ce Wali:

- Grand Wali Sidi Mohammed Ben al Hassan al Wanjalî (décédé en 1185 H), de Beni Ounjel, du Jabal Ez-Zabîb. C'est lui avait recommandé à Sidi Ahmed Tijani de retourner au Sahara car l'accomplissement de son « Fath » (Ouverture) ne se réalisera que près de la Zawiya du grand « qotb » (pôle) de « Balad Al Abied » au Sahara.
C'est à Fès où Sidi Ahmed Tijani vint terminer ses jours, dans la Zaouiya-mère qu'il édifia. Il se recueilla dans la villa (Dar el Mrâya) que le Sultan Moulay Slimân a mis à sa disposition. En sus de son activité cultuelle, de ses cours dispensés à la Qaraouiyine et dans la Mosquée dite « ed-Diwân», sa vie intègre et sa grande érudition, émerveillèrent les Fassis et même le sultan Moulay Soulimane.

Bonne chance pour tes recherches.....
N
17 octobre 2007 21:04
Lien entre Maroc et Sénégal

1) Il y a un article de Maroc Hebdo qui montre que les gens de la région de Safi et Mazagan ont joué un grande rôle pour initier les Africains au Soufisme et au maraboutisme. Ibn Batouta Les a rencontrés au Mali et même devenu amis avec eux et ils les nomment. De même dans l'article, il est dit que le mot Sénégal vient des Marocains Senhaja appelé çenaga ou Sanaga et qui habitaient au Nord du PAys. Voici la partie de l'article qui parle d'IBN batouta et les gens de Safi-Mazagan :

Le Sénégal est la terre d'élection. Le maraboutisme parait, à certains observateurs européens, tellement caractéristique de l'Afrique, qu'ils en viennent à confondre avec lui l'ensemble de l'Islam.

Il s'agit, cependant, d'un phénomène très général dans le monde musulman, où sous divers noms, on rencontre ces personnages religieux, plus ou moins lettrés, plus ou moins magiciens ou guérisseurs, parfois mystiques authentiques, souvent affiliés à une confrérie: Shaykh d'Afrique du Nord, mola, faqir, akhund. Contrairement à l'esprit et à la lettre de la Révélation coranique partout est apparu, dans une religion sans clergé, l'intermédiaire entre la créature et le Créateur.

Toutes les confréries et leur Zaouia ont été vulgarisées par les Marocains qui avaient une longue expérience de l'Afrique de l'Ouest, particulièrement les fakih berbères de Mauritanie commandités par les savants de la capitale spirituelle de tout le Maghreb d'alors, Fès, mais aussi à partir de Marrakech.

Nous savons par le voyageur marocain Ibn Battouta qui effectua, sur les ordres du Sultan merinide Abou Inane, un séjour au Mali, qu'il a découvert sans surprise un nombre important d'Arabes, dont une importante communauté marocaine de la région de Safi-Imazzigen (Mazagan par déformation des Portugais) à la cour de Mansa Souleïman.
Il se lia d'amitié avec quelques savants marocains tels le juge Aboul Abbas Addoukali, le légiste Mohamed Ibn Alfakih, les lecteurs de Coran Abdalaouâhid, Chamseddine Ibn Annakouich et Ali Azzoudy.

Le mot Sénégal, avec un L final, apparaît tardivement. Les Portugais écrivaient, généralement, Sanaga ou çanaga, comme Eanes de Zurara) 1452). Selon Monod et Mauny (Edition française de Zurara, Ifan, 1960): &laqno;De çanaga l'occident on a fait Sénégal. L'étymologie de cet hydronome vient tout simplement des Berbères Zenaga qui en peuplaient la rive nord».

2) Trois Marocains décrochent le prix Ibn Battouta à Abou Dhabi

La reconnaissance

Trois enseignants chercheurs marocains ont reçu le prix Ibn Battouta de littérature géographique 2004 le lundi 13 décembre 2004 aux Emirats Arabes Unis. Il s’agit du chercheur Mohamed Darif, enseignant à la Faculté des lettres de Rabat, pour son ouvrage “Arrihla Maa aïnainia de 1938", un voyage entrepris par Maa al Aïnain ben Alatiq. Dans ce livre, l'auteur raconte les étapes et les faits d'un voyage qui a conduit ce dernier de la ville de Tétouan jusqu'à La Mecque, en compagnie d'autres pèlerins marocains des régions sud et nord du Royaume.
Le deuxième Marocain est Az Al Maghrib Maaninou, enseignant chercheur à l'Ecole Normale Supérieure de Rabat pour son livre intitulé “Ithaf Al Akhyar Bi Gharaieb Al Akhbar" qui est le récit historique d'un voyage européen entrepris au 19e siècle, par Driss Jaïdi Slaoui, en France, Belgique, Grande-Bretagne et en Italie.
Le troisième et le dernier Marocain à recevoir ce prix d'une valeur allant de 1.000 à 2.500 dollars, est Abdenbi Dakir, enseignant à la Faculté des lettres d'Agadir et directeur du centre marocain de documentation et de recherches. Il a été primé pour une étude académique intitulée “Arrihla Al Arabia en Europe, en Amérique et en Russie au 19e et 20e siècle ".

Annotations

Aux côtés des Marocains, le Tunisien Ali Mesbah et le Jordanien Mehdi Rouaydah ont été également consacrés respectivement pour l'ouvrage " villes et visages.. voyages à Istanbul, au Maroc et à Lisbonne " et la recherche sur l'ouvrage " Arrihla ila al manazile Arroumiya " un récit de Dadreddine Al Ghazi, datant du 16e siècle.
Les ouvrages et études primés seront publiés dans la collection “Irtiyad Al-Afaq".
Crée en 2003, le prix “Ibn Battouta” est attribué dans le cadre du projet “Irtiyad Al-Afaq" de la fondation culturelle arabe “Dar Souidi" du nom du poète Mohamed Ahmad Souidi. Il vient récompenser chaque année, les meilleures annotations d'oeuvres de récits de voyage, livres de géographie arabes et islamiques, ainsi que le meilleur ouvrage sur le récit de voyage contemporain. Son objectif, selon le poète Mohamed Ahmad Souidi, est de raviver l'intérêt porté à la littérature géographique et d'encourager les auteurs et écrivains arabes à publier leurs carnets de voyage.
Par ailleurs, à l'occasion du 700ème anniversaire du célèbre voyageur marocain, Ibn Battouta, l'université américaine de Californie avait organisé début décembre 2004,en son prestigieux campus de Los Angeles, un symposium consacré à Ibn Battouta
f
18 octobre 2007 13:12
Merci pour vos réponses. Je vais placer mon sujet dans la rubrique islam.

Merci encore.
a
8 novembre 2007 23:32
moi je connait les gens qui s'occupe de la zwya tijaniya de fes
 
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