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motao-1 a écrit:
Le super diplomate Lamamra c'est avéré un vaurien. Il semblerait que le peuple et certaines personnalités du pouvoir ont finalement découvert ses magouilles et ses mensonges. C'est une giffle pour les polizbels qui croyaient en lui comme un magicien.
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imtiyaz a écrit:
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S'il était super diplomate ils l'auraient gardé. Il est plutôt un super bouche-trou plein de complexes.
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sarafanxxl a écrit:
Ramtamxplan abandonné par Luky Luke bouteflika.
Les daltons courent dans le désert.
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FATEM95 a écrit:
Attention si tu es un grand connaisseur, le désert, c'est là où il y a le pénitencier. Nos Dalton vont se faire coffrer.
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sarafanxxl a écrit:
les marocains en ont rêvé, le peuple algérien l'a fait.
#Le système dégage #
Bouteflika annonce sa démission.
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FATEM95 a écrit:
Reste le Gaid et celui-ci me fait peur.
Si on parle plus sérieusement on se rend compte du gouffre qui sépare ces dirigeants qui dirigeaient avec des dogmes et un amateurisme très rares (même en Afrique et dans le monde Arabe) et ce peuple qui a surpris le monde entier, à commencer par nous. Des manifs structurées, pacifiques et propres. Des amis algériens m'ont rapporté qu'à la fin de chaque manif les gens font le ménage et il n'y a rien qui traine. Moi qui suis ulcéré par les gilets jaunes à tout point de vue, que ce soit par leur revendications nébuleuses, par leur haine ou par leur violence, j'ai trouvé dans ce mouvement quelque chose que je n'avais pas vue depuis la chute des régimes des pays de l'Est de l'Europe il y a trente ans. Je suis admiratif, une admiration empreinte de peur car en face, ils sont sans foi ni loi.
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imtiyaz a écrit:
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S'il était super diplomate ils l'auraient gardé. Il est plutôt un super bouche-trou plein de complexes.
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damous a écrit:
Oui mais il aurait ete vire pour devenir président du Senat a la place de A Bensallah,et assurer la présidence après la démission de Bouteflika annonce ce soir et qui interviendra avant le 28 avril ..Bensallah ne pouvant exercer cette fonction du fait de sa double nationalite..
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Boutch a écrit:
Je te rejoins Fatem. Gaïd-Salah fait peur, à chaque fois qu’il a besoin d’exister il bombe le torse à la frontière avec le Maroc. Il semble fou et pourrait commettre l’irréparable.
Je suis admiratif de nos frères algériens, ils sont exemplaires. J’espère sincèrement, je rêve un peu, que tout se passera bien pour le peuple algérien et que cela augurera une meilleure relation avec notre pays. Malgré tout, une petite voix me dit que ce n’est qu’un rêve, l’armée semble comme en 1962,1978, 1988, de 1992 a 1999, puis maintenant reprendre la main.
Le peuple sera t’il vraiment plus fort pour faire tomber le système ?
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piducas a écrit:
Je soupçonnais aussi un truc de ce genre-là ; Lamamra écarté pour l'utiliser autrement après les déclarations que nous promet Bouteflika avant sa démission. Wait and see.
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motao-1 a écrit:
Il est vrai que le beau rêve que nous espérons pour le peuple algérien peut se transformer en cauchemard. Toute fois il y a une rairon de croire qu'il pourra sortir vainqueur. Car cette fois ci le soulèvement est général, spontané et pacifique. Ce qui n'a pas laissé le temps au régime d'organiser une riposte. Mieux encore, l'armée semble ralier le peuple contre le régime. Le déchirement entre l'armée et le régime est fort pertinent. Espérons une sortie de crise sans dégâts mageurs. Demain il fera jour.
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piducas a écrit:
Il y a une grande différence entre les émeutes d'octobre 1988 et les manifestations d'aujourd'hui. celles de 88 avaient pour origine les conditions économiques ; on voulait du pain, ils nous ont donné le multipartisme et un semblant de démocratie -que Boutef a patiemment érodé- . Les algériens ne savaient pas ce que c'était, la preuve : ils votèrent pour le FIS qui clamait que la démocratie est "kofr" !
Le peuple n'était pas mûr. C'était sans espoir
Aujourd'hui il l'est et il sait ce qu'il veut. C'est pourquoi je suis très optimiste quand je vois l'inventivité et l’enthousiasme de la génération montante. Ils ne se joueront pas d'eux comme ils se sont joués de leurs pères.
Finalement, en mettant le paquet sur l'éducation nationale, le régime était en train de creuser sa tombe.