Au moment où des statues de dictateurs et de sanguinaires sont déboulonnées et retirées dans le monde pour contester les atrocités commises par les bourreaux de l'histoire, certaines voix motivées par leur haine sont toujours nostalgiques à cette époque où les massacres ont été une monnaie courante.
Honte à ces personnes qui considèrent le massacre des peuples comme un acte héroïque et une page glorieuse de leur histoire !!!
Malheureusement la statue de lyautey se trouve dans le domaine du consulat de France , mais effectivement , et vous avez tout à fait raison , il faut que le Maroc demande via les canaux diplomatiques à la France de faire dégager cette honte qui est une insulte à 40 millions de Marocains .
Lo que ocurre en el pasado vuelve a ser vivido en la memoria.
Mémoire du Tercio espagnol, de la légion étrangère espagnole, des massacres, des spoliations des terres, d'une peseta appauvrissante, d'expropriations, de colonisation, de gazage, de mandats de recherche et capture, des appelés marocains morts pour le franquisme et une guerre civile qui ne les concernaient pas, des résistants arrêtés et tués sur ordre du gouverneur militaire en pleine nuit troublée par le son de fusillades.
Une mémoire orale transmise, perpétuée par les rares écrits d'une période sombre, d'une volonté d'extermination, celle d'un Cortès, celle des amérindiens décimés se prolongeant aussi en l'Inquisition de l'intolérance, en le racisme xénophobe envers le "moro".
Gloriole symbolisée en une statue, celle à une période révolue finissant en déroute, scellée définitivement par la bataille d'Anoual et les quelques vingt mille "envahisseurs" morts.
Nous n'idolâtrons pas de vulgaires statues, mais rendons hommage à nos martyrs, toujours présents dans la Mémoire collective, celle d'un peuple qui a su relevé le défi, malgré une guerre dissymétrique opposant poudre noire et cavalerie aux avions, au gaz et à l'armement moderne.
<<En 1921, pendant la guerre du Rif, la Légion vient, sous son commandement, rompre le siège de Melilla par des troupes marocaines. Pendant cette guerre, il est grièvement blessé à la poitrine, à la jambe, au bras gauche (qui sera amputé après un début de gangrène) et à l'œil droit (qu'il perdra). >>