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«Bribes de vie de Balima à Jerrada» : Mehdy Mariouch au plus près des...
A
13 février 2017 21:48
Pourtant ,ils méritent ce rappel, on va dire un petit rappel

à l'ordre ,du parcours kafkaien de ces misérables mineurs,

je m'explique, durant les années 64 ,la plupart des Mines

commencent à fermer leurs portes ,les investisseurs

passent à autre chose, mais avouons-le sans toutefois

vouloir outre- passer les intèrets de leurs mineurs en

leur procurant des contrats de travail en Europe :

-En France, Belgique, hollande ,Allemagne ,

parmi eux ,des techniciens,des éléctro-mécaniciens,des

ouvriers spécialisés,des mineurs de fond , etc...

en Europe ,ils sont affectés les uns aux travaux de ponts

et chaussées,autoroutes,tunnels et les fonds des Mines,

comme par ex.à LILLE ,Bauchom ,liége,Achen etc...


Leur bases au Maroc sont : Mines de Bou-arfa, de Jérada,

de Bouibladen, de Sidi-boubeker etc...


Le périple qui retrace leur parcours doit étre documenté

ne serait-ce que pour le repos de l'àme de ces braves

mineurs tout comme ceux des martyrs soldats Marocains

tombés durant la deuxiéme guerre Mondiale.

K
13 février 2017 22:21
La région de l'Est était jadis riche en minerais, un bassin d'emploi intéressant avec les mines de Bouarfa, Jerrada, Touissit, Boubker.

Touissit était nommée "la petite Paris" avec sa nature, sa prospérité et l'architecture de ses pavillons.

Malheureusement il ne reste pas grand chose si ce n'est les souvenirs, les quelques photos et les dossiers médicaux et judiciaires avec les retraites minables que touchent les retraités de ces mines.

Merci pour l'article.
[b][center]ما كل ما يتمنى المرء يدركه - تجري الرياح بما لا تشتهي السفن[/center][/b] [center][i]أبو الطيب المتنبي[/i][/center]
 
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