Résultat pas étonnant pour un index qui mesure "la capacité des pays à attirer, retenir et développer les talents internationaux" quand on constate l'accélération sans précédent de la fuite des cerveaux et des talents marocains ces dernières années. La matière grise ne manque pas, mais le développement et l'investissement dans l'humain d'une manière générale restent trop timides, voire absents de beaucoup de plans et projets de développements du pays.